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Tarif : ce qui va changer à la rentrée

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A chaque mois de septembre, beaucoup de choses changent, notamment au niveau des réglementations et tarifs. Et cette année ne déroge pas à la règle. Quels sont les changements prévus pour septembre ? 

Les plus gros changements attendus

Malgré la démission de l’ex-ministre de la transition écologique et solidaire Nicolas Hulot, le monde agricole et environnemental a connu un grand changement de printemps. En effet, l’Union européenne a décidé d’élargir l’interdiction de trois néonicotinoïdes. Ces pesticides sont jugés dangereux pour les abeilles. Cette décision a été prise au nom de la défense de la biodiversité et de l’environnement. « Les néonicotinoïdes sont une classe de produits toxiques employées comme insecticides agissant sur le système nerveux central des insectes. Utilisés jusqu’à là pour nuire aux abeilles, es représentants des États membres de l’Union européenne ont voté vendredi l’interdiction de l’usage des pesticides « tueurs d’abeilles ». Considérés comme responsables de la forte diminution des populations d’abeilles et de bourdons ces dernières années. La Commission européenne avait déjà demandé leur interdiction« , explique le site spécialisé Ecolobizz.

En ce qui concerne l’électricité, les ampoules halogènes ont été interdites à la vente, considérées comme trop gourmande en énergie. « Trop gourmandes en énergie, les ampoules halogènes ne seront plus vendues à compter du 1er septembre 2018. Les stocks restant en magasin pourront néanmoins être écoulés« , peut-on lire sur le compte Twitter du Service Public.

Les étudiants sont aussi gâtés pour la rentrée. « Une année de transition pour les étudiants poursuivant leurs études à la rentrée 2018, avant un basculement automatique au régime général au 1er septembre 2019« , annonce la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM).

« Tout étudiant débutant ses études supérieures à la rentrée 2018 continuera d’être affilié à son régime de protection sociale actuel, le plus souvent celui de ses parents », note l’Assurance maladie. Les étudiants poursuivant leurs études resteront, eux, provisoirement (et automatiquement) dans leur mutuelle étudiante pour l’année 2018-2019. « Au 1er septembre 2019, ils basculeront automatiquement au régime général, excepté pour les étudiants de la LMDE dont la gestion du régime obligatoire a été confiée au régime général le 1er octobre 2015, et seront rattachés à la CPAM de leur lieu de résidence« .

 

Les prix à la consommation ont augmenté

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Cet été et tout particulièrement au mois d’août, les prix à la consommation ont augmenté de 2,3 % sur un an, selon une estimation de l’INSEE, publiée ce vendredi. 

Une hausse notable sur un an

« Après avoir atteint son plus haut niveau depuis 2012 en juillet, l’inflation s’est stabilisée en août 2018, selon les premiers résultats publiés ce vendredi par l’Insee. Calculée en rythme annuel, elle atteint en effet 2,3 %. Mais si cette stabilisation est une bonne nouvelle pour l’économie en général, elle risque de passer inaperçue pour la majorité des Français« , explique le site des Echos, spécialiste de l’économie. « L’inflation serait ainsi stable, le ralentissement des prix de l’énergie étant à peu près compensé par une légère accélération des prix de l’alimentation« , d’après l’INSEE.

Les détails de cette hausse

Les prix de l’énergie ont incroyablement progressé. En effet, on passe d’une progression de 13 % sur un an, contre 14,3 en juillet. Les produits alimentaires ont progressé de 2,1 % contre 1,9 % en juillet, toujours sur un an. La hausse de 0,5 % par rapport à juillet s’expliquerait quant à elle « principalement par le rebond saisonnier des prix des produits manufacturés, après les soldes d’été » ainsi que par « l’augmentation également saisonnière des prix de certains services liés au tourisme ».

Au total, sur un an, les produits manufacturés baissent. Les prix des services, quant à eux, augmentent de 1,3 %. « Enfin, l’indice des prix harmonisé (IPCH), utilisé pour les comparaisons au sein de l’Union européenne, s’établit en août à 2,6 %« , précise l’INSEE.

 

Qatar : les créations d’entreprises internationales en hausse de 69% au 1er semestre

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Les créations d’entreprises internationales au Qatar ont augmenté de 69% au premier semestre 2018 selon le Qatar Financial Centre (QFC) l’organisme qatari en charge des implantations d’entreprises étrangères dans l’émirat.

Le QFC précise que les nouvelles entreprises créées viennent pour la majorité d’Europe, d’Inde et du Pakistan, mais également des Etats-Unis et de la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord), et qu’elles sont issues de secteurs aussi variés que les technologies de l’information, le marketing, la publicité, les services juridiques, et les services d’accompagnement aux investisseurs.

« Le QFC a battu un nouveau record en termes d’entreprises rejoignant notre plateforme », s’est félicité Yousuf Mohammed Al-Jaida, le PDG de la QFC Authority, qui a souligné que ces résultats sont une reconnaissance de « l’attractivité de QFC et des nombreuses opportunités (pour les investisseurs) sur le marché qatari ».

Selon M. Al-Jaida, les résultats du premier semestre s’expliquent notamment par la forte croissance que connait l’émirat (+1,4% au premier trimestre 2018) et la récente politique d’ouverture des entreprises qataries aux investisseurs étrangers (qui peuvent désormais investir à hauteur de 49% dans les entreprises de l’émirat, contre 25% il y a encore quelques mois).

« Le Qatar continue de prospérer et ce n’est pas surprenant que les entreprises internationales soient désireuses d’explorer les opportunités disponibles », a-t-il poursuivi en soulignant que le QFC était « la porte d’entrée pour les investissements directs étrangers (IDE) et l’innovation dans les services financiers ».

A la différence des entreprises locales, les entreprises inscrites au QFC peuvent être détenues à 100% par des capitaux étrangers et dépendent de la Common Law anglaise, afin d’offrir un cadre sécurisant et familier aux investisseurs étrangers. Le QFC représente le bras armé de l’émirat pour attirer des investissements directs étrangers.

Faute d’accords, Foodora cesse son activité en France

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A bicycle and a delivery bag with the logo of Foodora, a Berlin-based online food delivery company, part of the emerging 'gig economy' is seen in Paris, France, April 6, 2017. Picture taken April 6, 2017. REUTERS/Gonzalo Fuentes

Alors que la livraison à domicile connaît un succès fou depuis plusieurs années, pour Foodora, l’aventure semble s’arrêter très bientôt. En effet, le 28 septembre au plus tard, la société allemande de livraison cessera de livrer en France. 

Le groupe, qui comme ses concurrents Uber Eats ou Deliveroo, permet aux particuliers de commander via leur smartphone des repas préparés par des restaurants locaux, avait annoncé le 3 août son retrait de France, d’Australie, d’Italie et des Pays-Bas. « Foodora compte une quarantaine de salariés permanents en France et quelque 1500 coursiers au statut d’auto-entrepreneurs tout en ayant une part de rémunération fixe« , a précisé la société à l’AFP.

Aucun accord trouvé avec les repreneurs

« C’est le cœur lourd que nous vous annonçons que notre service de livraison s’arrêtera définitivement au plus tard le 28 septembre 2018. Suite à notre mise en vente par notre maison mère Delivery Hero, aucun accord nous permettant de maintenir les fondements de notre identité (rémunération fixe et variable des coursiers prestataires, proximité avec nos partenaires restaurateurs, sélection à la fois complète et pointue de restaurants) n’a pu être trouvé avec de potentiels repreneurs. La décision de mettre fin aux opérations de Foodora France au plus tard le 28 septembre 2018 a donc été prise« , a déclaré le groupe sur sa page Facebook.

« Vous livrer va vraiment nous manquer. Nous vous souhaitons de continuer à vous régaler tous les jours, car il n’y a rien (ou presque) de plus important qu’un bon petit plat !« , a-t-il conclu, dans le même post.

La Poste : un grand pôle financier public annoncé par le gouvernement

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Par le biais de la loi Pacte, le gouvernement va « transférer le contrôle de la Poste à la Caisse des dépôts ». Cela permettra au groupe postal, lourdement menacé par la disparition du courrier, « d’absorber CNP Assurances ». 

Garantir la survie du groupe la Poste ?

Peu à peu, le groupe postal est menacé par le web et le digital. En effet, la numérisation et l’envoie quotidien de milliers de mails mettent en danger l’avenir de la Poste, jusqu’à la menacer de disparition. Pour remédier à cela, le gouvernement a lancé ce 30 août « le chantier d’un grand pôle public de banque et d’assurance, en rapprochant CNP Assurances et La Banque Postale« , explique le journal du Monde.

L’opération de ralliement se fera en plusieurs actes. « Le gouvernement déposera d’abord un amendement au projet de loi plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises (Pacte), prochainement examiné par le Parlement, afin de permettre à la CDC de devenir majoritaire au capital de La Poste. La Caisse détenait jusqu’à présent 26 % du groupe postal, au côté de l’Etat. Celui-ci va donc se désengager largement de La Poste, mais conservera, selon une source proche du dossier, une minorité de blocage (c’est-à-dire, au moins 34 %) », détaillait le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire.

La Poste restera assurément un établissement public

Malgré tout, le ministre s’est voulu rassurant. « La poste restera un établissement public. « Il n’y aura aucune privatisation, aucune intention de privatisation, aucune arrière-pensée, sauf une seule, que La Poste reste un grand service public, rentable, dynamique, au service des territoires« , a-t-il déclaré.

 

 

 

Prélèvement à la source : le report démenti

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Depuis quelques jours, la rumeur du report du prélèvement à la source enfle peu à peu. Ce matin, Gérald Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes Publics a affirmé que cette réforme entrerait bien en vigueur comme prévu à l’initial, en janvier 2019. 

Pour aujourd’hui ou pour demain ?

« Des doutes semblent persister alors que pourtant depuis plusieurs jours les contribuables voient arriver dans leur boîte aux lettres leur avis d’imposition 2018 et qu’une vaste campagne de communication a été lancée dimanche dans les médias », précise le journal du Figaro. D’après Le Canard enchaîné, Emmanuel Macron aurait «en privé» fait part de ses réserves sur cette réforme lancée sous François Hollande et déjà reportée d’un an. «On se donne jusqu’au 15 septembre pour voir si on le fait ou pas», aurait-il confié à sa garde rapprochée durant le week-end.

« Je serai le ministre de la réforme »

Alors que la rumeur enfle et qu’un patron sur 4 estime ne pas être du tout prêt pour la réforme du prélèvement à la source, cette hypothèse de report a immédiatement été démenti. Gérald Darmanin a réfuté toutes contradictions. « Nous ferons la réforme de l’impôt à la source et fin janvier de l’année prochaine les Français paieront leur impôt à la source, en janvier 2019», a-t-il déclaré aux micros d’Europe 1. « Je serai le ministre qui fera l’impôt à la source. Il n’y a aucun bug administratif ou informatique« , a assuré le ministre.

Dans un entretien au Journal du Dimanche , le premier ministre Edouard Philippe était toutefois plus évasif, promettant de faire «le point» d’ici quelques semaines, sans en dire plus…

Toyota investit 500 millions de dollars dans Uber

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Malgré l’accident survenu impliquant une voiture autonome, le constructeur automobile Toyota n’a pas fait machine arrière et investit 500 millions d’euros dans le groupe Uber

Un regain de popularité ?

Il y a quelques mois, un accident impliquant un véhicule autonome Uber avait coûté la vie à une jeune femme. Depuis, le leader du transport de particulier était dans une mauvaise passe. Malgré un système de sécurité normalement fiable, la victime, première de ce genre, a été détectée, mais ignorée par le véhicule. Les conséquences de cet incident furent lourdes pour la firme californienne, dont l’image plus que ternie l’a obligé à stopper ses essais en Arizona. Quelques mois plus tard, son projet de camion autonome a lui aussi été abandonné.

« Pour Toyota, cette coopération va permettre d’accélérer le programme de conduite autonome développé en interne et baptisé « Guardian », un système d’assistance de sécurité automatisé. Il équipe actuellement une flotte de véhicules Lexus, la marque premium de Toyota. Ce partenariat prévoit que la technologie de chacun puisse être intégrée dans des véhicules Toyota qui seront par la suite mis à disposition d’Uber pour son réseau de VTC », explique un site spécialisé.

Un apport financier important

« Pour le leader du VTC Uber, cet apport financier est une sacrée bouffée d’oxygène. Après l’annonce, la société a pris 15 % en étant valorisée à 72 milliards de dollars. Ce chiffre devrait augmenter puisque Uber a décidé de se séparer de sa division camion autonome, Otto, créée à l’époque par Anthony Levandowski, un ancien ingénieur de Google ayant travaillé sur les véhicules autonomes de la multinationale et ayant été licencié depuis pour espionnage industriel », poursuit le site spécialisé.

La RATP se modernise

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Il y a quelques mois, le groupe de transports en commun Parisien l’avait annoncé. Pour la toute première fois, la RATP passe à un système dématérialisée pour ses titres de transport. 

« Le passe Navigo devient progressivement le Smart Navigo. Demain, les voyageurs franciliens pourront avoir un nouveau geste pour acheter et valider facilement leur titre de transport avec leur smartphone. Île-de-France Mobilités lancera les premières expérimentations de cette technologie en conditions réelles cet automne. La modernisation du système de billettique de nos transports doit permettre d’offrir un service moderne, plus pratique et qui s’adapte aux besoins de tous les voyageurs qu’ils soient réguliers ou occasionnels », avait précisé Valérie Pécresse, la Présidente de la Région Île-de-France et d’Île-de-France Mobilités.

« Ce service est très attendu par nos voyageurs qui pourront acheter des carnets de tickets et des forfaits mois / semaine n’importe où et n’importe quand. Ils pourront valider leur titre avec le même geste simple et fluide qu’avec le Passe Navigo. En proposant la dématérialisation du titre de transport nous répondons à une demande forte de nos clients pour un parcours plus fluide, digitalisé et personnalisé. Notre souhait est d’offrir une gamme de services variés, connectés et d’être ainsi au plus proche des attentes des voyageurs en termes de services personnalisés. La RATP s’adapte chaque jour aux nouveaux usages et aux nouvelles mobilités », a quant à elle expliqué ,Hiba Farès, la D-directrice en charge du pôle Expérience clients, Service et Marketing de la RATP.

Pour Guillaume Pépy, le directeur de la SNCF, il s’agit d’une réelle révolution. « Les voyageurs fréquents comme les voyageurs occasionnels pourront acheter leurs titres de transport en quelques clics sur smartphone, et les télécharger dans la carte SIM grâce à la technologie Wizway. Finies les files d’attente aux guichets ou aux automates ! Avec Navigo Lab, nous allons faciliter la vie des Franciliens, leur donner encore plus de liberté dans leurs déplacements. Cette expérimentation sera disponible sur tous les smartphones NFC Android des opérateurs mobiles partenaires. Nous serions très heureux de pouvoir aussi offrir ce service aux utilisateurs d’Apple, comme au Japon ! », avait-il déclaré.

Croissance : les montagnes russes de l’économie

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Il y a un mois, le ministre de l’économie Bruno Lemaire revoyait l’objectif de croissance à la baisse. En effet, l’homme politique a affirmé que les 2 % souhaités allaient avoir du mal à être atteints et a reconnu que la France ne tiendra pas son objectif de 2,3% de déficit public en 2018… 

Une révision des perspectives de croissances

Pour le gouvernement et surtout pour le ministre de l’Economie, l’année 2018 devait être pleine de surprises et de preuves concrètes, concernant la croissance du pays. Mais il semblerait que les désirs aient été bien trop vite pour des réalités. En effet, compte tenu de la faible évolution du PIB, Bruno Le Maire a annoncé qu’il serait « dans l’obligation de revoir ses prévisions de croissance pour 2018. En effet, le PIB a seulement augmenté de 0,2 % lors du premier trimestre 2018, une bien maigre augmentation. Nous réviserons les perspectives de croissance pour 2018. Nous avons toujours fait preuve de sincérité, j’y tiens plus que tout», a expliqué Bruno Le Maire.

Une confirmation de l’Insee attendue

« S’agissant de la croissance 2018, Bruno Le Maire a souligné que le consensus des économistes la situait à 1,7%, une « hypothèse qui semble raisonnable » mais que le gouvernement, qui tablait sur 2,0% depuis le printemps, ne retiendra définitivement que si l’Insee confirme mercredi le début d’année poussif de l’économie française », explique le site d’informations FranceInfo.

Bruno Le Maire admet que le 0,2% de croissance enregistré entre avril et juin est «décevant». Les causes sont connues: «Il y a eu des grèves, l’augmentation du prix du pétrole, le climat international avec cette guerre commerciale qui nuit à l’activité économique. Cela m’amène à me battre pour continuer à accélérer sur les réformes. Il faut tenir son cap. C’est comme ça qu’on aura des résultats. Rien ne doit nous détourner de nos efforts pour accélérer la croissance», a expliqué le ministre.

Paris : une ville en or pour les étudiants

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La semaine dernière, le palmarès des villes estudiantines les plus chères a été révélé. Sans beaucoup de suspens, Paris arrive en première place. 

Un coût de vie dantesque pour les nouveaux Parisiens

« Coût de la vie étudiante qui augmente cette année encore dr 1,31%, en face des aides sociales qui restent gelées et ne nous permettent pas d’assumer toutes les depenses ! », déclare l’Union Nationale des Etudiants de France (UNEF), sur le réseau social Twitter.

L’addition est salée, et ne passe pas pour le syndicat UNEF, estimant une augmentation du coût global de la vie étudiante de 1.31% pour l’année 2018. Les disparités entre les villes choquent, alors que Paris accueille plus de 322 000 étudiants, selon un rapport de l’Atelier parisien d’urbanisme. Par opposition, Limoges est la ville où les deniers sont le moins sollicités, presque deux fois moins que Paris : 721 euros.

Trouver des solutions à la disparité

« Un an après le début du quinquennat d’Emmanuel Macron, les étudiant·e·s voient leur coût de la vie augmenter de 1,31%. Pour 56% d’entre eux cette augmentation est supérieure à l’inflation. » Pour l’UNEF, le constat exige une réaction. Surtout que le logement représente « 68% du loyer dans le budget total d’un-e étudiant-e à Paris ». Par conséquent, le syndicat demande « une revalorisation des Bourses sur Critères Sociaux et des APL de 20% » ainsi que de nouveaux logements Crous accueillant actuellement « seulement 7,4% des étudiant·e·s ».

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