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Croissance : les prévisions du gouvernement à la baisse

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French Economy Minister Bruno Le Maire arrives at The Elysee Palace in Paris on July 17, 2018, to participate in the mobilization of companies for territories. / AFP PHOTO / Eric Feferberg

Ce mardi, le ministre de l’économie Bruno Le Maire a annoncé que le gouvernement allait revoir à la baisse l’objectif des 2 % de croissance, prévu initialement pour l’année 2018. Selon lui, les Français doivent être patients. 

Des prévisions trop idéalistes ?

Pour le gouvernement et surtout pour le ministre de l’économie, l’année 2018 devait être pleine de surprises et de preuves concrètes, concernant la croissance du pays. Mais il semblerait que les désirs aient été bien trop vite pour des réalités. En effet, compte tenu de la faible évolution du PIB, Bruno Le Maire a annoncé qu’il serait dans l’obligation de revoir ses prévisions de croissance pour 2018. En effet, le PIB a seulement augmenté de 0,2 % lors du premier trimestre 2018, une bien maigre augmentation. «Nous réviserons les perspectives de croissance pour 2018. Nous avons toujours fait preuve de sincérité, j’y tiens plus que tout», a expliqué Bruno Le Maire.

Cependant, le ministre de l’économie n’a pour autant pas donné de nouveau chiffre pour le nouvel objectif de croissance, revu donc, à la baisse. En attendant, Bruno Le Maire admet que le 0,2% de croissance enregistré entre avril et juin est «décevant». Les causes sont connues: «Il y a eu des grèves, l’augmentation du prix du pétrole, le climat international avec cette guerre commerciale qui nuit à l’activité économique. Cela m’amène à me battre pour continuer à accélérer sur les réformes. Il faut tenir son cap. C’est comme ça qu’on aura des résultats. Rien ne doit nous détourner de nos efforts pour accélérer la croissance», a expliqué le ministre.

Enfin, se sachant attendu au tournant, il n’a pas hésité à déclarer que les Français devaient être patients. Cependant, il assure pour autant que le pays est dans la bonne direction mais prie les Français à faire preuve de patience. «Sur le pouvoir d’achat (…) nous ne redistribuons pas de l’argent public ‘en veux-tu en voilà’ (…) C’est progressif, je comprends l’impatience des Français, mais c’est prévu, ça va venir. Fin 208, chaque Français qui travaille verra sa situation s’améliorer. Cela ne se fait pas avec un coup de baguette magique. Notre politique est différente, plus exigeante, prend plus de temps, mais elle est plus responsable», assure-t-il.

Affaire à suivre, donc.

Août : quelles nouvelles règlementations ?

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Comme à chaque début de mois, beaucoup de choses changent, notamment au niveau des tarifs. Ce nouveau mois n’échappe pas à la règle et de nouvelles mesures entreront en vigueur dès le 1er août. 

De nombreux secteurs impactés

Pour les consommateurs, il n’est plus nouveau de voir beaucoup de tarif se modifier à l’arrivée d’un nouveau mois. Après une année compliquée, notamment avec l’annonce de l’entrée en vigueur du prélèvement à la source, il faut se tenir prêt à de nombreux changements. Du côté pharmaceutique, quatre médicaments à l’image d’Aricept, Ebixa, Exelon et Reminyl, cesseront d’être remboursés du fait de leur faible efficacité. Leurs génériques, utilisés pour soigner les patients atteints de la maladie d’Alzheimer, le seront aussi.

Encadrement des loyers, gaz, électricité…

Ces derniers jours, l’encadrement du loyer a beaucoup fait parler, notamment car sans ça, de nombreux propriétaires se graissent la patte et n’hésitent pas à gonfler les prix de leur(s) logement(s) mis en location. La reconduction de l’encadrement des loyers devrait principalement concerner 28 « zones tendues ». Elles correspondent à 1.149 communes des agglomérations de Bordeaux, Grenoble, La Rochelle, Lyon, Marseille – Aix-en-Provence, Montpellier, Nice, Strasbourg, Toulouse, Nantes, Toulon, Annecy, Ajaccio, Bastia, Bayonne, Meaux, Menton, Saint-Nazaire, Sète, Thonon-les-Bains, Arles, Beauvais, Biarritz. Fréjus, Annemasse, Arcachon. À noter qu’à Lille et Paris, les mêmes règles que dans les « zones tendues » s’appliquent: la hausse de loyer n’est possible qu’en cas de nouveau bail, et elle est limitée à la variation de l’indice de référence des loyers, et seulement si le loyer est largement inférieur à la moyenne du marché ou bien qu’après des travaux aient été réalisés dans le logement.

En ce qui concerne le prix du gaz et de l’électricité, tous deux devraient respectivement augmenter et diminuer. Les tarifs réglementés du gaz seront en légère hausse (+0,2% en moyenne). Chemin inverse pour les tarifs réglementés de l’électricité. Ils devraient baisser de 0,5% pour les particuliers, selon la recommandation de la Commission de régulation de l’énergie (CRE).

 

 

Tesla sur la vague

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Le constructeur automobile Tesla, réputé pour ses voitures exceptionnelles mais aussi très coûteuses, se lance dans le secteur du sport de glisse, en lançant sa propre planche de surf, pour la modique somme de 1500 dollars. 

Tesla : une marque incontournable

Le constructeur Tesla a une patte unique et ses voitures sont reconnaissables entre mille. Elon Musk, le fondateur du groupe, a su se créer un nom et une image de marque remarquable. La mission de Tesla est d’accélérer la transition mondiale vers un schéma énergétique durable. Le groupe fait appel aux experts les plus brillants pour permettre de réaliser cette vision et respecter ses valeurs. Même d’occasion, le prix des véhicules Tesla mis en circulation n’est pas inférieur à 60 000 euros. Une voiture soucieuse de l’environnement, certes, mais à quel prix.

Une image de marque bien construite

Au-delà de ses véhicules, Tesla s’est créée toute une communauté autour de nombreux produits : sur son site, la firme propose de nombreux accessoires comme des batteries pour smartphone, des vêtements, ou encore des voitures électriques destinées aux enfants. Hier, pendant que les problèmes de la SNCF battaient le plein, les inconditionnels de la marque Tesla ont pu découvrir que cet été, ils allaient pouvoir surfer… sur des planches Tesla ! Mais encore fallait-il être réactif. Comme toujours, les prix sont élevés et les quantités limitées. Les 200 exemplaires produits se sont écoulés en quelques minutes, en dépit de leur tarif de 1500 dollars, soit l’équivalent de 1300 euros.

Réalisé en partenariat avec le fabricant de planches de surf Lost Surfboards, le produit dessiné par Tesla reprend les codes de ses voitures électriques. Selon la firme, la planche est renforcée avec de la fibre de carbone “inspirée” de l’intérieur des voitures Tesla. Le logo est quant à lui placé aux extrémités de la planche. L’entreprise précise « qu’elle peut être transportée dans une Model S, une Model X et dans une Model 3, concernée par des difficultés de production ».

 

SNCF : une panne onéreuse

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Ce week-end n’a pas été de tout repos dans plusieurs gare de France, après qu’une panne électrique a endommagé le système de la gare Montparnasse. Une véritable galère pour des milliers de passagers en ce week-end de transition. Quel est le préjudice d’une telle panne ? 

La SNCF écorche un peu plus son image

Cette fois, le groupe ferroviaire n’a pas annuler de trains en raison de grève, mais d’un problème technique survenu vendredi soir, veille de chassé-croisé entre juillet et aout. Cette panne a causé des perturbations très importantes : dimanche, le trafic était très ralenti et plusieurs trains de secours ont du être affrétés pour tenter de désengluer la situation. Un nouveau coup dur pour la SNCF, qui a achevé sa grève il y a un peine un mois. Par ailleurs, le groupe ferroviaire est totalement dépendant du service RTE, fournisseur d’électricité. Samedi, il avait annoncé que le trafic reprendrait le jeudi 2 août prochain : 80 techniciens travaillent jour et nuit pour assurer une reprise rapide.

Une panne même pour les maintenances de rames

Côté SNCF, la longueur de la panne va affecter également la maintenance des rames. Le technicentre de Chatillon est en effet impacté : il y a un peu de courant grâce aux groupes électrogènes installés par la SNCF dans l’urgence, mais ce n’est pas suffisant pour assurer un fonctionnement normal, a précisé la compagnie.  « Ce sont des opérations de confort et de nettoyage, mais également de sécurité, sans ces opérations les rames ne peuvent pas circuler en fin de journée. Or chaque jour 10 TGV passent à la maintenance et le nombre de trains dont nous disposons diminue » a expliqué Rachel Picart, directrice générale de VoyagesSNCF.

Dimanche soir, plus de 45000 voyages ont du être annulés. Pour la SNCF, la somme globale à rembourser devrait être colossale… Des modalités de remboursement devraient être très prochainement proposés aux voyageurs incombés par cette panne, qui survient pendant un week-end très chargé.

 

Maison Actuelle : un vent de liberté, le temps d’un bel été

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L’été bat son plein ! Les températures remontent et se stabilisent, offrant parfois de beaux orages. Mais il en faut plus pour entacher la motivation de nombreux foyers, qui mettent à profit ces beaux jours ! Décoration, aménagement intérieur comme extérieur, quel avis et quel savoir-faire pour le magazine Maison Actuelle ?

L’été, c’est le moment de se faire plaisir : tout est de votre côté. Les longues journées ensoleillées vous accompagneront par exemple dans un nouveau projet de construction. Depuis plus d’une décennie, Maison Actuelle magazine est devenu une référence en termes de décoration. En effet, il propose un large choix de décoration d’intérieur et d’extérieur haut de gamme. Rien n’est laissé au hasard ! Dans tous ses numéros, les journalistes de l’équipe ainsi que les grandes marques de la décoration, apportent des réponses claires et des idées novatrices pour aménager et décorer son espace de vie avec goût et ingéniosité.

La saison estivale n’échappe pas à la règle : les matières phares et tendances du moment sont mis en avant. Il en va de même pour les couleurs et angles à privilégier ! Et gros bonus pour le magazine spécialisé : il s’accorde aux goûts de chacun et offre donc un panel d’idées originales, simples et efficaces.

De nos jours, beaucoup de personnes trouvent en la décoration un exutoire à part entière. Boutiques spécialisées, magazines spécialisées… Beaucoup de professionnels tentent de sortir leur épingle du jeu. Le magazine Maison Actuelle semble avoir réussi et continue à se démarquer.

 

La Poste : un record pour le prix des timbres

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Quoi qu’on en dise, les timbres font encore partie intégrante de notre vie ! Malgré la montée en puissance des nouvelles technologies, certains organismes s’en tiennent aux supports de la vieille école et rien de moins indispensable qu’un timbre pour transmettre un dit document. Mais la Poste a décidé d’augmenter drastiquement le prix de ce petit papier : il faut maintenant compter plus d’un euro pour envoyer une lettre… 

Une chute structurelle à l’origine de cette augmentation

Cette annonce du groupe la Poste est tombée cette semaine. D’après ses dires, les tarifs des timbres devraient connaître une hausse moyenne de 4,7 % d’ici 2019. Le prix du timbre flambe donc totalement, avec un record de  + 10,5 %. Pour justifier l’augmentation de ses tarifs, la Poste invoque fois la chute structurelle des volumes de courrier en France (-6% par an en moyenne depuis cinq ans). Augmenter les prix « permet de maintenir » la qualité du service « à un niveau  élevé » et « de pérenniser le service universel du courrier », a déclaré Arnaud Tomasi, chargé de la politique tarifaire courrier-colis à La Poste.

Le service colis également impacté par la hausse

En ce qui concerne les autres services délivrés par la Poste, notamment l’envoi de colis en France mais aussi à l’internationale, devraient également connaître une hausse, toutefois modérée. Par exemple, l’envoi d’un colis devrait être plus cher. Les tarifs augmenteront de 1,4 %. Selon la Poste, cette augmentation est du même acabit que celle pratiquée en 2017.

Nouvelles technologies : le chamboulement du courrier traditionnel

De nos jours, rares sont encore les personnes qui aiment à envoyer de la paperasse par la Poste, d’autant plus que la plupart des organismes et entreprises bénéficient de formulaires en ligne, évitant ainsi de perdre du temps et de l’argent.

Facebook perd près de 119 milliards de dollars

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Depuis plusieurs mois, le géant Facebook n’est pas au beau fixe. L’affaire Cambridge Analytica, qui avait mis en lumière la question des données personnelles des utilisateurs, avait allumé la flamme. Mais hier, le réseau social a été frappé par une terrible perte à Wall Street : Facebook a perdu 119 milliards de dollars, du jamais vu lors d’une séance de bourse. 

Une chute historique pour Facebook et Wall Street

Pour Facebook, cet été n’est pas sous les meilleurs auspices. Entre scandales et résultats décevants, il était évident que cela allait avoir des conséquences économiques draconniennes. Sa capitalisation boursière a chuté de 119 milliards de dollars, du jamais vu. Et cela a continué toute la journée.

« Le titre a fini à 176,26 dollars, soit une chute de 19 %, réduisant sa capitalisation boursière à 510,2 milliards de dollars. C’est la plus importante perte de valorisation jamais enregistrée en une séance à Wall Street. Ce trou d’air a contribué au recul de l’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, qui a perdu 1,01 % », précise le site de presse quotidienne Ouest-France.

Une chute courue d’avance

Alors attendu au tournant, le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg s’est justifié comme il a pu : « Nous investissons tellement dans nos systèmes de sécurité que cela va commencer à avoir un effet sur notre rentabilité ; nous commençons à le voir ce trimestre », a-t-il déclaré face à Wall Street.

Ce retour de manivelle « était un peu couru d’avance, en particulier après les niveaux élevés atteints ces derniers mois » mais « à plus long terme, Facebook a toujours devant lui des opportunités de croissance importantes », pense aussi l’analyste Erich Reimer sur le site spécialisé Seeking Alpha.

« La compagnie a des antécédents de réajustement de la croissance du chiffre d’affaires et des prévisions de dépenses, seulement pour prendre le contre-pied et dépasser ces attentes au trimestre suivant », a-t-il estimé.

 

 

SNCF : une incroyable commande à la société Alstom

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Ce jeudi, la SNCF a validé une commande hors norme : elle a commandé 100 TGV du futur au groupe Alstom, constructeur ferroviaire. Alors qu’elle vient à peine de sortir la tête de l’eau après plus de trois mois de grève, cette nouvelle n’est pas sans conséquence économique : cette commande colossale devrait coûter près de 3 milliards d’euros. 

5 ans d’attente avant ces rames du futur

Les premiers exemplaires de ces nouvelles rames devraient entrer en service d’ici à 2023. Ensuite, des des livraisons échelonnées sont prévues jusqu’en 2033. « Ce TGV du futur est le fruit d’un partenariat d’innovation, un nouveau type de marché public, entamé en 2016 avec Alstom avec pour objectif de créer un TGV de cinquième génération en rupture avec les anciens modèles, tant en termes de compétitivité que de réduction de coûts dans sa fabrication et son exploitation », explique le groupe ferroviaire. Au final, la facture s’avère moins élevée pour le transporteur. Chaque rame coûte 25 millions d’euros (au lieu de 30 millions d’euros pour un Duplex), et la SNCF alloue 1,6 million d’euros d’équipements (technologique, assise, confort) à chacune d’entre elles. Un train accessible, aussi, au-delà des obligations légales, les associations de personnes à mobilité réduite ayant été étroitement associées au processus.

Un air neuf

Avec le Wifi intégré dès sa construction, ce TGV sur deux niveaux pourra accueillir jusqu’à 740 passagers, soit 200 clients de plus que dans des rames duplex traditionnelles. Ces nouvelles rames permettront au groupe ferroviaire de renouveler ses modèles vieillissants qui datent de 1980. Cela lui permettra de gagner en rentabilité, à l’heure où la SNCF s’ouvre à la concurrence. C’est «un atout majeur pour la SNCF, un instrument de conquête dans un marché européen ouvert à la concurrence», a insisté Guillaume Pepy, président du directoire du transporteur.

Coupe du monde : quel bilan pour les télévisions françaises ?

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Voilà bientôt deux semaines que la France est championne du monde de football. L’euphorie est nettement retombée, mais les supporters les plus fervents sont encore au rendez-vous. En tout cas, ce qui est certain, c’est qu’ils étaient bel et bien présents devant leur petit écran durant la compétition. TF1, première chaine française, a diffusé 28 des plus belles affiches. Quel bilan ?

Des records d’audience  

En ne se basant uniquement que sur les revenus publicitaires touchés par TF1 lors de cette coupe du monde en Russie, la chaine a, à première vue, pleinement profité de la co-diffusion, jusqu’au 15 juillet dernier. Pour rappel, BeIn Sports, diffusait également les matchs : encore faut-il y être abonné. Quoi qu’il en soit, le groupe TF1 a dévoilé un chiffre d’affaires consolidé de 584,3 millions d’euros, pour la seule période de janvier à juin 2018. Cela est principalement du « à la progression de 1,6% des revenus publicitaires des chaînes du groupe, dopés par le Mondial ».

TF1 n’a pas tout gagné …

Alors que ses audiences ont été excellentes avec des millions de téléspectateurs pour chacun des matchs diffusé, « l’acquisition des droits de retransmission de la compétition a coûté cher. Avec 46 millions d’euros investis sur l’ensemble du premier semestre de l’année, la marge opérationnelle (rapport entre le résultat d’exploitation et le chiffre d’affaire) du groupe a fondu, passant de 10,4% à 9,3% », expliquent plusieurs spécialistes de l’audiovisuel.

… Mais presque !

« Au final, c’est un bilan positif même si nous savons que ce n’est pas directement rentable », détaille Philippe Denery, directeur financier du groupe TF1, avant de souligner « que les recettes publicitaires de cette Coupe du monde sur le digital ont été supérieures à celles de 2014« .

Dans ces calculs, n’ont pas été pris en compte les dix matchs diffusés en juillet : le retombées économiques devraient alors gonfler pour les chiffres du troisième trimestre 2018.

 

Le chômage a augmenté au second semestre 2018

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Alors qu’il y a quelques mois le gouvernement se féliciter d’une baisse du chômage, il semblerait que cette légère diminution ait vite été rattrapée. En effet, le bilan du second semestre 2018 est plus mitigé : le chômage aurait augmenté de 0,1 %

3 440 000 personnes sans aucune activité recensées

Selon la direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Darés, le service de statistiques du ministère du travail), le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A — sans aucune activité et tenus de chercher un emploi —, la plus significative, selon les économistes, a crû de 4 600 de mars à juin. Soit une hausse de 0,1 %. Une nouvelle qui tombe plutôt mal pour le président Emmanuel Macron, en plein marasme avec l’affaire Alexandre Benalla…

« Le nombre de chômeurs sans aucune activité s’établit donc aujourd’hui à 3 440 000 personnes dans l’Hexagone, hors outre-mer, et à 3 702 000, une fois ces territoires intégrés dans le calcul », rapportent le journal le Monde.

Trouver une méthodologie robuste ?

L’Inspection générale des affaires sociales (Igas) réfléchit, à la demande de la ministre du Travail Muriel Pénicaud, à une « méthodologie robuste permettant d’indexer d’éventuelles baisses d’effectifs de Pôle emploi sur celle du chômage. Mme Pénicaud a assuré que d’éventuelles coupes ne seront pas décidées a priori, mais seulement s’il y a une décrue constatée » de l’indicateur.

« On considère qu’il est raisonnable de penser que le chômage va baisser, les moyens du service public de l’emploi devront accompagner cette diminution », estimait-on récemment dans l’entourage du Premier ministre Édouard Philippe.

Alors, quelles décisions seront prises par le gouvernement afin d’inverser la tendance du chômage ?

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