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Ikea : son nouveau marché indien

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Alors qu’il est déjà présent dans 49 pays, le géant de l’ameublement IKEA souhaite s’implanter en Inde. Un marché plus difficile que les autres, puisque la culture est très différente et nécessite plusieurs adaptations. 

IKEA sous le soleil indien

Ce n’est pas la première fois que le groupe suédois tente de s’implanter en Inde. En effet, en 2006, IKEA était plus qu’intéressé et prêt pour conquérir le marché indien. Mais une loi sur les investissements étrangers a contrecarré ses plans. Depuis, elle [la loi] a été assouplie et permet désormais à IKEA de s’implanter tranquillement au pays du Taj Mahal.

« L’espace de 40 000 m² est situé en périphérie d’Hyderabad, la quatrième plus grande ville d’Inde et capitale de l’Etat du Telangana, dans le sud du sous-continent. Pour l’occasion, des rickshaws de la mégapole ont été repeints en jaune et bleu – les couleurs de la Suède et celles d’Ikea – et des concerts ont été organisés avec, sur scène, un modèle géant de chaise Ikea entouré de musiciens », détaille le Monde.

Un chemin semé d’embuches ?

Malgré cette implantation, pour certains analystes, le chemin d’IKEA sera long. En effet, le marché du meuble est déjà rempli de sites spécialisés en Inde. « Le groupe devra focaliser sur la formation de ses employés, trouver le juste équilibre pour séduire les consommateurs dans les plus petites villes« , souligne Satish Meena, analyste à la firme Forrester. « Ca prendra du temps avant de dégager des bénéfices« .

Alors quel sera l’avenir de la firme suédoise ?

Tesla quitte la Bourse ?

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Alors qu’il y a une dizaine de jours la marque Tesla lançait une collection limitée de planche de surf,  son PDG Elon Musk sème le trouble en annonçant une éventuelle sortie de Bourse. 

Un bond parti d’un tweet

Mardi 7 août, l’entrepreneur Elon Musk a affirmé, sur le réseau social Twitter, que le « groupe automobile Tesla pourrait quitter la Bourse si le prix de l’action atteignait 420 dollars, estimant que le financement de l’entreprise serait alors assuré ». Le résultat ne s’est pas fait attendre. En effet, l’action du groupe automobile a bondi de quasiment 5 %. Aux alentours de 19h30, son action a augmenté de 4,97 %, après avoir gagné jusqu’à 8,4 % juste après le partage du tweet. Finalement, cette action aura été suspendue par Wall Street.

Tesla, un habitué des polémiques ?

« Je n’ai pas des droits de vote majoritaires actuellement, mais je ne m’attends pas à ce qu’un actionnaire en ait si nous quittons la cote. Je ne vendrai pas mes titresquel que soit le scénario », a poursuivi Elon Musk, qui détient environ 20 % du capital de Tesla. « Pour convaincre de potentiels actionnaires réticents, il a évoqué la possibilité de créer un fonds spécialisé qui garantirait l’équité entre investisseurs », explique le journal Le Monde.

Cependant, le groupe automobile n’a pour autant pas confirmé qu’il s’agissait bien d’un tweet attribué à Elon Musk. D’après FranceInfo, le dirigeant médiatique de Tesla est un habitué des polémiques, notamment via Twitter dont il est très friand, causant parfois de lourdes sanctions en Bourse.

Google : la sanction de la commission européenne

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Google est devenu LE de recherche par exemple pour l’immense majorité de la planète. Une position dominante considérée par la Commission européenne comme abusive dans le domaine des systèmes d’exploitation pour Smartphone. 

Le conflit entre l’Union européenne et les géants américains de l’Internet en arrive à une étape historique avec l’amende record infligée à Google par la Commission à Google. 4,34 milliards d’euros sont réclamés à l’entreprise américaine, « pour abus de position dominante de son système d’exploitation de Smartphone« . En effet, le système Android équipe 80 % des Smartphones au sein de l’Union européenne. Le porte-parole de la Commission européenne à Paris, Guillaume Roty, explique qu’ « il y a une concurrence d’Apple, mais ça ne change pas la position dominante d’Android. N’importe quelle compagnie qui produit un téléphone doit y mettre un logiciel d’exploitation. Apple ne va pas lui donner son logiciel, car elle construit en intégralité l’appareil et son système d’exploitation. Le producteur de téléphones ne peut donc qu’aller voir Android ».

« C’est sur cette démonstration que repose l’amende infligée à Google. Une amende record qui fait pourtant dire à certains qu’elle n’est pas à la hauteur des enjeux, car pour être dissuasive encore faut-il qu’elle fasse mal au portefeuille. Or, le chiffre d’affaires de Google est supérieur à 100 milliards d’euros chaque année. Le coup financier est donc à relativiser et Google a d’ores et déjà annoncé qu’il ferait appel de cette décision », expliquent plusieurs sites d’informations.

Le plus inquiétant pour Google reste la volonté de la Commission européenne de faire jouer à plein les règles de la concurrence. Guillaume Roty ajoute en parlant du géant américain : « vous avez le droit d’avoir un produit qui marche très bien, vous avez le droit d’avoir du succès, mais vous n’avez pas le droit d’empêcher les autres d’en avoir ». La Commission estime que les utilisateurs de Smartphones n’ont pas le choix et sont obligés d’utiliser Android uniquement parce que les producteurs de téléphones n’ont pas d’autre solution que de se plier à cette norme.

Carrefour : un bug baisse les prix !

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La semaine dernière, l’enseigne Carrefour a été victime d’un bug qui lui a – involontairement – fait réduire ses prix sur certains articles… au grand bonheur des clients. 

Des prix anormalement bas

Selon la direction du groupe Carrefour, un « problème technique ponctuel » serait à l’origine des prix anormalement bas pratiqués jeudi dernier pour certains des produits vendus sur Ooshop, le site de vente en ligne de l’enseigne.

De la viande, du lait maternel, des aliments surgelés, des produits d’entretien et des bouteilles d’alcool ont été proposés à des tarifs impensables : une bouteille de champagne était par exemple en vente à seulement 80 centimes. D’autres produits, disponibles sur le site comme des alcools forts, étaient eux vendus à deux ou trois euros au lieu d’une quinzaine en temps normal.

La grande distribution souvent victime de bug technique

Après un retour à la normale, le Groupe Carrefour n’a cependant pas indiqué si les clients qui avaient pu bénéficier de ces prix avantageux avaient été livrés ou s’ils avaient été remboursés de leurs commandes. « Ce n’est pas la première fois qu’un site d’une enseigne de la grande distribution est touché par un tel bug au niveau des prix de ses produits. En novembre dernier, alors que le Black Friday approchait à grands pas, le site de Leclerc affichait la console PS4 à 29,99 euros au lieu de 400 euros en temps normal », explique le site d’informations Francesoir.

Les réseaux sociaux ont aidé la marque

Alors que Carrefour n’avait rien vu venir, les ristournes appliquées sur les produits ont rapidement fait le tour des réseaux sociaux. Ainsi, l’enseigne Carrefour a rapidement pu garantir un retour à la normale.

Quel bilan pour les soldes ?

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Ce mercredi sonnera la fin des soldes d’été pour cette année. Avec près de six semaines de prix réduits et de promotion imbattables, quel bilan en tirent les commerçants ? 

« Le bilan est mitigé mais on s’y attendait. Actuellement, nous avons des réductions durant pratiquement toute l’année donc la période des soldes n’est plus aussi importante qu’avant », note Stéphanie Hyvrard, directrice d’un magasin de prêt-à-porter.

Une coupe du monde et la canicule au mauvais moment ?

En effet, les soldes n’ont pas été aidées par la coupe du monde, qui a maintenu la plupart des clients sur les terrasses des troquets et autres bars. Par ailleurs, la canicule qui a sévit et continue de sévir sur toute l’Europe n’engage pas à aller se promener des heures durant dans les rues ensoleillées. « Il y a eu la coupe du monde, qu’il ne faut pas oublier. Nous avons eu un jour férié durant un week-end. En général, tous les samedis, nous travaillons excessivement bien. Et la chaleur, tout ça, ça a été imprévisible donc ça nous a fait perdre une certaine marge », explique Lola Ayari, adjointe dans une parfumerie.

« Beaucoup de commerçants estiment que les gens font du repérage dans leur boutique, essayent le vêtement, la paire de chaussures, et puis font l’achat en ligne parce qu’ils cherchent la meilleure affaire », estime Clarisse Ramakers, directrice des études à l’Union des classes moyennes.

Internet n’aide pas les commerçants physiques

Les commerçants s’accordent à le dire : les soldes d’été n’ont plus tant de succès que par le passé. Des offres et promotions sont proposées tout au long de l’année. De plus, cela s’ajoute la concurrence des boutiques en ligne qui cassent nettement les prix pour gonfler leur chiffre d’affaires. Une commerçante constate surtout qu’avec internet ses ventes baissent. « Les gens achètent sur internet et je n’ai pas d’enseigne, je suis généraliste, je ne peux pas faire des -70%« , explique-t-elle.

Amérique : une santé économique qui se porte bien

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Alors que la président Donald Trump continue sa guerre en solitaire contre le reste du monde, il est inévitable de voir que la croissance américaine est au beau fixe. En effet, stimulée par la consommation, l’expansion a atteint 4,1% au deuxième trimestre 2018. 

Une croissance digne d’un pays émergent

Pour l’Amérique, rien ne serait différent si elle était encore un pays émergent. En effet, sa forte expansion est digne d’un de ces pays en plein développement. L’économie américaine a progressé de 4,1 % au second trimestre 2018. Cette hausse est la plus forte enregistrée depuis 2014.

Elle correspond au double enregistré lors du premier semestre de l’année 2018. Par ailleurs, le produit intérieur brut des États-Unis a dépassé, pour la première fois de son histoire, la barre symbolique des 20.000 milliards de dollars. »

L’Amérique est respectée

« Nous faisons envie au reste du monde. L’Amérique est respectée ! Nous avons réalisé un retournement économique d’une ampleur historique , qui permettra au pays d’être sur la bonne voie pour arriver au plus fort taux de croissance annuel en treize ans », avait déclaré le président Donald Trump, insistant encore une fois sur la puissance de son pays.

L’économie américaine a été tirée par la consommation privée, qui a bondi de 4% (contre 0,5% au trimestre précédent), son meilleur score depuis la fin 2014. « Stimulée par les baisses d’impôts, le taux marginal de la plus haute tranche est passé par exemple de 39,6 à 37%, la consommation contribue ainsi à hauteur de 2,7 points au PIB, représentant les deux tiers de l’accroissement », explique Gérard Blandin, journaliste pour le site spécialisé Le Revenu.

« La croissance pourrait ralentir globalement au second semestre 2018 en raison de l’incertitude commerciale (qui pourrait réduire les dépenses d’investissement et l’embauche) et des effets du resserrement de la politique monétaire« , prévoit James Knightley, économiste en chef international chez ING. « Nous pensons toujours que l’économie pourrait progresser de 3% en 2018 ». 

« La croissance potentielle du PIB peut être définie simplement comme la somme de la productivité et de l’emploi. Comme le taux de chômage se situe actuellement à un niveau historiquement bas de 4%, les acteurs du marché craignent qu’en l’absence d’une productivité plus rapide l’économie ralentisse. Heureusement, il existe des éléments tangibles que la productivité va vers le rebond. Dans le même temps, les gains d’emplois sous-jacents semblent être stables. Si la Fed n’est pas trop agressive, il y a de fortes chances que le PIB réel continue de croître à un rythme d’environ 3% pendant un bon moment », explique de son côté Joseph Lavorgna, chef économiste pour les Amériques de Natixis

Arrêts maladie : bientôt payés par les employeurs ?

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Lorsqu’un employé d’une entreprise est malade, il est coutume que la caisse primaire de maladie et d’assurance (CPAM) prenne en charge certains coûts. Mais aujourd’hui, le gouvernement réfléchit fortement à faire payer les employeurs pour les courts arrêts maladie de moins de huit jours. Une idée qui les insurge. 

Afin de réaliser des économies et surtout de réduire le nombre d’arrêts maladie, le gouvernement est entrain de réfléchir à une nouvelle piste de financement de ces arrêts, suite à un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales. Il semblerait que les entreprises devront mettre la main à la poche pour payer eux-mêmes les arrêts maladie.

Aujourd’hui, lors d’un arrêt de travail,les trois premiers jours d’arrêt ne sont pas indemnisés. Après cette période appelée carence, suivent les versements des indemnités journalières par la sécurité sociale. Avec cette mesure portant sur les arrêts maladie de moins de huit jours, ce sont les employeurs qui paieraient les indemnités des jours restants. Cet étonnant projet pourrait coûter la modique somme de 900 millions d’euros aux entreprises.

La bagarre avec les employeurs ?

« On n’est pas sur des sommes futiles, on parle de charges massives. Une telle décision aurait forcément des conséquences en terme d’économie et d’emplois », dénonce sur France 2 Jean-Michel Pottier, vice-président de la CPME. »Le principe n’est pas acceptable. On ne peut pas dire qu’on baisse les charges pour les entreprises et, à côté, nous taper dessus à la première occasion« , s’insurge Alain Griset, le président de l’U2P, dans les colonnes du Figaro.

Les salariés pourraient également pâtir de cette éventuelle réforme selon ses détracteurs. “Je ne doute pas que certains employeurs décideront de rogner les augmentations des salariés pour faire face à ces nouvelles dépenses”, expose Jean-François Foucard, secrétaire national à la CFE-CGC (Confédération française de l’encadrement – Confédération générale des cadres).

Apple : un record pour la Bourse

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Apple, bien connu pour ses produits de haut vol et très pointus, a passé un cap historique en terme de capitalisation boursière. En effet, la marque à la pomme a dépassé mille milliards de dollars.

Un chiffre historique

Ce jeudi, Apple est devenu le premier groupe privé à passer le cap du «trillion» de dollars. Cette barre symbolique de la capitalisation boursière a été franchie quand l’action Apple a atteint le prix de 207,05 dollars à Wall Street, vers 11h50 (17h50 heure de Paris).

Si quelqu’un voulait racheter toutes les actions Apple, il devrait donc débourser 1.000 milliards de dollars. C’est autant que les dix plus grandes entreprises du CAC 40 cumulées et deux fois le PIB de la Belgique.

Apple reste talonné par d’autres géants du Web

Malgré ce chiffre historique, des géants comme Amazon, Google ou encore Microsoft, respectivement valorisés à 877 milliards de dollars, 852 milliards de dollars et 824 milliards de dollars.

Selon plusieurs médias comme le Figaro, « ces valorisations boursières sont la combinaison de facteurs peu communs pour des entreprises« : des positions mondiales très fortes, une croissance de l’activité incroyable, à savoir + 39 % de hausse du chiffre d’affaires d’Amazon au printemps. Enfin, cela est également le résultat d’une capacité d’innovation qui leur permet de s’étendre vers de nouvelles activités. Google s’intéresse ainsi à la voiture autonome, à la santé mais également à l’éducation.

Une performance remarquable

Pour Apple, il s’agit tout de même tout d’une incroyable performance. En effet, dans les années 90, la marque à la pomme était au bord de la faillite et n’avait plus que trois mois de trésorerie, selon Steve Jobs.

Elle doit notamment sa survie à un investissement de Microsoft de 150 millions de dollars qui garantit la présence d’Office sur le Mac pour cinq ans. Apple lance l’iMac en 1998 puis l’iPod en 2001 et l’iPhone en 2007. Moqué par ses concurrents, son smartphone représente aujourd’hui près de deux tiers d’un chiffre d’affaires annuel qui dépasse les 200 milliards de dollars. Monstrueux.

Faut-il craindre la reprise de l’inflation ?

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Mauvaise nouvelle pour les Français. Le pouvoir d’achat est de nouveau dans une mauvaise passe, puisque l’inflation a repris de plus belle ces trois derniers mois. Que cela engendre-t-il ? 

L’inflation à la hausse

Cela ne pouvait pas durer. Depuis plusieurs années, l’inflation française est très faible. Pour la première fois au mois de juillet, elle s’est établie au-dessus de la cible fixée par la Banque Centrale Européenne (BCE), c’est à dire 2 %. Selon les détails communiqués ce mardi par l’Insee, la flambée des prix résulte surtout des prix de l’énergie. Ils ont bondi de près de 15 % sur un an, en raison de la forte augmentation du prix du gaz.

Gaz, électricité et alimentation

Alors que l’électricité représente une source plus que certaine pour expliquer cette augmentation de l’inflation, les produits alimentaires ne sont pas en reste. En effet, leurs prix ce sont accélérés par rapport au mois de juin : on compte + 0,2 % en un an. Ce constat est également valable pour les produits frais, avec 6,3 % supplémentaire. A noter que la hausse de l’alimentation hors produits frais reste elle stable. L’institue Insee note également une hausse, « dans une moindre mesure », des prix des services : cela correspond à 1,3 % supplémentaire.

2012 : une inflation équivalente

Il faut remonter à mars 2012 pour retrouver un niveau d’inflation si élevé. Il s’agit d’un « phénomène majeur », a expliqué à l’AFP Philippe Waechter, responsable de la recherche économique chez Natixis Asset Management. Il insiste néanmoins sur le fait que ce sont bien des coûts de l’énergie plus élevés qui ont « porté cette inflation bien au-delà des 2% souhaités« .

D’autres économistes estiment cependant que l’inflation a touché « un pic » le mois dernier et risque de « se saper elle-même » : « Les consommateurs vont être tentés de faire des économies là où ils le peuvent, ce qui va avoir pour effet de tirer les prix vers le bas« , explique l’économiste Véronique Riches-Flores à L’Expansion. « Mon diagnostic, c’est que l’inflation ne provient pas vraiment d’une reprise de l’activité, mais qu’elle a des causes exogènes ».

 

 

Déclaration de revenus : modifiez vos erreurs !

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Souvent, la période où la déclaration des revenus doit être faite est une période de grand stress pour beaucoup de Français. Incompréhension, faute de frappe… Les conséquences peuvent parfois être lourdes ! Mais le gouvernement a rappelé la marche à suivre pour modifier une déclaration de revenus erronée. 

Une erreur rattrapable

La dernière déclaration de revenus s’est faite pour l’ensemble de la population française durant l’année 2017, afin de déclarer les revenus perçus cette même année. Une erreur s’est glissée dans la saisie en ligne ? Pas de panique. L’administration fiscale a rappelé cette semaine la marche à suivre pour modifier toute erreur, susceptible de porter préjudice. Le service de correction en ligne est accessible depuis le mardi 31 juillet et le restera jusqu’au mardi 18 décembre. Ce service permet également la correction des déclarations de l’impôt sur la fortune immobilière (IFI).

Cependant, il faut tout de même bien vérifier si une modification est somme toute possible. En effet, ce service bien pratique ne s’adresse pas à tout le monde : seules les personnes ayant déclaré leurs revenus en ligne peuvent modifier les erreurs faites lors de leur déclaration. Cette année, 62,5 % des foyers fiscaux ont déclaré leurs revenus en ligne.

Retardataire et vieille école

Pour les éternels amoureux du papier ou ceux qui dépasseront la date butoir du 18 décembre, il faudra alors demander une correction en adressant une réclamation au service de l’administration fiscale. Dans ce cas, il est possible d’effectuer cette démarche jusqu’au 31 décembre 2020. Même si cette date semble bien loin, certains seraient capable de l’oublier…

En cas de baisse d’impôts après modification, les concernés recevront un avis d’impôt corrigé, qui les informera du dégrèvement prononcé en leur faveur suite aux modifications déclarées. La somme définitive à payer est celle précisée sur cet avis de dégrèvement, sous le libellé « montant de votre impôt net ».

 

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