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Géolocalisation indoor : une technologie plus que prometteuse

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Les entreprises, entrepôts et centres commerciaux ont aujourd’hui besoin de connaître la localisation précise d’un produit, d’un équipement, ou de suivre les déplacements des employés à l’intérieur de leurs murs. Ils souhaitent optimiser le partage de leurs ressources et améliorer leurs processus opérationnels. Des ambitions qui rendent de plus en plus indispensable la géolocalisation indoor.

Conçue pour pallier aux limites du GPS, la géolocalisation indoor permet de connaître, avec une précision au mètre près, la localisation d’une personne ou d’un produit dans un lieu fermé (entrepôts, centres commerciaux, aéroports entreprises, etc.). Ce système repose sur des technologies sans fil telles que le Wifi, le Li-Fi, le Bluetooth, le RFID et l’UWB (Ultra Wide Band). Mais la plupart des entreprises optent actuellement pour un mix de signaux Wifi et Bluetooth.

Visiteurs et entreprises y trouvent leurs comptes

La géolocalisation indoor présente de nombreux avantages et usages autant pour les visiteurs ou clients que pour les employés. Pour les centres commerciaux, la géolocalisation indoor améliore l’expérience client en aidant les consommateurs à s’orienter et localiser des proches, à trouver les rayons ou à connaître les parcours.

Dans les entrepôts, ce système de localisation à courte portée répond à de nombreuses applications industrielles. Parmi elles, la sécurité des opérateurs, le contrôle d’accès des véhicules ou encore le repérage d’un équipement de logistique.

L’opérateur télécom Hub One, acteur majeur de la cybersécurité

Certains professionnels du secteur, comme Hub One, développent également des outils pour la navigation en zone privative, afin de proposer des solutions de remplacement là où le GPS ne fonctionne pas, ou dans les zones où il est nécessaire d’avoir une plus grande précision de navigation.

Spécialiste des technologies digitales pour entreprises, la filiale d’ADP délivre un service Wifi d’entreprise très Haut Débit aux collaborateurs et visiteurs et développe des solutions d’outils de navigation spécifiques aux zones privatives. Elle garantit aussi et surtout la sécurité du réseau grâce à son expertise reconnue dans la cybersécurité. Hub One commence par évaluer le niveau de sécurité de l’infrastructure pour en détecter les points forts et les points de douleurs, puis propose un plan de transformation afin d’accéder à un palier supérieur.

 

La géolocalisation indoor est de toute évidence une technologie d’avenir pour des localisations précises à l’intérieur, mais c’est d’ores et déjà une technologie qui fonctionne, comme en attestent les applications déjà en place pour aider les clients à se repérer rapidement et efficacement.

France : interrogations autour des autotests Covid

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Ces dispositifs désormais accessibles au grand public suscitent des craintes tant sur leur disponibilité sur le marché que sur leur usage par la population.

La France a finalement rejoint la liste des pays commercialisant les autotests. Il est en effet possible depuis le 11 avril, de se procurer ces tests, dont l’usage, ne nécessite guère la présence de professionnel de santé. Le coût unitaire du produit est fixé dans un premier temps à 6 euros, avec à terme une baisse à 5,20 euros. À la grande satisfaction du public qui a toujours demandé ce dispositif test nasal. Les autres types de tests n’étant pas toujours accessibles. Mais des inquiétudes surgissent déjà jour quelques jours seulement après le lancement de la vente de ces autotests.

Vers une pénurie ?

En effet, ce n’est pas seulement le prix de ces tests de dépistage qui a été encadré. Le gouvernement a, à travers un arrêté, restreint la vente aux seules pharmacies. Exit donc le recours aux commerces en ligne pour s’approvisionner comme ce fut le cas pour les tests PCR. Cela avait suscité de nombreuses dérives dont la contrefaçon et la surenchère entre autres, que les autorités s’emploient toujours à circoncire dans de nombreux pays. Aux yeux du gouvernement, les officines apparaissent donc comme un gage de prévention d’éventuels couacs.

Mais rien n’est moins sûr. Les pharmacies redoutent en effet de se retrouver dans l’incapacité de satisfaire une demande trop importante, comme ce fut récemment le cas en Allemagne. Et pour cause, ces tests de dépistage sont l’objet d’importants retards de livraison. Acculés par les commandes, les fabricants rivalisent de stratégie pour pallier le souci. De fait, la plupart des officines sur le territoire français n’en disposent pas encore à ce jour.

Des risques de mauvais usage

L’autre inquiétude concernant les autotests tient à leur usage. Similaires à leurs homologues antigéniques, ces tests consistent à introduire dans les narines un écouvillon sur près de 3 cm. Le prélèvement est ensuite mis dans le tube et imbibé de réactif pour un résultat disponible en principe environ 30 minutes plus tard. Ce procédé n’est pas aussi simple que ça en a l’air, d’autant que la fiabilité du test ne dépasse pas les 60 % pour les cas de contamination asymptomatiques au virus. D’où la recommandation de la Haute autorité de santé (HAS) de procéder à un second dépistage PCR. Quid des patients détectés positifs chez eux et qui seraient tentés d’ignorer le protocole sanitaire en la matière ?

Air France sauvée au prix fort

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La compagnie aérienne menacée de faillite à cause de la crise du Coronavirus va voir son capital renflouer par l’État français avec comme contrepartie, des conditionnalités pour le moins strictes.

La nouvelle, dans l’air depuis plusieurs semaines, est désormais officielle. Au terme de longues et parfois houleuses tractations à Bruxelles, la branche française de la compagnie Air France-KLM, va avoir droit à une nouvelle aide financière de la part de Paris ainsi que l’a annoncé ce mardi, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire. Ce nouveau plan d’aide représente un total de 4 milliards d’euros que la Commission européenne a autorisé la France à débloquer. Trois millions concernent les obligations hybrides et le reste de la somme est constitué de fonds à injecter directement dans les comptes de la compagnie aérienne. Cela a notamment pour conséquence, une montée en flèche de l’État au capital d’Air France. D’un peu plus de 14 % jusqu’ici, la participation de la France au sein de la compagnie aérienne va grimper à 30 %.

De fortes contreparties

Comme on pouvait s’y attendre, ce renflouement des finances d’Air France n’est pas sans contrepartie. La compagnie aérienne s’est engagée à consentir plusieurs obligations. Cela concerne dans un premier temps, ses fameux créneaux horaires au départ et à l’arrivée de l’aéroport d’Orly. Longtemps opposée à s’en séparer, Air France s’est finalement résolue à en lâcher 18. Un soulagement pour le patron de Bercy qui indique que Bruxelles en demandait jusqu’à 24.

Cette aide publique n’est pas non plus un chèque en blanc, comme l’a fait remarquer Bruno Le Maire. Pour se montrer dignes de cette enveloppe de 4 milliards, les responsables de la compagnie sont contraints d’opérer nombre de réformes susceptibles de faire redécoller l’entreprise. Ceci passe entre autres par des gels de rémunération pour certains salaires, la suspension du versement des dividendes que certaines voix ont critiqué ces derniers temps. À cela s’ajoute l’abandon de certains congés par les salariés, soumis donc à une cure drastique puisque la Commission européenne donne seulement un an à Air France pour fructifier ce plan d’aide.

Air France sauvée, il reste à savoir ce qu’il en sera des négociations entre l’UE et les Pays-Bas s’agissant de KLM, la branche néerlandaise du groupe. Car même si cette dernière s’en sort mieux que son homologue français, la compagnie dans son entièreté est sinistrée par cette crise du coronavirus et les restrictions de vols qui en découlent.

Comment le Covid a influencé la consommation des Français

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Ruée sur les produits hygiéniques, hausse du streaming, plus d’épargnes… La consommation des Français tout au long de l’année écoulée a été dictée par la crise sanitaire en cours et son corollaire.

Plus de produits hygiéniques

Le premier réflexe pour de nombreuses personnes a été de se ruer vers les produits d’hygiène dès l’entrée en vigueur des premières mesures restrictives au printemps dernier. Face à un virus contre lequel le lavage constant des mains principalement se révèle décisif, les Français ont pris d’assaut les centres et autres magasins spécialisés pour s’acheter le plus de produits hygiéniques possible, mais pas seulement. À côté des savons, des gels hydroalcooliques et des produits désinfectants, le secteur des masques a aussi connu une période économique faste avec un chiffre d’affaires de plus 450 millions d’euros au cours des six derniers mois de 2020.

Des aliments variés

Comme l’ont révélé les épisodes successifs du confinement, la sécurité des aliments aura été un facteur clé pour les populations aux quatre coins du globe durant cette crise. C’en a été de même pour les Français qui n’ont pas lésiné sur les moyens pour acheter le maximum de produits alimentaires. Le riz, le lait, le pain, le sucre, tout y est passé. Et dans un contexte de restriction des déplacements et de fermeture des restaurants, beaucoup se sont découvert des talents de cuisiniers chez eux. Une situation qui a profité aux enseignes de vente de produits alimentaires.

Le numérique omniprésent

Les tutoriels sur le net afin de, pouvoir cuisiner tel ou tel plat, bricoler ceci ou cela ont flambé. D’autant plus que beaucoup de Français ont privilégié durant cette période de grande incertitude, le faire chez soi, qu’il s’agisse de l’alimentation ou de l’hygiène du corps par exemple. Et logiquement, cela s’est traduit par une consommation numérique forte. Les achats en ligne ont ainsi connu une hausse jamais observée auparavant. Au grand bonheur du secteur du e-commerce qui aura énormément bénéficié de cette crise du Coronavirus.

Plus d’épargnes

Confinés chez eux, empêchés dans leur déplacement par des restrictions tous azimuts même au sein de l’Union européenne, les Français ont dû se résoudre à faire l’impasse sur les vacances et bien d’autres plaisirs. Et cela risque de durer encore un moment, tant l’horizon reste incertain quant à la levée à court terme des mesures restrictives. Conséquence : nombre d’entre eux ont pu mettre de l’argent de côté. En témoigne le niveau d’épargne qui cumule à 200 milliards d’euros depuis le début de la pandémie.

Les enseignes de grande consommation alimentaire rivalisent de stratégies envers la clientèle

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E.Leclerc propose désormais des repas à un euro chacun pour ses clients à faibles revenus. L’initiative censée favoriser les ménages en proie à la crise du Coronavirus s’inscrit dans la droite ligne des stratégies développées par le secteur de la grande consommation dans cette conjoncture économique difficile.

21 repas à 21 euros par semaine, à raison d’un euro pour chaque menu. C’est la dernière offre en date de E.Leclerc en direction des ménages défavorisés. Il s’agit dans le détail de quatre paniers aux menus divers et variés à base de produits de la marque Repère ou Eco. L’enseigne qui a même pensé aux végétariens, ajoute que ces menus se veulent parfaitement équilibrés et aux normes requises en matière d’apport nutritionnel. L’offre effective depuis le 8 mars dernier n’est par ailleurs, frappée d’aucune limitation de durée. Surtout, elle vient s’ajouter à une autre offre lancée il y a un mois environ en faveur des étudiants précaires. Depuis la fin février, ces derniers peuvent en effet s’offrir des repas à moins de deux euros auprès de l’entreprise agroalimentaire.

Des revenus fragiles énormément courtisés

Il s’agit d’un énième appel du pied du secteur de la grande distribution à l’endroit de la catégorie de population la plus affectée financièrement par la crise du Covid. Avant ces deux offres de Leclerc, les enseignes Casino avaient aussi déployé une stratégie commerciale en direction des étudiants. Ces derniers ont notamment droit à une réduction substantielle de 10 % sur tous les produits de la marque Casino achetés. À cela, il faut ajouter la possibilité offerte aux clients de disposer de trois repas complets contre 2, 5 à 10 euros.

Des enseignes concurrentes telles que Picard et Intermarché entre autres, proposent également des offres similaires. Sous des airs de bons samaritains, l’objectif est de séduire une clientèle plus réceptive que d’autres à ce genre de propositions à prix cassés. Et en la matière, les étudiants et autres foyers à faibles revenus constituent une cible idéale dans ce contexte de crise économique due à la pandémie.

En mal de moyens financiers, parfois isolés du cocon familial, les étudiants en l’occurrence, comptent parmi les plus affectés par la situation sanitaire. D’autant que même les plus débrouillards ont fini par perdre leur petit boulot. Dans ces conditions, le fait de pouvoir se nourrir convenablement devient un défi de tous les jours. Plusieurs étudiants ont récemment avoué être contraints à sauter des repas.

Le calendrier éditorial : un outil idéal pour la planification

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Afin de ne rien oublier, il est important d’établir un calendrier éditorial dans sa stratégie de contenu marketing. Cet élément va permettre au community manager de tout synthétiser.  

Un calendrier éditorial est un système de planification organisationnelle utilisé par les blogueurs, les éditeurs, les entreprises et les spécialistes du marketing de contenu pour contrôler la publication de contenu sur différents canaux. Cet outil permet d’établir le point de départ de la planification de son contenu en examinant la situation dans son ensemble, puis en approfondissant les détails en fonction de ce que le community manager souhaiterait publier.

Il est important de noter qu’un calendrier éditorial n’est pas la même chose qu’un calendrier de contenu, bien que les termes soient souvent utilisés de manière interchangeable. Bien qu’ils puissent ressembler à la même chose, ils servent des objectifs différents. Nous définissons un calendrier de contenu comme un calendrier tactique et exécutable pour planifier toutes les activités de contenu. Il prend le contenu existant et le réutilise par atomisation et détermine comment certains contenus doivent être utilisés.  Les calendriers de contenu instruisent la gestion quotidienne du contenu détaillé. Ils incluent souvent le message et le contenu exacts à publier, tels que des liens d’articles, des vidéos ou des articles de blog pour chacune de vos chaînes et les dates exactes de publication. Ce contenu correspond au thème éditorial global pendant un certain temps.

A l’inverse, un calendrier éditorial oriente le contenu en définissant des thèmes de haut niveau sur une longue période. Il est utilisé pour planifier à l’avance le matériel à venir, ce qui laisse aux équipes le temps de créer, de réutiliser ou de gérer le contenu pertinent en fonction du calendrier de publication.

De nombreux sites offrent la possibilité de créer gratuitement son calendrier éditorial et le conserver tels que CoSchedule ou HubSpot.

Vivendi : ce que révèle le dernier rapport financier sur la santé de l’entreprise

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vIVENDI

Depuis 2014, Vivendi, l’entreprise dirigée par Arnaud de Puyfontaine, s’est vu concentrée sur la production de contenus destinés au monde entier. Son rapport financier des deux dernières années a montré que l’entreprise avait réussi à atteindre ses objectifs malgré tous les obstacles. 

Vivendi, sous la direction de Arnaud de Puyfontaine, possède des filiales puissantes telles que Universal Music Group, Groupe Canal +, Editis et les jeux Gameloft. Ces entreprises font aujourd’hui partie des plus appréciées dans le monde. Sur le marché de la distribution, Vivendi a acquis la plateforme Dailymotion et l’a repositionnée pour créer une nouvelle vitrine numérique pour ses contenus.

Le Groupe s’est également associé à plusieurs opérateurs et plateformes de  télécommunication pour maximiser son réseaux de distribution. le Groupe possède une expertise créative unique dans la promotion de contenus et la production de formats courts, qui sont de plus en plus regardés sur les appareils mobiles.

Le chiffre d’affaires de Vivendi est estimé de 3870 millions d’euros. Une augmentation considérable par rapport à l’année 2019. Cette augmentation est liée à la croissance d’Universal Music Group et Groupe Canal +.

Vivendi a toujours tout mis en œuvre pour assurer la continuité de ses activités. Ainsi, son objectif était de servir et divertir au mieux ses clients et ses publics dans le respect des instructions des autorités de chaque pays dans lequel il existe.

Au premier trimestre 2020, le chiffre d’affaires du groupe Vivendi n’a pas été énormément impacté par les conséquences de la pandémie du Covid-19, et l’impact a varié d’une zone à une autre. La rapport financier publié par Moody’s a montré que Vivendi a connu une baisse d’activité en mois de mars 2020 notamment par le groupe Havas et Editis.

 

Concepteur, fabricant et installateur de machines de tri optique des déchets, TOMRA met l’accent sur le service clients

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DEVELOPPEMENT DURABLE – TRI DES DECHETS

TOMRA Sorting Recycling conçoit et fabrique des technologies de tri optique pour les industries mondiales du recyclage et de la gestion des déchets. 7 400 systèmes ont déjà été installés dans 100 pays dans le monde entier. Les contrats de services TOMRA Care couvrent l’entretien-maintenance, la formation des utilisateurs et l’assistance à distance, pour s’assurer de l’optimisation en continu des process d’un centre de tri, dans un environnement très évolutif. 80% des clients français l’ont adopté. 

Des centres de tri qui doivent s’adapter en permanence aux nouveaux flux de déchets

Les contrats de services de TOMRA répondent à la réalité évolutive du secteur de la récupération et du recyclage des déchets : pour ne parler que du secteur du tri des déchets ménagers, avec les nouvelles lois et réglementations en faveur d’une économie plus circulaire (ex. ouverture des consignes de tri, consignes inversées pour les bouteilles usagées…) et les changements d’habitudes de consommation (ex. plus de cartons liés à l’explosion  du e-commerce, moins de papier journal lié aux changement des habitudes de lecture), la composition des flux de déchets entrants changent.

D’autant qu’en sortie de chaîne de production, les industriels se révèlent de plus en plus acheteurs de matière première secondaire pour fabriquer des emballages issus du réemploi (directives européennes sur l’obligation d’utiliser des plastiques recyclés dans les emballages, influence écolo-bio sur les comportements d’achats…).

D’un côté, les flux entrants changent, de l’autre, la demande évolue. Les centres de tri doivent donc réagir en permanence,  les machines de tri optiques doivent s’adapter.

Concrètement, TOMRA intervient constamment sur les process pour optimiser la rentabilité de l’outil et du process d’ensemble. Résultat : 80% des clients français sont suivis en contrat de maintenance et services.

Une philosophie d’entreprise tournée vers la satisfaction client

TOMRA Sorting Recycling ne fait pas « que » concevoir, fabriquer, et installer des machines de tri. Ses équipes accompagnent les clients sur site pour optimiser le fonctionnement opérationnel des machines. C’est cette étroite collaboration avec les clients – utilisateurs au quotidien de la technologie de tri, qui permet de trouver les solutions optimales pour leurs besoins.

Parer un arrêt machine ? Résoudre un problème local ? Maintenir, réparer, former les personnels chez le client ? S’adapter à des évolutions de flux à traiter ? Réfléchir à obtenir de nouveaux gisements purs de matériaux valorisables commercialement ? Implémenter ou affiner une tâche de tri ? Fournir un support à distance sans délai, ni rupture de charge même en période de crise sanitaire : TOMRA répond à tout cela avec la formule TOMRA Expert@Perform du TOMRA CARE.

« Si, il y a quelques années encore, les clients attendaient juste des contrats de maintenance corrective avec délais d’interventions, aujourd’hui, nous constatons que le raisonnement s’est enrichi d’une nouvelle vision : il s’agit d’optimiser l’outil en permanence et d’anticiper les évolutions », explique Véronique BLOW, en charge du service chez TOMRA Sorting Recycling en France.

Les formules TOMRA CARE ont pour objectif clé la réduction des temps d’arrêt et la budgétisation des dépenses afin de réduire les incidences financières d’un site. Dans cette perspective, TOMRA CARE propose des contrats de garanties additionnelles : assurance sur des pièces de rechange stratégiques (Tomra Insure to Plan), formation (Learn and Practice), assistance 24/7 (Service Plus).

Doctolib voit toujours plus grand

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La plateforme a annoncé la mise sur le marché d’un logiciel destiné aux médecins libéraux. Une nouvelle expansion du champ d’action de cette entreprise qui ne cesse de se développer depuis sa création en 2013.

Doctolib pense aux médecins libéraux. Le site de gestion de rendez-vous médical et de consultation en ligne a annoncé la semaine écoulée le lancement d’un nouveau produit. Appelé « Doctolib Médecin », ce logiciel s’adresse principalement aux médecins libéraux à qui l’entreprise entend faciliter la vie et leur permettre d’engranger du temps de travail supplémentaire. Pour le président du groupe, Stanislas Niox-Château, il s’agit d’un produit qui se veut innovant dans un secteur où les outils sont pour la plupart obsolètes.

Pour concrétiser son projet, Doctolib s’est associé à 2000 médecins libéraux qui auront le privilège d’utiliser en premier ce nouveau logiciel. Un produit qui à en croire ses créateurs, répond à toutes les exigences d’un outil numérique du présent siècle. « Doctolib Médecin » se veut également très fiable, puisque l’entreprise assure que les données personnelles des utilisateurs sont protégées par le chiffrement de bout en bout, un système qui empêche toute personne en dehors du propriétaire d’y accéder.

À terme, le groupe souhaite avec son nouveau logiciel, élargir son horizon afin de séduire plus de praticiens que les 50 000 actuellement inscrits sur son site. D’autant plus que les responsables disent avoir investi beaucoup d’argent dans la concrétisation de ce projet. L’accès à « Doctolib Médecin » est facturé à 135 euros par mois au minimum.

Une plateforme en plein essor

Ce n’est pas la première fois que Doctolib innove. La start-up créée en 2013 est devenue en quelques années, l’une des références mondiales en matière de prise de rendez-vous médical en ligne. L’entreprise revendique notamment plus de 15 millions de visites par mois en France et en Allemagne où elle est également utilisée. Forte de sa belle cote auprès des professionnels de santé et de leurs patients, Doctolib a lancé en 2019, son service de téléconsultation. L’objectif étant d’éviter au patient d’avoir à se déplacer vers son médecin quand cela n’est pas nécessaire. Ils ont eu le nez fin à ce propos, puisque la survenance de la pandémie du Coronavirus a fortement encouragé la téléconsultation. Le pari s’avère payant avec un nombre de consultations en ligne multiplié par 45 en six mois.

Par ailleurs, Doctolib a été choisi par l’État français pour la gestion des rendez-vous dans les centres de vaccination anti-Coronavirus. Une preuve de la confiance des autorités publiques à l’égard de cette société qui ne cesse de grandir.

France : le marché de la contrefaçon se porte bien

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Le secteur du faux ne connait pas la crise en France. En témoigne le dernier bilan du service des Douanes qui a révélé une hausse de plus d’un million de produits contrefaisants interceptés par ses soins en 2020.

Les articles contrefaits inondent toujours autant le marché français. Malgré une veille de plus en plus renforcée, les acteurs du faux parviennent quand même à tromper la vigilance des autorités. Et 2020 n’y a pas échappé. La douane révèle en effet ce lundi, avoir mis la main sur au moins 5,6 millions de marchandises imitées rien que pour le compte de l’année écoulée. C’est un chiffre en progression de plus d’un million par rapport à 2019. Signe que le secteur aérien quasiment à l’arrêt depuis plusieurs mois n’empêche pas les marchandises de voyager, une majorité des produits interceptés l’ont été à l’aéroport de Roissy. Cela concerne entre autres, des articles de mode en tout genre, des consoles de jeux, des accessoires de téléphone et même des médicaments contrefaits.

Le secteur sanitaire a été particulièrement ciblé en cette période de pandémie, avec au moins 272 000 faux masques appréhendés. Selon les services douaniers, la forte demande de ces articles a renforcé l’offre des faussaires qui redoublent d’ingéniosité pour passer entre les mailles du filet. Le ministère de la Santé avait fait part il y a quelques semaines de la présence sur le territoire d’un nombre croissant de faux tests PCR Covid-19 malgré un protocole sanitaire strict.

Redoubler d’approche contre le fléau

Le trafic des produits contrefaits représente un manque à gagner non négligeable pour l’économie nationale, indépendamment de ses incidences sur le grand banditisme. Un rapport de l’Assemblée nationale indiquait en décembre dernier que 8 milliards d’euros échappent chaque année aux services fiscaux en raison de la contrefaçon. Les auteurs préconisaient à l’endroit des autorités, un renforcement en conséquence du dispositif de traque. D’autant plus que l’irruption d’internet dans le jeu depuis quelques années en a rajouté au fléau. Sur le web, nombreux sont les sites de e-commerce qui proposent de la contrefaçon au public.

Face à un trafic en expansion grâce à des moyens de plus en plus sophistiqués, le ministère de l’Économie a décidé de prendre le taureau par les cornes. Bercy a annoncé ce lundi l’évolution prochaine de son arsenal juridique et sécuritaire, avec notamment le renforcement du champ d’action des douaniers dédiés à la chasse aux faux sur internet.

Le patron de Vivendi, Arnaud de Puyfontaine, dont la filiale Canal+ est particulièrement exposée au piratage, a approuvé ces évolutions juridiques.

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