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Navigo Liberty et Easy : nouveaux titres de transport

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La fin du classique ticket de métro parisien se précise. Deux nouvelles cartes, censées le remplacer dans le futur, seront lancées en 2019. Cela a été voté ce mercredi par Ile-de-France Mobilités.

550 millions de tickets vendus chaque année

En mai dernier, Valérie Pécresse annonçait vouloir faire progressivement disparaître le ticket de transport dans sa région, la région Ile-de-France. Les choses semblent maintenant se concrétiser, avec l’annonce du lancement l’an prochain de deux nouveaux passes. Ils devraient se substituer à terme aux 550 millions de tickets cartonnés utilisés chaque année.

Deux formules

Navigo Liberté +, prévu pour octobre 2019, suivra pour chaque voyage le modèle tarifaire actuel des carnets de tickets. Pas nécessairement rechargeable, il permettra un déplacement en bus, tram, métro et RER, ainsi que d’effectuer des correspondances bus-métro et tram-métro sans valider deux titres de transport comme aujourd’hui. Le montant des trajets réalisés sera prélevé sur le compte bancaire du propriétaire auquel il sera directement lié. Navigo Easy, le second pass annoncé pour avril 2019, sera sans contact et coûtera deux euros. Il permettra plutôt aux voyageurs de charger des titres de transport occasionnellement : tickets à l’unité, carnet ou forfait Navigo jours par exemple.

Pour les plus impatients, Ile-de-France Mobilités va déjà proposer d’utiliser la technologie NFC de son smartphone pour valider son titre de transport, en automne 2018.

Actuellement, le ticket est vendu près de 2 euros dans les stations de métro, tramway et bus. Le pass navigo, lui, coûte une centaine d’euros environ.

Développement commercial : une stratégie efficace

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Le choix de la stratégie du développement commercial d’une entreprise est primordial pour son développement, ou même sa pérennité. En effet, qu’il s’agisse d’une société spécialisée dans le B2B, ou bien qui s’adresse directement aux particuliers, elle ne pourra faire l’économie de la recherche de nouveaux clients.

Lorsque l’on lance un nouveau business, la première condition de son succès et de sa viabilité est évidement sa rentabilité économique (au moins à moyen termes). Autrement dit, pour qu’une entreprise tourne correctement il lui faut rentrer de l’argent. Et si possible un maximum.

Pour cela, une seule solution : trouver de nouveaux marchés ! Même lorsque la société a été créée sur la base d’un premier contrat déjà important, le chef d’entreprise ne peut s’appuyer sur ses acquis et laisser sa société dépendre du bon vouloir d’un seul client.

Pour commencer, il faut définir son produit ou service de la manière la plus simple possible, avant de cibler au plus près les éventuels clients qui pourraient être intéressés par ce service. Il peut s’agir d’une catégorie professionnelle dans le cadre d’un business B2B, ou de critères plus markéting pour du B2C (âge, géographie, csp, sexe…).

Une fois ces deux éléments prioritaires bien définis et maitrisés (que veux-je vendre et à qui ?), on peut déployer sa stratégie de développement commercial.

Bien sûr, de nombreux outils sont désormais bien connus et accessibles à tous de manière relativement facile via le net. Pour autant, il est recommandé de faire appel à un expert pour cette opération. Et précisément parce qu’il ne s’agit pas d’un expert de votre secteur : il peut prendre le recul nécessaire et il sait s’adapter à toute nouvelle problématique client.

Parmi les acteurs émergeants de ce domaine, on peut citer la société CI-Services, spécialisée dans la stratégie de développement commercial, dont le fondateur, Pascal Courrier, considère également qu’il « faut en priorité savoir définir son offre de service ou produit en quelques mots ».

Un conseil qui pourrait passer pour une évidence si de nombreux entrepreneurs ne s’étaient pas égarés en omettant cette première étape vitale…

La France perd sa sixième place de l’économie mondiale

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En 2017, l’Inde a détrôné la France de sa sixième place au classement des pays par produit intérieur brut. Un dépassement qui souligne la rapidité des évolutions économiques : il y a moins de dix ans, le PIB indien représentait la moitié du nôtre.

Un dépassement historique

Jamais les économistes français auraient pu imaginer que cela arriverait : Le PIB de l’Inde a dépassé pour la première fois celui de la France en 2017. « Une reprise en Inde et voilà le sous-continent qui ravit sa place de 6e économie à la France, laquelle n’avait pourtant pas démérité en 2017 », précise le journal le Monde. Portée par l’industrie manufacturière et la demande de ses 1,34 milliard de consommateurs, l’économie indienne a atteint 2 597 milliards de dollars contre 2 582 milliards pour la France, selon les chiffres les plus récents de la Banque mondiale.

La cinquième économie mondiale ?

Selon les prévisions annuelles du Fonds monétaire international (FMI), les économies émergentes et en développement d’Asie devraient connaître une croissance soutenue en 2018, bien au-delà de la moyenne mondiale attendue à 3,9 %. L’Inde en particulier, qui a vu son PIB doubler en dix ans quand la croissance chinoise a plutôt ralenti, pourrait rattraper le Royaume-Uni, son ancien colonisateur, et devenir la cinquième économie mondiale dès 2018.

Le pays a acquis une réelle compétence dans les technologies de l’information, avec des dizaines de millions d’ingénieurs diplômés… Sa croissance démographique forte (la population indienne devrait dépasser la population chinoise en 2028) augure de solides capacités de développement et de grands marchés de consommation.

La France passera du 5ème au 9ème rang mondial entre 2017 et 2032, selon le Centre for Economics and Business Research.

Moyens de paiment : la fraude à la baisse, sauf pour les chèques

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Selon l’observatoire annuel de la Banque de France, la fraude a régressé de 54 millions d’euros en 2017, malgré une hausse continue du nombre d’échanges monétaires. 

Le taux de fraude n’a jamais été aussi bas

En utilisant une carte bancaire ou en privilégiant le prélèvement ou le virement pour leurs transactions, les consommateurs diminuent nettement les risques d’être victimes de fraudes. Une amélioration de la situation grâce à une prise de conscience de l’ensemble des acteurs économiques : les pouvoirs publics, les commerçants, les professionnels, les associations de consommateurs. « Nous voyons une baisse du taux de fraude dans les paiements sur Internet, grâce aux SMS d’identification. Sur les prélèvements et les virements, ce sont les moyens de paiements les plus sûrs de tous », se félicite François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France. Le taux de fraude sur les virements est infime : 0,0003%. Et pour les cartes bancaires, la fraude n’a jamais été aussi basse sur les dix dernières années.

Un pont noir persiste

Cependant, la fraude aux chèques volés ou falsifiés a fait un bond de 9% en 2017, avec près de 300 millions d’euros détournés. À tel point que les chèques sont considérés comme « un refuge pour fraudeur ». « Il y a des montants moyens de plusieurs milliers d’euros mais il y a pu avoir des fraudes plus importantes. Les Français restent attachés à la possibilité de payer par chèque et cela va demeurer », s’inquiète le gouverneur de la Banque de France. Il milite pour l’accélération de la mise en place d’autres moyens de paiement pour éviter cette fraude.

« Il faut développer de plus en plus des moyens alternatifs dont le virement instantané entre particuliers que les banques sont en train de développer », explique François Villeroy de Galhau.

 

 

 

Les dépenses estivales du jeune président Macron

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Ces derniers mois, les dépenses du jeune président Emmanuel Macron ont été surveillées de près. Alors que l’été s’est installé chaudement sur le territoire, le couple présidentiel souhaite lui aussi pouvoir se prélasser au soleil et au bord d’une piscine : des travaux estimés à plusieurs milliers d’euros.

Dans un article du printemps dernier, le Parisien faisait état de l’attitude irréprochable d’Emmanuel et Brigitte Macron en matière de dépenses privées. Dans le journal, on pouvait alors lire : « les Macron déboursent eux-mêmes les courses de ce prestigieux logement de fonction, du dentifrice jusqu’aux croquettes de Nemo [leur chien] ! Economies obligent, ils n’ont pas changé un seul meuble (…) Lorsqu’il se déplace à titre privé, le tandem présidentiel paie aussi ses chambres d’hôtel, mais pas les dépenses de sécurité, liées à la fonction ». Pendant longtemps, le contribuable a payé les charges présidentielles.

Il y a quelques semaines, les médias dévoilaient le souhait du couple présidentiel. Installer une piscine au fort de Brégançon, résidence de tous les présidents. Rapidement, la question a été de savoir qui allait payer et surtout combien. Dimanche, l’Élysée a communiqué au Journal du Dimanche le prix de cette installation. Pour une piscine qui sera démontable, profonde de 1,20 mètre et longue de 10 mètres sur 4, cela coûtera 34 000 euros.
L’Élysée avait déjà précisé que les dépenses de la construction et de l’entretien de la piscine seront intégrés aux 150.000 euros de budget annuel alloué au fort. L’objectif étant de « préserver l’intimité de la baignade des enfants », avait également précisé la présidence.

La polémique de cette installation fait suite aux propos du président, qualifiant le montant des aides sociales de « pognon de dingue ». De ce fait, ces travaux au fort de Brégançon ont été vivement critiqués, par la gauche comme par la droite.

Emmanuel Macron : un nouveau contrat social ?

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Pour ses un an à la tête de l’Etat, Emmanuel Macron a tenu un discours en début de semaine afin de défendre sa politique. Durant ce discours, il a souhaité renouer les fils du dialogue avec les partenaires sociaux, à qui il a demandé de revoir les règles de l’assurance-chômage.

Discours anniversaire

Revenant longuement sur  ce qui a été fait depuis un an , le chef de l’Etat a totalement assumé la politique économique mise en oeuvre depuis son élection, de la réforme de l’ISF à celle du Code du travail, sans oublier celle de la SNCF qui a paralysé la France pendant plus de deux mois.

« Si l’on veut partager le gâteau, la première condition est qu’il y ait un gâteau. Et ce sont les entreprises rassemblant actionnaires, dirigeants et travailleurs, ce sont les producteurs, qui font ce gâteau, et personne d’autre », a dit le président de la République. Se défendant d’être le « président des riches », il a revendiqué les mesures en faveur des entreprises. « Il y a un an, les entreprises n’avaient pas les moyens d’embaucher. Désormais elles les ont, mais elles peinent à recruter » a-t-il insisté.

En convoquant la première conférence sociale avec l’ensemble des huit organisations syndicales et patronales représentatives le 17 juillet prochain à l’Elysée, Emmanuel Macron a néanmoins quelque peu changé de méthode. Il se veut plus dans le dialogue. Alors que les oppositions de droite comme de gauche durcissent leurs discours, le président veut retisser les liens avec les partenaires sociaux, qu’il a un peu ignorés depuis son élection.

Il a dit vouloir « jeter les bases d’un nouveau contrat social, celui du siècle qui s’ouvre »« C’est à son élaboration comme au détail de sa mise en oeuvre que je veux les inviter dès le 17 juillet prochain », a-t-il indiqué, précisant vouloir aborder « la réforme de l’assurance-chômage ou la santé au travail » dans « un esprit constructif ».

Le Premier ministre prendra le relais de cette concertation à la rentrée 2018.

 

CCI : des économies à 400 millions d’euros

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Alors que la coupe du monde bat son plein, les ministres n’en n’oublient pas pour autant leurs missions. Mardi, le ministre de l’économie Bruno Le Maire a annoncé aux président des chambres de commerce et de d’industrie (CCI) une baisse de 400 millions d’euros des crédits. 

L’entreprise au coeur des missions

« Il est indispensable que nous nous mettions d’accord sur les missions prioritaires, qui justifient le recours à une taxe affectée » a expliqué le ministre, jugeant nécessaire de recentrer l’action sur « trois missions ». Il s’agit de « l’appui aux entreprises », notamment « l’aide à la création d’entreprises », « la formation initiale dans les territoires », par le financement des écoles de commerce, et « la représentation des entreprises, notamment pour faire valoir la voix des entreprises au niveau local », a-t-il détaillé.

Selon le ministre, « les autres missions » n’auront en revanche « plus vocation à être financées par un prélèvement sur les entreprises », a poursuivi le ministre, reconnaissant que cela aurait « un impact sur les personnels ».

Un recentrage d’intérêt général

En échange de ces 400 millions d’euros de baisse de crédits, le ministre a promis une baisse équivalente des prélèvements obligatoires sur les entreprises, ciblée sur deux « impôts de production » : la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) et la cotisation foncière des entreprises (CFE).

« Cette annonce survient quelques mois après la remise d’un rapport de l’inspection générale des finances (IGF), qui avait appelé à un recentrage de la mission des chambres des métiers et de commerce, avec un potentiel d’économies de 400 millions d’euros. Dans ce document, daté de mars, l’IGF préconisait un « recentrage » des missions d’intérêt général, financées par la taxe sur les frais de chambre (TFC), sur l’appui aux entreprises et la représentation », précisent plusieurs médias.

Leader Price et Franprix renforcent le lien social

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Depuis le mois de juin, les deux enseignes de proximité Leader Price et Franprix chamboulent la livraison habituelle. Dites adieu aux livreurs lambda, vos voisins peuvent se charger de la livraison de vos courses. 

La livraison d’un nouveau genre

Il est désormais possible de se faire livrer ses courses par son voisin. Ce concept, développé par la start-up Courseur en partenariat avec Leader Price, a été mis en place en juin dans 73 enseignes de l’entreprise de hard-discount. Le principe est simple: plutôt que d’aller faire vos courses en magasin, vous pouvez demander à un voisin de s’en charger à votre place. Pour cela, il suffit de se connecter sur l’application Courseur, de rentrer son adresse et sa liste de course. L’application sélectionne alors le magasin le plus proche et propose au client les «courseurs» volontaires pour effectuer la livraison. Le «courseur» sélectionné part alors faire ses achats ainsi que ceux de la personne qu’il doit livrer. À la caisse, il ne paye que pour lui et la personne livrée est débitée plus tard via l’application.

Lien social et économie collaborative

Contrairement aux services de livraison classiques, le service par vos voisins est bien plus pratique. Pas de tranche horaire impérative, pas de problème de localisation… Par ailleurs, cette initiative de la start-up Courseur permet de créer du lien social, parfois disparu, même avec nos voisins. Cela invite à faire appel à son prochain et de solliciter son aide plus fréquemment. Les rapports ne peuvent qu’en être améliorés.

« Cette activité représente aussi une opportunité en termes de réduction des coûts pour les enseignes de supermarchés. À l’heure de l’explosion du e-commerce et du développement d’Amazon dans le secteur de la grande distribution, les supermarchés se doivent de proposer un service de livraison à domicile. Or «la plupart des services de drives ou de livraisons ne sont pas rentables dans les zones rurales et périurbaines et c’est pourquoi l’économie collaborative est une solution idéale », explique Sébastien Braye, fondateur de Courseur.

Coupe du monde 2018 : un record de dépenses

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Alors que la grande finale de la coupe du monde approche à grands pas, les organisateurs russes n’ont pas lésiné sur les moyens. En effet, près de 10 milliards d’euros auront été investis pour organiser cet événement. 

Une fierté à la Russe

Depuis le 14 juin dernier, les yeux du monde entier sont braqués sur la Russie. Le pays de Vladimir Poutine accueille avec beaucoup de fierté cette 21ème édition de la coupe du monde. Pour accueillir les équipes, faire vibrer les spectateurs et impressionner les milliards de passionnés à travers le monde, le Kremlin a mis les bouchés doubles : entre les stades à construire, les infrastructures à faire sortir de terre et les investissements financiers, le Mondial russe est d’ores et déjà le plus cher de l’histoire.

Un mondial très, très onéreux

Connaissant la personnalité sulfureuse de Vladimir Poutine, il fallait s’y attendre : la Russie entre dans l’Histoire, non pas pour la compétition de laquelle elle a été éliminée, mais pour les dépenses engendrées par la coupe du monde.

Le budget du Mondial russe a beaucoup évolué au fil des ans. Initialement, il était établi à 661,5 milliards de roubles (neuf milliards d’euros). La crise économique est passée par là et en juin 2015, l’État a voté une réduction de 30 milliards. Finalement, en 2017, pour boucler le budget, le comité d’organisation a obtenu deux coups de pouce : 19 milliards en février puis 34,5 milliards en octobre. Résultat, un coût total de 678 milliards de roubles, soit 9,2 milliards d’euros.

Un record valable pour quatre ans

Avec ce budget record, la Russie écrase le précédent [record] établi par le Brésil en 2014. La dernière Coupe du monde avait coûté huit milliards d’euros, dont 2,5 pour la construction et la rénovation des stades.

Le record russe ne tiendra toutefois que quatre ans. Le Qatar, pays organisateur de la Coupe du monde 2022, a engagé des dépenses faramineuses pour sa candidature. Le budget initial de 26,6 milliards d’euros du comité d’organisation a certes été raboté de 40 à 50% mais le coût reste monstrueux : la seule construction des stades représente entre 7,5 et 9,4 milliards d’euros.

Présidentielle malienne : la candidature d’Aliou Diallo définitivement validée

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La Cour constitutionnelle malienne a définitivement validée la candidature de l’entrepreneur Aliou Diallo à l’élection présidentielle du 29 juillet. Une étape supplémentaire de passée pour celui qui souhaite renverser la table politicienne malienne et que de nombreux observateurs présentent comme l’un des favoris du scrutin.

« C’est avec une incommensurable émotion que j’écris ces quelques lignes pour vous annoncer que ma candidature a été validée par la Cour Constitutionnelle », a prévenu Aliou Diallo sur sa page Facebook quelques minutes après la décision de la Cour constitutionnelle. Au total, 24 candidatures ont été validées et six rejetées.

Selon Aliou Diallo, un entrepreneur de 58 ans soutenu par une large coalition de la société civile ainsi que par de nombreux religieux dont le Chérif de Nioro, « c’est un grand pas que nous venons de franchir dans la réalisation de notre objectif du changement réel et profond dans la gouvernance de notre cher Mali ».

« Cette décision renforce ma conviction que nous sommes sur la bonne voie. Le 29 Juillet restera, j’en suis sûr, à jamais gravé dans l’esprit des maliens et du monde entier comme le jour où nous avons repris notre destin en main », a poursuivi M. Diallo.

Candidat hors du circuit politicien classique, Aliou Diallo a bâti sa campagne sur la promesse du changement et du redressement socio-économique et sécuritaire du Mali. Fort de son expérience d’entrepreneur, il souhaite réformer en profondeur le pays pour retrouver le chemin de la croissance et lutter contre le chômage de masse, deux préalables pour lui au retour de la paix civile au Mali.

Son programme prévoit notamment un Plan Marshall de 15’000 milliards de francs CFA d’investissements, dont une grande partie doit être consacrée au désenclavement et au développement socio-économique des régions du nord et du centre du pays, aujourd’hui largement contrôlés par des groupes armés djihadistes.

« Restons mobilisés et déterminés. Le changement est à portée de main! », a conclu celui qui pourfend depuis le début de la campagne la corruption et le népotisme du président sortant, Ibrahim Boubacar Keïta.

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