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Lifting de réseau : Courtepaille fait appel au spécialiste Hub One

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Pour rationaliser le réseau informatique de ses 250 restaurants, Courtepaille a fait appel à Hub One. Le spécialiste des technologies digitales pour les entreprises et du Wifi entreprise a mis en place une connexion Wi-Fi sécurisée à l’usage de ses collaborateurs et de ses clients, ainsi qu’un réseau téléphonique robuste.

Courtepaille, première chaîne historique de restauration commerciale en France, a choisi l’opérateur télécom entreprise Hub One pour rationaliser l’infrastructure réseau de ses enseignes et fournir une connexion WiFi sécurisée pour faciliter les échanges d’informations entre ses salariés et proposer à ces derniers ainsi qu’à ses clients des services de mobilité efficaces et une connexion Internet sécurisée. Pour répondre aux besoins du restaurateur, Hub One a déployé une solution couvrant l’intégralité des besoins technologiques.

Un réseau téléphonique en mode cloud

Conçue conjointement avec les équipes de Courtepaille, cette solution repose sur la technologie VPN-IP/MPLS. Elle permet, comme souhaité, d’interconnecter les 250 enseignes et de gérer les flux métiers. Cela en facilitant les échanges d’informations entre ses salariés et en proposant à ces derniers, ainsi qu’aux clients, des services de mobilité efficaces, ainsi qu’une connexion Internet sécurisée.

Hub One a également mis en place un réseau téléphonique en mode cloud afin de moderniser le système de téléphonie de Courtepaille. Il met à la disposition des collaborateurs un accès Internet haut débit sécurisé et centralisé. En cas d’incident sur le lien MPLS du restaurant, la connexion est redondée et bascule automatiquement sur un lien 4G Internet sécurisé, assurant ainsi une continuité d’activité du restaurant.

Hub One gère le réseau en temps réel et 24/7

Après une phase de tests dans plusieurs restaurants pilotes, Hub One a procédé au déploiement de sa solution sur-mesure dans l’ensemble des enseignes et au siège social de Courtepaille. L’opérateur n’a pas fait qu’installer le réseau informatique, il contrôle aussi la globalité de l’infrastructure réseau en temps réel et 24/7.

Par ailleurs, Hub One est le seul et unique interlocuteur de Courtepaille. Ce qui facilite la réactivité quant à la résolution d’incidents sur le réseau. Enfin, comme la solution est évolutive, le groupe pourra introduire de nouveaux services pour améliorer l’infrastructure réseau.

Une solution sur-mesure qui s’inscrit dans une démarche d’innovation 

Pour Marc Brisset, Directeur des Systèmes d’information de Courtepaille, la solution proposée par Hub One répond aux attentes de sa chaîne de restaurants. « Elle permet à nos employés de bénéficier d’un réseau efficace tout en offrant à nos clients une meilleure expérience au sein de nos restaurants », s’est-il réjoui.

De son côté, le Directeur général Hub One, Guillaume de Lavallade, a souligné la nécessité aujourd’hui, pour les enseignes, « de proposer des services de télécommunications de haut niveau pour leurs collaborateurs et leurs clients ». Il s’est aussi satisfait de sa « solution sur-mesure répondant parfaitement aux besoins technologiques du groupe tout en s’inscrivant dans sa démarche d’innovation ».

Patrimoine : 10% des ménages détiennent la moitié des avoirs

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En France, les 10% de ménages les plus aisés disposent d'un patrimoine d'au moins 607700 euros, contre 3800 euros maximum pour les 10% de ménages les plus modestes.

 

Les 10% de ménages les plus aisés disposent d’un patrimoine d’au moins 607700 euros, contre 3800 euros maximum pour les 10% de ménages les plus modestes. Ces statistiques sont issues d’une étude réalisée par l’Insee à partir de l’enquête « Histoire de vie et Patrimoine ».

« Cette répartition du patrimoine brut est stable par rapport à celle de 2015 »

Le patrimoine est très inégalement réparti en France. Selon une étude de l’Insee, la moitié des ménages concentre en effet 92% des avoirs patrimoniaux. Les 5% les mieux dotés détiennent un tiers de ces avoirs et les 1% les mieux dotés en concentrent 16%. « Cette répartition du patrimoine brut est stable par rapport à celle de 2015 », note l’institut de la statistique dans un communiqué. Début 2018, le patrimoine brut s’élevait en moyenne à 276.000 euros, en augmentation de 2,6% par rapport à début 2015. Le patrimoine net moyen était d’environ 239.900 euros.

Les 10 % des ménages les mieux dotés en patrimoine brut disposent d’au moins 607.700 euros d’actifs tandis que les 10 % les plus modestes possèdent au maximum 3.800 euros chacun, soit 160 fois moins et les 1% de ménages les plus dotés possèdent au moins 1.941.600 euros de patrimoine brut, a calculé l’institut.

Le patrimoine brut des ménages principalement constitué de biens immobiliers

Ce patrimoine brut des ménages est principalement constitué de biens immobiliers (61%) et d’actifs financiers (20%). Près de six ménages sur dix sont propriétaires de leur résidence principale en France (qu’ils aient ou non terminé d’en rembourser l’achat). La résidence principale est la première composante du patrimoine immobilier avec 84% de sa valeur. Le patrimoine financier représente lui 20% du patrimoine brut. Le patrimoine résiduel (voiture, équipement de la maison, bijoux, œuvres d’art, etc.) constitue 8% du patrimoine. Enfin, le patrimoine professionnel représente 11 % du patrimoine brut.

L’âge est un facteur déterminant

L’âge est un déterminant majeur : le patrimoine net moyen (déduction faite des emprunts en cours) des ménages dont la personne de référence a moins de 30 ans s’établit à passe de 38.500 euros tandis qu’il atteint 315.200 euros pour les ménages de sexagénaires.

Les enquêtes « Patrimoine » de l’Insee, qui ont lieu tous les trois ans « permettent, depuis 1986, d’évaluer la possession de tous les types d’actifs ou de passifs patrimoniaux et leur valeur, de décrire le patrimoine professionnel des indépendants, l’histoire patrimoniale, conjugale et professionnelle des ménages », explique l’institut de statistiques.

Huawei : une batterie au graphène pour le P40 Pro ?

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Selon de nouvelles rumeurs le Huawei P40 pro arriverait avec une batterie au graphène

 

Le chinois Huawei pourrait devenir le premier fabricant à commercialiser un smartphone haut de gamme équipé d’une batterie au graphène. C’est la promesse de batterie la plus résistante, endurante et plus petite.

Une nouvelle génération de batterie

Alors que le P30 Pro peut se targuer d’être le numéro Un de la photo chez les smartphones, son successeur le P40 Pro va concrétiser un rêve qui dure depuis plusieurs années. Yash Raj Chaudhary, l’un des insiders les mieux informés du secteur, nous apprend qu’il s’agira du premier smartphone équipé d’une batterie au graphène (elle aura une capacité de 5500 mAh). Celle-ci est évoquée par les chercheurs depuis plusieurs années sans application commerciale concrète. Elle offrirait de nombreux avantages. Elle serait plus résistante aux hautes températures, se détériorerait peu, voire pas du tout au fil des recharges et serait compatible avec de hautes puissantes. En outre, elle ferait bénéficier d’une recharge rapide 50 W de 0 à 100% en 45 minutes seulement et serait beaucoup plus compacte (environ 30% plus petite qu’une batterie classique).

Six capteurs, dont deux à l’arrière

Selon les informations de Yash Raj Chaudhary, le P40 est attendu avec un écran OLED de 6,5 pouces Waterfall, capable d’afficher des images en QHD+ avec un taux de rafraîchissement de 120 Hz. Compatible avec la 5G, ce smartphone serait propulsé par une puce Kirin 990. Si l’on ne connaît pas sa mémoire vive ni son espace de stockage, on sait en revanche qu’il sera équipé de six capteurs. Quatre à l’arrière, dont un Sony de 64 millions de pixels, un ultra grand-angle de 20 millions de pixels, un zoom intégré dans un capteur de 12 MP et un objectif pour le mode macro. En façade, l’on retrouvera deux capteurs dédiés aux selfies.

Le P40 pourrait coûter cher

Huawei devrait mettre son P40 sur le marché en février 2020. Mais l’on ne sait pas encore à quel prix. Samsung prévoyait de lancer aussi un mobile avec une batterie au graphène en 2021. Le fabricant sud-coréen aurait reporté son projet à cause du coût très élevé du matériau (le graphène). Si Huawei réussit quand même à développer et à intégrer une telle batterie dans son P40, le prix du smartphone pourrait grimper.

Métro parisien : ALSTOM et Bombardier remportent un contrat près de 3 Mds € auprès de la RATP

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Ile-de-France Mobilités et la RATP ont confié le renouvellement du matériel de huit lignes du métro parisien aux constructeurs ferroviaires français Alstom et canadien Bombardier

Île-de-France Mobilités (IDFM) et la RATP ont annoncé le vendredi 29 novembre une commande « historique » auprès d’un groupement associant à 50/50 les constructeurs ferroviaires Alstom et Bombardier pour renouveler le matériel de huit lignes du métro parisien. Ce contrat qui portera sur un maximum de 410 rames sera exécuté sur quinze ans pour 2,9 milliards d’euros.

4 rames d’ici à 2026 sur les lignes 3bis

Ile-de-France Mobilités et la RATP ont confié le renouvellement du matériel de huit lignes du métro parisien aux constructeurs ferroviaires français Alstom et canadien Bombardier, pour un coût total de 2,9 milliards d’euros. Ce contrat concerne le renouvellement, sur quinze ans à partir de 2024, du matériel roulant des lignes 3, 3bis, 7, 7bis, 8, 10, 12 et 13, ont précisé dans un communiqué commun l’autorité régionale des transports, qui finance cet achat, et la RATP, qui exploite le réseau métropolitain de la capitale.

La tranche ferme concerne, pour 658 millions d’euros, 44 rames qui circuleront d’ici à 2026 sur les lignes 3bis, 7bis et 10. Cette somme comprend les frais d’études et provisions pour aléas, les deux constructeurs évoquant un montant de 530 millions d’euros. La commande pourra être complétée par des levées d’options jusqu’à un total de 410 rames sur les 5 autres lignes (13, 12, 3, 8 et 7). La part respective d’Alstom et de Bombardier s’élève à environ 265 millions d’euros, soit 50% du total.

2300 personnes, dont 700 ingénieurs mobilisés

« Basées sur les solutions de métro fer d’Alstom et de Bombardier, les nouvelles rames bénéficieront des dernières avancées technologiques afin d’augmenter le confort, la disponibilité, l’accessibilité et l’information voyageurs, mais aussi d’en faciliter la maintenance », ont avancé les deux groupes dans un autre communiqué. Les nouvelles rames du métro seront éco-conçues (20% de matériaux recyclés pour leur production), permettant leur revalorisation en fin de vie à hauteur de 98%. Elles consommeront 20% d’énergie en moins que les rames actuellement en service (MF77) grâce notamment au freinage 100% électrique et à l’éclairage scénarisé 100% LED. Ces nouvelles rames permettront aussi de réduire de 15% les coûts de maintenance. Elles proposeront en outre des prises USB pour la recharge des appareils mobiles.

Le consortium se partagera la conception des éléments de ces rames « Made in France » avec 2300 personnes, dont 700 ingénieurs dans les deux sites de Valenciennes (Alstom) et Crespin (Bombardier).

Réactions des deux constructeurs

« Je suis honoré qu’Île-de-France Mobilités et la RATP aient choisi de nous faire confiance pour renouveler le confort de voyage sur les lignes historiques du métro parisien. Nous souhaitons ensemble faire de la région la vitrine mondiale des technologies de pointe portées par la filière ferroviaire française », a indiqué Jean-Baptiste Eyméoud, président d’Alstom en France. « L’expertise conjuguée de nos deux entreprises permet d’offrir à la RATP et à Île-de-France Mobilités un métro équipé des dernières technologies embarquées qui s’inscrit dans la modernité des transports de mass transit de demain », a déclaré de son côté Laurent Bouyer, président de Bombardier Transport France.

Médecin traitant : il est de plus en plus difficile d’en trouver

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Un médecin tenant son stethoscope

 

Trouver un médecin traitant devient de plus en plus difficile en France. Selon l’UFC-Que Choisir, 44% des généralistes refusent de prendre de nouveaux patients en tant que médecin traitant. Les agglomérations de 10 000 à 100 000 habitants sont les plus concernées par ce phénomène.

D’après une enquête menée dans le mois de juin par l’association UFC-Que Choisir, 44% des généralistes refusent de prendre de nouveaux patients en tant que médecin traitant et 9% se contentent d’un accord de principe, à valider au moment de la première consultation.. Un phénomène qui s’accentue dans les petites et moyennes villes de 10 000 à 100 000 habitants. Cette situation pénalise les assurés « sans médecin fixe », moins bien remboursés par la Sécu.

La Sarthe en tête avec 92% de refus

UFC – Que Choisir a également interrogé les médecins de 78 départements de métropole et d’outre-mer sur les raisons de leur refus. Les praticiens invoquent une clientèle déjà trop nombreuse (71%) ou un départ prochain à la retraite (14%).

Dans certains départements, le pourcentage de refus atteint même des sommets. C’est le cas notamment dans la Sarthe (92%), en Ardèche (88%) et en Seine-et-Marne (86%). En Meurthe-et-Moselle et dans le Bas-Rhin, un médecin sur cinq refuse les nouveaux patients, tandis qu’ils sont 78% en Charente et 70% dans l’Allier.

La disponibilité des médecins varie aussi selon la taille de la ville. Dans les communes de moins de 3 000 habitants, le taux de refus est de 33%, de 52% dans les villes de 10 000 à 100 000 habitants et de 34% dans les villes de plus de 100 000 habitants. Au total, un Français sur dix n’aurait pas de médecin généraliste.

Que propose l’UFC pour y remédier ?

L’association demande d’abord aux parlementaires d’adopter, le 5 décembre prochain, la proposition de loi du député de la Mayenne, Guillaume Garot, contre les déserts médicaux. Elle préconise par exemple de lancer un conventionnement territorial, qui empêcherait l’installation des médecins dans les zones déjà bien pourvues. Elle souhaite ensuite que le gouvernement mette fin à la pénalisation financière des assurés sans médecin traitant.

La télémédecine, une autre solution ? 

La télémédecine serait une autre solution. Elle pourrait aider les patients à trouver plus facilement un médecin traitant. Depuis septembre 2018, elle est prise en charge par l’Assurance maladie. Entre septembre 2018 et septembre 2019, il y a eu au total 60 000 téléconsultations, contre environ 350 000 millions de consultations physiques.

 

Black Friday 2019 : les records vont être pulvérisés

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Le Black Friday se déroulera le 29 novembre 2019

 

Année après année, le Black Friday grignote davantage le budget des Français. Pour 2019, de nouveaux records sont attendus. Les dépenses prévues par les consommateurs devraient atteindre les 6 milliards d’euros, soit une hausse de 4,1%.

Une hausse de 120% depuis 2013

Cette année encore, de nombreux Français comptent sur le Black Friday (qui s’étale du vendredi 29 novembre jusqu’au 2 décembre avec le Cyber Monday) pour profiter de promotions exceptionnelles allant parfois jusqu’à 80%. Ce sera en même temps l’occasion de faire des courses pour Noël. Pour 2019, le budget que les consommateurs vont consacrer à cette journée d’achats est encore en forte hausse, selon un sondage que vient de réaliser l’institut OpinionWay pour le site iloveretail. En effet, près de 6 milliards d’euros (5,9 milliards) de dépenses sont attendus. Ce chiffre devrait donc être en augmentation de 4,1% par rapport au volume des ventes de 2018. Une autre étude de RetailMeNot et CRR souligne que les ventes sur ce week-end de promotions ont augmenté de 120% depuis 2013, date à laquelle le Black Friday a fait son apparition en France.

Les ventes en magasin résistent à l’essor du e-commerce

Sur les 5,9 milliards attendus, 4,9 milliards seront réalisés en magasin. Ce qui représente une hausse de 2,7% par rapport à l’an dernier. Les ventes en magasin restent donc largement majoritaires, malgré une poussée du e-commerce. Celui-ci enregistrera une augmentation de 10,6% pour un montant dépassant le milliard d’euros. Là encore, il s’agit d’un record. Notons que la part des ventes en ligne grimpe un peu plus chaque année.

Les seniors dépenseront le plus

Le montant que chaque Français va consacrer au Black Friday 2019 augmentera de 21 euros pour un budget moyen de 233 euros, c’est donc 10% de plus que pour le cru 2018. Tandis que les femmes dépenseront en moyenne 211 euros, les hommes y mettront 274 euros. Du côté de l’âge, ceux qui vont dépenser le plus sont les personnes âgées de 65 ans et plus : 310 euros en moyenne. En tête des souhaits d’achats cette année chez les consommateurs, on trouve les vêtements, les chaussures et la maroquinerie (55%), suivis des dépenses en TV, Hi-fi, High-tech (33%) et l’électroménager (26%).

Le Black Friday de plus en plus contesté

Malgré tous ces nouveaux records attendus, le Black Friday est de plus en plus critiqué en France. Cette trouvaille marketing importée des Etats-Unis pousserait à une « surconsommation artificielle ». Pis, elle aurait un impact social et environnemental négatif. Ainsi, des initiatives visant à boycotter le Black Friday et à promouvoir des achats responsables ont vu le jour. Il y a par exemple « Green Friday » en 2018 et récemment le « Make Friday green again », un collectif réunissant plus de 200 marques.

«Fête des célibataires» : les Chinois dépensent 1 milliard de dollars en 68 secondes sur Alibaba

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Siège social du groupe Alibaba, leader chinois du commerce en ligne

 

C’est un nouveau record pour la traditionnelle «Fête des célibataires». Dans la nuit de dimanche à lundi, les consommateurs chinois ont dépensé 1 milliard de dollars en seulement 68 secondes sur les plateformes Alibaba, le géant chinois du e-commerce.

Soixante-huit secondes, c’est le temps qu’il a fallu aux consommateurs chinois pour claquer 1 milliard de dollars sur Alibaba, dans la nuit de dimanche à lundi, lors de la traditionnelle «Fête des célibataires». Cet évènement est considéré comme la plus grosse opération mondiale de soldes. L’année dernière, le cap du milliard avait été atteint en 85 secondes.

Taylor Swift a assuré le show

La «Fête des célibataires» a été inventée en 2009 par un groupe d’étudiants en réaction à la Saint-Valentin : le chiffre 1 exprimant l’individualité, ils ont vu dans les quatre chiffres du 11/11 (11 novembre) un symbole fort du célibat. Leur idée a rapidement été reprise par le géant du commerce en ligne Alibaba, puis par les autres sites de vente chinois comme Taobao ou Tmall. Depuis une décennie donc, les acteurs du commerce électronique chinois ont pris l’habitude d’annoncer d’importants rabais à cette date sur des millions d’articles : ordinateurs, téléphones portables, prêt-à-porter, chaussures, ameublement etc.

La Fête des célibataires est la plus grande opération mondiale de soldes devant le «Black Friday» (vendredi qui suit la fête de Thanksgiving), prévu fin novembre aux États-Unis. Au moins 500 millions d’utilisateurs des plateformes en ligne ont passé commande en 24 heures dans la nuit du dimanche au lundi. Pour donner du piment à l’évènement, la chanteuse américaine Taylor Swift a même été invitée à faire un show.

13 milliard d’euros en près d’une heure et 4 minutes

Si la barre des 7 milliards de yuans (1 milliard de dollars) a été franchie en l’espace de 68 secondes, le cap des 100 milliards de yuans (13 milliard d’euros) a lui été atteint en une heure, 3 minutes et 59 secondes très exactement, soit 43 minutes de moins que l’an dernier. Le montant pour une journée devrait également dépassé celui de l’an dernier. En 2018, le chiffre d’affaires total de la journée du 11 novembre s’élevait à 213,5 milliards de yuans (27 milliards d’euros).

A noter, la vigueur des achats du 11 novembre est scrutée par les économistes qui y cherchent des indices quant à la robustesse de l’économie du pays, en proie à la guerre commerciale lancée par les Etats Unis.

Mindeal : la start-up qui révolutionne l’achat-vente de matériel industriel d’occasion

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Mindeal, le premier moteur de recherche inversé permettant aux acheteurs de trouver rapidement et facilement le matériel industriel d’occasion le plus adapté à leurs besoins, s’apprête à révolutionner le secteur de l’achat-vente de machines. Un outil digital, géré par une équipe de professionnels du secteur, qui ouvre les portes à plus de 15 000 références à travers le monde.

La start-up Mindeal a été créée par Grégoire Tabeau sur la base d’un constat simple. A l’ère du digital et de l’économie mondialisée, l’achat et la vente de machines industrielles d’occasion se révèlent plus complexes et chronophages que jamais. La multiplication des annonces, parfois obsolètes ou mal classées, a créé un véritable labyrinthe dont il n’est pas aisé de se sortir.

Par ailleurs, le numérique a entraîné la multiplication des intermédiaires qui rallongent la durée des transactions, font gonfler les prix et induisent des risques d’erreurs, notamment en matière de communication.

Pour régler ces problématiques, l’idée de Mindeal est de faire gagner du temps aux acheteurs potentiels, qui n’ont qu’à détailler en quelques mots leurs besoins, en les mettant directement en contact de vendeurs disposant du matériel adapté, mais qui apportent également leur expertise et leurs solutions sur les machines qu’ils mettent en vente et dont ils connaissent le fonctionnement.

Mindeal : une garantie 0% commission

Les avantages de Mindeal sont multiples. Efficacité et simplicité pour les acheteurs, qui n’ont plus à consacrer des heures à rechercher la bonne machine. Génération de leads ultra-qualifiés pour les vendeurs partenaires. Et surtout, pour les uns et les autres, une garantie 0% commission qui permet d’effectuer des transactions au meilleur prix sans avoir à rétribuer un intermédiaire.

Le modèle économique de Mindeal repose en effet sur la gratuité totale de la mise en relation entre vendeurs et acheteurs de matériel industriel d’occasion (ni frais ni commissions). La start-up propose en revanche toute une série de services annexes pour ses utilisateurs comme le fait de servir de garant de la transaction, de réaliser des expertises du matériel en amont de la vente, ou de prendre en charge la gestion logistique de la cession de matériel, depuis le démontage jusqu’à la réinstallation, en passant par le transfert ou les formalités administratives.

Tous types de machines et 15 000 références

La start-up, qui a été lancée en début d’année 2019, propose d’ores et déjà à ses clients un catalogue riche de plus de 15 000 références, constamment actualisé et enrichi auprès de son réseau international de vendeurs partenaires. Parmi eux, on retrouve des sociétés françaises et européennes telles qu’Osertech, une entreprise spécialisée dans le matériel d’occasion qui a récemment étendue son offre.

Une force de frappe globale qui permet aux équipes de Mindeal d’être en mesure de trouver rapidement tout type de matériels d’occasion pour ses clients, qu’il s’agisse par exemple de packaging, de chimie et pharmacie, d’imprimerie, de confiserie et de chocolaterie, de cosmétique, d’agro-alimentaire, du secteur laitier, du textile, ou du secteur de la conserverie.

Bonduelle : légère croissance de 0,3 % du chiffre d’affaires au premier trimestre

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Des surgélés Bonduelle

 

Le chiffre d’affaires de Bonduelle a progressé de 0,3% au premier trimestre de son exercice décalé 2019-20, a indiqué lundi le groupe agroalimentaire dans un communiqué. Bonduelle a souligné la « bonne tenue de l’activité en Europe et l’accélération hors Europe en conserve et surgelé ».

Bonduelle a communiqué lundi soir son point d’activité au titre du premier trimestre 2019-2020 (clos fin septembre). Le groupe agroalimentaire dévoile un chiffre d’affaires de 684,3 millions d’euros sur la période, soit une progression de 0,3 % en données publiées sur un an et une baisse de 1,4 % en données comparables. « Les effets favorables des changes (dollars américain et canadien, rouble russe) apportent une croissance additionnelle de +1,7% », précise l’entreprise française.

Croissance solide pour les activités de longue conservation

La zone Europe, qui représente 46,4% de l’activité du groupe sur la période (contre 46,2% l’an dernier), a enregistré une légère croissance de +0,9% à 317,8 millions d’euros. Cette hausse « s’explique principalement par la forte progression des activités à marques (Bonduelle et Cassegrain) en conserve et surgelé », indique le groupe. Elle a permis de compenser le repli (-6,6%) des activités de frais prêt à l’emploi et prêt à consommer lié notamment, selon Bonduelle, à une moindre performance en Allemagne.

Le chiffre d’affaires de la zone hors Europe recule pour sa part de -0,1% au premier trimestre, à 366,5 millions d’euros. A taux de change et périmètre constants, le recul est toutefois plus prononcé (-3,3%). Pour expliquer cette régression, Bonduelle invoque « le report des pertes de volumes chez un client du groupe », qu’il n’identifie pas, et l’arrêt d’activités dans les salades en sachets et bols repas.

Bonduelle confirme ses perspectives

Grâce à son activité du premier trimestre et aux fins de campagne agricole, Bonduelle confirme ses objectifs d’évolution d’activité et de rentabilité annoncés début octobre 2019, malgré une météo peu favorable aux activités de frais et frais prêt à l’emploi en Europe sur la fin de l’été. Pour l’exercice 2019-2020, le groupe table sur une « croissance modérée de son chiffre d’affaires de 1,5 à 2,5% » et une rentabilité opérationnelle courante « dans une fourchette de 115 à 118 millions d’euros », tous deux à taux de change et périmètre constants.

Bonduelle est une société française spécialisée dans la transformation de légumes en conserves. Implantée dans 18 pays, elle possède 58 sites industriels. Ses produits sont commercialisés sous quatre marques que sont Bonduelle, Cassegrain, Arctic Gardens et Globus.

 

Hydroma SA : la filiale de Petroma Inc amorce l’exploitation de l’hydrogène

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Après la phase d’exploration, en grande partie achevée cet été, Petroma Inc va passer à l’exploitation de l’hydrogène naturel au Mali. Pour ce faire, la société d’Aliou Diallo a créé sa filiale Hydroma SA. Celle-ci devra produire de l’électricité propre à grande échelle pour satisfaire les besoins énergétiques du Mali et au-delà, celle de l’Afrique.

Une ressource renouvelable et non polluante

L’aventure a débuté dans les années 2000 quand l’entrepreneur malien, Aliou Diallo, demande un permis d’exploitation de l’hydrogène naturel, découvert dans le cercle de Kati au milieu des années 1980. A l’époque, la communauté scientifique était très sceptique quant à la possibilité d’exploiter ce gaz.

Mais l’homme d’affaires va se lancer dans son exploration, tête baissée, ayant flairé l’opportunité offerte par cette ressource. En 2010, Alain Prinzhofer, professeur affilié à l’Institut de physique du globe de Paris et à l’université de Paris VII, directeur scientifique de GEO4U, a confirmé l’existence d’importants gisements d’hydrogène naturel dans le cercle de Kati. Il établit une cartographie précise de la zone, qui cache au moins cinq réservoirs superposés et peu profonds (de 100 à 1.700m) s’étendant sur 20 kilomètres de large.

Petroma Inc a réalisé des forages et identifié 22 puits positifs. L’entreprise a ensuite installé une unité pilote à Bourakébougou, en 2012, pour produire de l’électricité verte à partir de l’hydrogène naturel. Cette ressource est renouvelable, ne rejette aucun gaz à effet de serre lors de son exploitation (il n’en sort que de l’eau), en plus d’offrir un coût de production très bas, contrairement à l’hydrogène industriel. Après sept années d’exploration et de production à petite échelle, Petroma Inc a décidé de passer à la vitesse supérieure.

Hydroma SA va développer la stratégie de Petroma Inc

En juillet 2019, Aliou Boubacar Diallo annonce dans un communiqué avoir cédé ses parts (55%) dans Wassoul’Or, sa société de production d’or, à de nouveaux actionnaires. La transaction est estimée à plus de 200 millions de dollars, environ 130 milliards de Francs CFA. Avec cette importante cession, le milliardaire malien veut se consacrer uniquement à son projet d’énergie propre et renouvelable. Il créé donc la filiale de Petroma Inc, Hydroma SA. Celle-ci doit amorcer la seconde phase de l’aventure, à savoir l’exploitation de l’hydrogène naturel à l’échelle industrielle.

Aliou Boubacar Diallo souhaite produire en grande quantité de l’électricité propre qu’il revendrait à prix abordable aux populations maliennes dans un premier temps. De quoi réduire la fracture énergétique du pays, propre aux inégalités rencontrées dans les régions du Sahel. Hydroma SA projette de combiner l’hydrogène naturel avec l’énergie solaire pour la production d’électricité à grande échelle afin de servir les industries et les foyers locaux ou encore réaliser la première voie ferrée de trains électriques et à hydrogène d’Afrique. « L’exploitation future de l’hydrogène naturel du Mali ouvre la voie à une Afrique en pointe dans les technologies de demain », s’est enthousiasmé le promoteur.

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