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McDo ferme 40% de ses restaurants indiens

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Le géant mondial de la restauration rapide, McDonald’s, a annoncé qu’il souhaitait la fermeture de toutes ses enseignes tenues par un franchisé indien, représentant 40% des restaurants de l’enseigne en Inde.

Lundi 21 août 2017, les porte-paroles de la chaîne de restauration rapide la plus célèbre au monde, McDonald’s, ont fait savoir que la compagnie exigeait la fermeture des 169 restaurants gérés par son (ancien) partenaire local, la société Connaught Plaza Restaurants Private Limited (CPRL).

De plus, les dirigeants de McDonald’s n’accordent à cette entreprise indienne que deux semaines pour fermer tous ses établissements.

Connaught Plaza Restaurants Private Limited (CPRL) était l’un des deux franchisés McDonald’s en Inde et ses restaurants représentent 40% des établissements de la chaîne dans ce pays.

Dans un communiqué qui fait notamment allusion à différents problèmes d’hygiène survenus dans ces restaurants, McDonald’s explique ainsi que « Nous avons été obligés [de mettre fin au partenariat], car CPRL a matériellement enfreint les conditions des accords de franchise liés aux restaurants concernés ».

Une décision qui devrait mettre à mal la position asiatique de la multinationale.

 

Football : les millions du mercato

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La fin du mois d’août va également marquer la fin de la période du mercato estival concernant les joueurs de football.

C’est devenu plus qu’un tradition, le nerf même de la guerre que se livrent les plus gros clubs de football du monde : qui va faire venir quel joueur dans son club ? Pour quel salaire ? Et quel montant du transfert ?

Cette période, qui s’ouvre officiellement au moins de juin est celle pendant laquelle les clubs européens sont autorisés à changer leurs effectifs en achetant et vendant des joueurs.

Depuis plusieurs dizaines d’années, ces fameux transferts alimentent les conversations des amateurs de football et de fans.

Il faut dire que les équipes sont parfois modifiées en profondeur d’une année sur l’autre, avec des départs et arrivées de masse.

La professionnalisation du football a ainsi tué les joueurs locaux, qui faisaient parfois toute leur carrière dans le même club. Désormais, tous les ans, les effectifs sont modifiés au bénéfice des agents de joueur, qui poussent toujours leurs protégés à changer de club, car ils touchent des pourcentages sur les transferts.

Le paradoxe de l’économie estivale

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Alors que la période des vacances d’été est celle qui profite le plus au secteur touristique français, l’économie nationale pâtit d’une baisse de l’activité globale durant les mois de juillet et d’août.

La France reste la première destination touristique mondiale. Malgré les attentats récents et une chute de la fréquentation de notre pays par les étrangers, la France a conservé la tête de ce classement.

Avec le tourisme, le luxe et la gastronomie, une grosse partie de l’économie française est liée au prestige international de sa culture.

Il devrait donc être logique que l’économie nationale bondisse pendant cette forte période d’activité touristique, où les étrangers sont le plus nombreux en France.

Pourtant, comme toutes les années, cet été enregistre une baisse de l’activité nationale.

L’explication principale est le fait que de nombreux travailleurs français prennent des vacances pendant cette période. Pour de nombreuses entreprises qui n’appartiennent pas au secteur touristique, l’été marque bien une forme de pause de l’activité, avec des société qui tournent souvent au ralenti.

Cette diminution de l’activité n’est donc pas compensée par l’explosion des activités touristiques.

Le web collaboratif pour faire des économies

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Pour réaliser des économies, les consommateurs français ont de plus en plus recours à l’économie collaborative.

Air BnB, Blablacar et autres sites de partages de services, nous avons désormais tous entendu parlé (si ce n’est utilisé), de ces nouveaux sites de consommation « citoyenne ».

Si l’argument environnementaliste est souvent le premier mis en avant, les consommateurs avouent facilement avoir recours à ces plateformes pour réaliser des économies.

Pour se déplacer en France, il existe un moyen plus flexible que le bus et bien moins cher que le train : le covoiturage.

Eviter de polluer l’atmosphère, faire des économies et se sociabiliser, voilà les arguments qui poussent un maximum de Français vers ces services de partage.

Mais si le covoiturage et les échanges de logements sont les sites les plus fréquentés, d’autres plateformes apparaissent chaque jour et l’éventail de service pourrait être sans limite.

Le web collaboratif : la consommation de demain…

Les étudiants adoptent l’autoentrepreneuriat

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La création de micro-entreprises concerne de plus en plus les étudiants, qui sont séduits par ce format.

Les étudiants français sont de plus en plus nombreux à se lancer dans le grand bain et à créer leur autoentreprise.

En effet, ce modèle correspond tout particulièrement à leurs attentes.

Bénéficiant généralement de faibles revenus, les étudiants ne sont pas bloqués par le plafond de ce statut, qui devient souvent un frein pour les indépendants.

Au niveau de la souplesse, le régime d’autoentrepreneur, leur permet d’accepter des missions qu’ils peuvent réaliser à des horaires et sur des lieux qui leur conviennent. Ils peuvent aussi adapter la masse de travail qu’ils acceptent, en fonction du calendrier des examens, par exemple.

Enfin, ce système séduit de plus en plus de jeunes car il correspond souvent a des petits jobs qui sont parfaits pour des étudiants, comme livreur à vélo.

On saura dans les prochains mois de quelle manière le nouveau gouvernement compte réformer ce statut. Souhaitons qu’il pense aussi aux étudiants…

Paie SIRH : Calexa group recrute des consultants

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Le cabinet de conseil Calexa group, spécialisé dans la transformation digitale, ainsi que dans l’accompagnement des DRH pour l’évolution du métier et des technologies, recrute des consultants expérimentés en Paie SIRH.

Dans le cadre de la stratégie Calexa 3I (Implication, Intelligibilité, Innovation), les consultants Calexa group interviennent en étroite collaboration avec les équipes du client sur tout ou partie de leurs projets SIRH, en France comme à l’international.

Les candidats doivent disposer d’une forte expertise des besoins métier, de suivre les projets et la planification, d’être à même d’assurer le suivi de la recette, d’accompagner les clients dans le choix de la solution la plus adaptée à leur situation, de rédiger les cahiers des charges, ou encore d’effectuer les taches de conseil métier RH et de veille réglementaire.

Calexa group recherche des candidats diplômés d’une école supérieure de commerce, d’une école d’Ingénieur ou de l’université, et qui disposent également d’une expérience pertinente d’au moins 5 ans (assistance à maîtrise d’ouvrage et/ou gestion de projet SIRH), au cours de laquelle ils ont travaillé sur des projets d’envergure, dans un cabinet de conseil.

Les candidats doivent maîtriser à la fois les enjeux RH et ceux concernant la révolution numérique, avec notamment la maîtrise d’un ou plusieurs système d’information. Calexa group est un cabinet de conseil RH et SIRH qui s’est spécialisé dans les enjeux de la transition numérique. Le digital est donc au cœur de la stratégie et du savoir-faire de Calexa group.

Les candidats devront accepter et intégrer les valeurs, les exigences et l’éthique professionnelle de Calexa group. Motivés par les challenges et les perspectives d’évolutions de poste, ils devront être dynamiques pour accompagner le développement rapide d’une société jeune et en forte croissance, qui propose de surcroît à ses collaborateurs des situations salariales avantageuses.

Les candidatures peuvent être envoyées directement via le site du cabinet (www.calexa-group.com).

Budget : Sapin refuse de porter le chapeau

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Alors que la cour des Comptes, puis le gouvernement, ont dénoncé les pratiques du gouvernement précédent en termes de gestion du budget, Michel Sapin, l’ancien ministre du budget, s’est exprimé pour se défendre.

La semaine dernière, la cour des comptes a dénoncé avec virulence les dérives budgétaires du quinquennat de François Hollande, estimant à 8 milliards d’euros le trou supplémentaire par rapport à ce qui avait été annoncé.

L’actuel gouvernement a alors sauté sur l’occasion pour dénoncer cette pratique et annoncer qu’il allait devoir faire preuve d’encore plus de rigueur. Un bon prétexte aussi pour repousser les baisses d’impôts prévues par le candidat Macron.

Visiblement, l’ancien ministre du budget, Michel Sapin, n’a pas apprécié ces attaques, il s’est défendu aux micros de Franceinfos :

« Le coup de l’héritage, à droite comme à gauche on l’a fait. Aujourd’hui, ce n’est pas crédible ».

[…]

« Les chiffres (de la Cour des comptes) sont exacts. Les commentaires de la Cour des comptes, comme d’habitude, sont acerbes mais ils le sont avec tout gouvernement. Par contre, le terme d’insincérité me choque. (…) Les auditeurs, les gens disent : +ils ont triché+. C’est faux. Il n’y a aucune tricherie, aucune cachotterie ».

[…]

« Quand le Premier ministre dit +il y a 8 milliards de chèques en blanc+, ça voudrait dire qu’on a dépensé, qu’on a acheté quelque chose et qu’on ne l’a pas payé. C’est totalement faux ».

Jonathan Fiawoo : « une nouvelle génération de start-up africaines pour les EdTech »

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Ancien président de la Chambre de Commerce du Togo, Jonathan Fiawoo est une homme d’affaire africain respecté. A travers ses prises de positions et ses investissements, il souhaite participer au renouveau africain. Parmi ses engagements, la transition écologique bien sûr, mais également l’éducation.

Quelle analyse faites-vous de la situation de l’Ecole en Afrique ?

Il y a deux manières de considérer les enjeux éducatifs en Afrique aujourd’hui. La première, plutôt pessimiste, elle consiste à constater qu’aucun des pays d’Afrique subsaharienne  n’est parvenu à réaliser les objectifs d’une « Education pour tous », initiative ratifiée par la communauté internationale en 2000, sous l’égide de l’Unesco. Force est de constater que 16 des 20 pays les plus mal notés (au regard des efforts consentis ces 15 dernières années en la matière) sont africains.

Et la vision optimiste ?

Je parlerais plutôt d’une vision réaliste. Il faut comparer ce qui est comparable. Or, en 2000, les pays africains étaient les seuls à afficher des taux de scolarisation très en dessous des moyennes internationales, avec un taux de scolarisation dans le primaire inférieur à 60 % (quand il dépassait déjà 90 % en Asie du Sud-Est). De plus, nous parlons d’un continent qui a dû faire face, dans le même temps, à un « challenge démographique » considérable, qui s’est traduit par une explosion du nombre de jeunes à scolariser. Autrement dit, même imparfaits, les résultats actuels sont déjà un petit exploit face à l’ampleur du défi.

Est-ce que les moyens consacrés sont suffisants ?

Cela dépend de qui l’on parle… L’aide internationale, pour la partie qui est consacrée à l’éducation dite « de base », a été très largement amputée ces vingt dernières années, passant de près de 50 % à environ 30%.

En revanche, il est vrai que les pays africains, de leur côté, ont fait progresser les crédits qu’ils consacrent à l’éducation. Certains pays ont purement et simplement supprimé les frais de scolarité (Burundi et Tanzanie par exemple), d’autres ont porté leur effort jusqu’à consacrer 30 % de leur budget national à l’éducation !

Parmi les solutions, vous soutenez le développement du numérique. Pourquoi ?

Face au manque de moyens, au manque d’établissements, et parfois au manque d’enseignants, il semble logique de se tourner vers le numérique et ses solutions propres. La dématérialisation des contenus scolaires (à condition que les réseaux mobiles le supportent) est évidemment une piste en matière d’accès à l’éducation. A fortiori dans des zones enclavées.

D’autant plus qu’une nouvelle  génération de start-ups africaines se lance sur ce secteur des « ed-tech » [education technology, NDLR].

Pouvez-vous nous donner des exemples ?

En Côte d’Ivoire, la start-up Qelasy a fait parler d’elle. Son fondateur, Thierry N’Doufou, a voulu lancer une tablette qui affranchisse les enfants des contraintes de lieu et de temps. Des milliers d’ouvrages sont accessibles, et des vidéos éducatives également. Au Kenya, l’initiative eLimu est aussi très intéressante : elle rend ludique l’apprentissage, en mettant aussi en relation directe les enfants avec des professeurs.

Les économies d’échelle sont donc potentiellement considérables…

Amende record pour Google

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L’Union Européenne a infligé au géant américain Google une amende record de 2,42 milliards d’euros.

C’est une décision qui va faire du bruit et qui devrait surtout faire jurisprudence.

Google a donc été condamné à payer une amende de 2,42 milliards d’euros par la Commission européenne, qui lui reproche des faits « d’abus de position dominante ».

En outre, google dispose d’un délais maximum de 30 jours pour trouver un moyen d’en finir avec ses pratiques jugées discriminatoires. S’il ne s’y plie pas, le géant devrait s’acquitter de pénalités pouvant atteindre jusqu’à 5% de son chiffre d’affaires.

Cette condamnation est lié à l’outil de comparateur de prix de Google, «Google Shopping», qui aurait été trop favorisé par Google, au détriment des consommateurs européens.

Cetet décision a été largement commenté et devrait servir dans l’avenir à éviter ce type de pratiques.

Contrat de travail : clash entre Mélenchon et Villani

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Les deux députés fraîchement élus, Jean-Luc Mélenchon et Cédric Villani, se sont affrontés par médias interposés, au sujet des contrats de travail.

Jean-Luc Mélenchon avait prévu un baroude d’honneur pour son entrée à l’Assemblée Nationale, qui a eu lieu mardi 20 juin 2017.

Devant un parterre de journalistes, il a annoncé vouloir symboliser la résistance au gouvernement, avant de lancer une pique à l’un des nouveaux députés de la république En Marche, Cédric Villani.

« Il y a de braves gens là-dedans. Bon, il y a beaucoup de DRH et de gens comme ça qui ont une conscience sociale souvent assez faible, mais il y a beaucoup de chercheurs, des intellectuels… J’ai vu le matheux là, je vais lui expliquer ce que c’est qu’un contrat de travail il va tomber par terre. Parce qu’il ne sait pas ce qu’il y a dedans ! Il ne sait pas que la journée de huit heures, c’est 100 ans de lutte. Le gars, il croit que ça a toujours été comme ça. »

Le député et mathématicien reconnu a rapidement réagit sur Twitter, rappelant au candidat de la France insoumise qu’il avait dirigé l’Institut Henri-Poincaré, dans un tweet teinté d’ironie :

« Cher @JLMelenchon, Directeur de l’IHP, j’en ai vu des contrats de travail… mais c’est tjs un plaisir de recevoir des cours particuliers ! »

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