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Emmanuel Macron : un nouveau contrat social ?

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Pour ses un an à la tête de l’Etat, Emmanuel Macron a tenu un discours en début de semaine afin de défendre sa politique. Durant ce discours, il a souhaité renouer les fils du dialogue avec les partenaires sociaux, à qui il a demandé de revoir les règles de l’assurance-chômage.

Discours anniversaire

Revenant longuement sur  ce qui a été fait depuis un an , le chef de l’Etat a totalement assumé la politique économique mise en oeuvre depuis son élection, de la réforme de l’ISF à celle du Code du travail, sans oublier celle de la SNCF qui a paralysé la France pendant plus de deux mois.

« Si l’on veut partager le gâteau, la première condition est qu’il y ait un gâteau. Et ce sont les entreprises rassemblant actionnaires, dirigeants et travailleurs, ce sont les producteurs, qui font ce gâteau, et personne d’autre », a dit le président de la République. Se défendant d’être le « président des riches », il a revendiqué les mesures en faveur des entreprises. « Il y a un an, les entreprises n’avaient pas les moyens d’embaucher. Désormais elles les ont, mais elles peinent à recruter » a-t-il insisté.

En convoquant la première conférence sociale avec l’ensemble des huit organisations syndicales et patronales représentatives le 17 juillet prochain à l’Elysée, Emmanuel Macron a néanmoins quelque peu changé de méthode. Il se veut plus dans le dialogue. Alors que les oppositions de droite comme de gauche durcissent leurs discours, le président veut retisser les liens avec les partenaires sociaux, qu’il a un peu ignorés depuis son élection.

Il a dit vouloir « jeter les bases d’un nouveau contrat social, celui du siècle qui s’ouvre »« C’est à son élaboration comme au détail de sa mise en oeuvre que je veux les inviter dès le 17 juillet prochain », a-t-il indiqué, précisant vouloir aborder « la réforme de l’assurance-chômage ou la santé au travail » dans « un esprit constructif ».

Le Premier ministre prendra le relais de cette concertation à la rentrée 2018.

 

CCI : des économies à 400 millions d’euros

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Alors que la coupe du monde bat son plein, les ministres n’en n’oublient pas pour autant leurs missions. Mardi, le ministre de l’économie Bruno Le Maire a annoncé aux président des chambres de commerce et de d’industrie (CCI) une baisse de 400 millions d’euros des crédits. 

L’entreprise au coeur des missions

« Il est indispensable que nous nous mettions d’accord sur les missions prioritaires, qui justifient le recours à une taxe affectée » a expliqué le ministre, jugeant nécessaire de recentrer l’action sur « trois missions ». Il s’agit de « l’appui aux entreprises », notamment « l’aide à la création d’entreprises », « la formation initiale dans les territoires », par le financement des écoles de commerce, et « la représentation des entreprises, notamment pour faire valoir la voix des entreprises au niveau local », a-t-il détaillé.

Selon le ministre, « les autres missions » n’auront en revanche « plus vocation à être financées par un prélèvement sur les entreprises », a poursuivi le ministre, reconnaissant que cela aurait « un impact sur les personnels ».

Un recentrage d’intérêt général

En échange de ces 400 millions d’euros de baisse de crédits, le ministre a promis une baisse équivalente des prélèvements obligatoires sur les entreprises, ciblée sur deux « impôts de production » : la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) et la cotisation foncière des entreprises (CFE).

« Cette annonce survient quelques mois après la remise d’un rapport de l’inspection générale des finances (IGF), qui avait appelé à un recentrage de la mission des chambres des métiers et de commerce, avec un potentiel d’économies de 400 millions d’euros. Dans ce document, daté de mars, l’IGF préconisait un « recentrage » des missions d’intérêt général, financées par la taxe sur les frais de chambre (TFC), sur l’appui aux entreprises et la représentation », précisent plusieurs médias.

Leader Price et Franprix renforcent le lien social

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Depuis le mois de juin, les deux enseignes de proximité Leader Price et Franprix chamboulent la livraison habituelle. Dites adieu aux livreurs lambda, vos voisins peuvent se charger de la livraison de vos courses. 

La livraison d’un nouveau genre

Il est désormais possible de se faire livrer ses courses par son voisin. Ce concept, développé par la start-up Courseur en partenariat avec Leader Price, a été mis en place en juin dans 73 enseignes de l’entreprise de hard-discount. Le principe est simple: plutôt que d’aller faire vos courses en magasin, vous pouvez demander à un voisin de s’en charger à votre place. Pour cela, il suffit de se connecter sur l’application Courseur, de rentrer son adresse et sa liste de course. L’application sélectionne alors le magasin le plus proche et propose au client les «courseurs» volontaires pour effectuer la livraison. Le «courseur» sélectionné part alors faire ses achats ainsi que ceux de la personne qu’il doit livrer. À la caisse, il ne paye que pour lui et la personne livrée est débitée plus tard via l’application.

Lien social et économie collaborative

Contrairement aux services de livraison classiques, le service par vos voisins est bien plus pratique. Pas de tranche horaire impérative, pas de problème de localisation… Par ailleurs, cette initiative de la start-up Courseur permet de créer du lien social, parfois disparu, même avec nos voisins. Cela invite à faire appel à son prochain et de solliciter son aide plus fréquemment. Les rapports ne peuvent qu’en être améliorés.

« Cette activité représente aussi une opportunité en termes de réduction des coûts pour les enseignes de supermarchés. À l’heure de l’explosion du e-commerce et du développement d’Amazon dans le secteur de la grande distribution, les supermarchés se doivent de proposer un service de livraison à domicile. Or «la plupart des services de drives ou de livraisons ne sont pas rentables dans les zones rurales et périurbaines et c’est pourquoi l’économie collaborative est une solution idéale », explique Sébastien Braye, fondateur de Courseur.

Coupe du monde 2018 : un record de dépenses

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Alors que la grande finale de la coupe du monde approche à grands pas, les organisateurs russes n’ont pas lésiné sur les moyens. En effet, près de 10 milliards d’euros auront été investis pour organiser cet événement. 

Une fierté à la Russe

Depuis le 14 juin dernier, les yeux du monde entier sont braqués sur la Russie. Le pays de Vladimir Poutine accueille avec beaucoup de fierté cette 21ème édition de la coupe du monde. Pour accueillir les équipes, faire vibrer les spectateurs et impressionner les milliards de passionnés à travers le monde, le Kremlin a mis les bouchés doubles : entre les stades à construire, les infrastructures à faire sortir de terre et les investissements financiers, le Mondial russe est d’ores et déjà le plus cher de l’histoire.

Un mondial très, très onéreux

Connaissant la personnalité sulfureuse de Vladimir Poutine, il fallait s’y attendre : la Russie entre dans l’Histoire, non pas pour la compétition de laquelle elle a été éliminée, mais pour les dépenses engendrées par la coupe du monde.

Le budget du Mondial russe a beaucoup évolué au fil des ans. Initialement, il était établi à 661,5 milliards de roubles (neuf milliards d’euros). La crise économique est passée par là et en juin 2015, l’État a voté une réduction de 30 milliards. Finalement, en 2017, pour boucler le budget, le comité d’organisation a obtenu deux coups de pouce : 19 milliards en février puis 34,5 milliards en octobre. Résultat, un coût total de 678 milliards de roubles, soit 9,2 milliards d’euros.

Un record valable pour quatre ans

Avec ce budget record, la Russie écrase le précédent [record] établi par le Brésil en 2014. La dernière Coupe du monde avait coûté huit milliards d’euros, dont 2,5 pour la construction et la rénovation des stades.

Le record russe ne tiendra toutefois que quatre ans. Le Qatar, pays organisateur de la Coupe du monde 2022, a engagé des dépenses faramineuses pour sa candidature. Le budget initial de 26,6 milliards d’euros du comité d’organisation a certes été raboté de 40 à 50% mais le coût reste monstrueux : la seule construction des stades représente entre 7,5 et 9,4 milliards d’euros.

Présidentielle malienne : la candidature d’Aliou Diallo définitivement validée

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La Cour constitutionnelle malienne a définitivement validée la candidature de l’entrepreneur Aliou Diallo à l’élection présidentielle du 29 juillet. Une étape supplémentaire de passée pour celui qui souhaite renverser la table politicienne malienne et que de nombreux observateurs présentent comme l’un des favoris du scrutin.

« C’est avec une incommensurable émotion que j’écris ces quelques lignes pour vous annoncer que ma candidature a été validée par la Cour Constitutionnelle », a prévenu Aliou Diallo sur sa page Facebook quelques minutes après la décision de la Cour constitutionnelle. Au total, 24 candidatures ont été validées et six rejetées.

Selon Aliou Diallo, un entrepreneur de 58 ans soutenu par une large coalition de la société civile ainsi que par de nombreux religieux dont le Chérif de Nioro, « c’est un grand pas que nous venons de franchir dans la réalisation de notre objectif du changement réel et profond dans la gouvernance de notre cher Mali ».

« Cette décision renforce ma conviction que nous sommes sur la bonne voie. Le 29 Juillet restera, j’en suis sûr, à jamais gravé dans l’esprit des maliens et du monde entier comme le jour où nous avons repris notre destin en main », a poursuivi M. Diallo.

Candidat hors du circuit politicien classique, Aliou Diallo a bâti sa campagne sur la promesse du changement et du redressement socio-économique et sécuritaire du Mali. Fort de son expérience d’entrepreneur, il souhaite réformer en profondeur le pays pour retrouver le chemin de la croissance et lutter contre le chômage de masse, deux préalables pour lui au retour de la paix civile au Mali.

Son programme prévoit notamment un Plan Marshall de 15’000 milliards de francs CFA d’investissements, dont une grande partie doit être consacrée au désenclavement et au développement socio-économique des régions du nord et du centre du pays, aujourd’hui largement contrôlés par des groupes armés djihadistes.

« Restons mobilisés et déterminés. Le changement est à portée de main! », a conclu celui qui pourfend depuis le début de la campagne la corruption et le népotisme du président sortant, Ibrahim Boubacar Keïta.

Mark Zuckerberg : sur le podium des plus riches

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Mark Zuckerberg, père fondateur de Facebook, s’était fait discret depuis l’affaire Cambridge Analytica. Pour rappel, cette société et le réseau social étaient accusés d’avoir exploité des millions de données d’utilisateurs sans leur consentement. Récemment, le jeune homme s’est hissé au rang des plus riches : il est désormais la troisième personne la plus riche du monde. 

Des scandales sans réel impact ?

Mark Zuckerberg est désormais la troisième personne la plus riche du monde avec une fortune estimée à 69,4 milliards d’euros. Cette somme représente environ 300 millions de dollars de plus que l’homme d’affaires et investisseur américain, Warren Buffett. La multiplication des polémiques n’entrave pas la marche en avant de Facebook. « De l’affaire des « fake news » ultra-virale disséminées par des bots russes pendant la présidentielle américaine en 2016 au scandale Cambridge Analytica en 2018, le réseau social, dont l’avenir dépend de la confiance des utilisateurs, semble malgré tout intouchable », précise la chaîne d’informations LCI.

C’est d’ailleurs la première fois que les trois premières personnes de ce classement on fait fortune grâce aux nouvelles technologies. À la première place du classement, on retrouve Jeff Bezos et une fortune estimée à plus de 140 milliards de dollars grâce à Amazon, suivi de Bill Gates et ses 94,2 milliards de dollars.

Facebook en quelques chiffres

Afin de mieux comprendre comment le fondateur de Facebook est arrivé dans ce classement, voici quelques chiffres incontournables du géant américain.

  • Chiffre d’affaires trimestriel (2018) : 11,97 milliards de dollars
  • Bénéfice annuel (2018) : 5,5 milliards de dollars
  • Chiffre d’affaires annuel (2017) : 40,6 milliards de dollars
  • Bénéfice annuel (2017) : 15,9 milliards de dollars

Chaque mois, le réseau social compte plus de 2,2 milliards de membres actifs, dont 377 millions en Europe et 33 millions de France.

 

Vin, rosé et dépenses

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Ce lundi, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), révèle que des millions de litres de rosé espagnol ont été vendus pour du vin français. Quel coût pour cette escroquerie ? 

La francisation du vin espagnol

Ce phénomène a été signalé il y a presque trois ans, en 2015. La DGCCRF a donc ouvert une enquête, qui aura duré près de deux ans. Résultat, elle a fini par découvrir que des litres de vin français étaient en réalité du rosé espagnol… Dans un établissement sur cinq lors de contrôles, le rosé présenté comme français n’en était pas. Outre les problèmes d’escroquerie envers la clientèle et la répression des fraudes, il y a également un problème financier.

Une escroquerie à 3 400 000 d’euros

En effet, le vin espagnol est beaucoup moins cher ! En 2016, le rosé en vrac [espagnol] se vendait à 0,34 euro le litre pour 0,75 à 0,90 euro le litre pour le rosé français. Alexandre Chevallier, directeur de cabinet adjoint de la DGCCRF explique que « ces cas de francisation concernent plus de 70 000 hectolitres de vin« . Soit l’équivalent de 10 millions de bouteilles de rosé. Lorsque le calcul est fait, son résultat donne le tournis : près de 3 400 000 d’euros ont ainsi été détournés.

Pourtant, la DGCCRF est claire en ce qui concerne les prix pratiqués par un commerçant. « Le professionnel doit informer le consommateur de tous les frais supplémentaires au prix principal et connus à l’avance : frais de dossier, frais de transport, d’affranchissement… et tous les autres frais contractuels ». En d’autres termes, il existe une loi très stricte concernant le prix d’un produit, sans que ce dernier ne soit usurpé comme l’a été fait le vin espagnol sur le français.

 

Que va changer la loi Pacte ?

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C’est un grand changement qui attend le monde de l’entreprise. Depuis le changement de gouvernement, de nombreuses réformes sont passées, notamment par le Premier Ministre Edouard Philippe qui souhaite améliorer la compétitivité de la France tout en diminuant le taux de chômage. Qu’est donc cette nouvelle réforme, la loi PACTE

Qu’est ce que la loi PACTE ?

« Le plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises (PACTE) ambitionne de donner aux entreprises les moyens d’innover, de se transformer, de grandir et de créer des emplois. Élaboré selon la méthode de la co-construction avec tous les acteurs, le projet de loi a été présenté en Conseil des ministres le 18 juin 2018″, explique Le portail de l’Économie, des Finances, de l’Action et des Comptes publics sur son site internet.

« Derrière le retour actuel de la croissance, l’état de notre économie doit continuer à nous mobiliser : chômage, déficit commercial, épargne faiblement investie dans les entreprises. Ces faiblesses ont une explication : des entreprises trop petites et trop peu compétitives.
Nos entreprises peinent à croître à la même cadence que chez nos voisins européens. La France compte 5 800 entreprises de taille intermédiaire (ETI). Elles sont 12500 en Allemagne. Or ce sont ces entreprises qui créent le plus d’emploi, qui ont le plus de moyens pour innover, qui vont à la conquête de nouveaux marchés. Gagner la bataille de l’emploi, c’est gagner la bataille pour les ETI », a indiqué Bruno Lemaire, ministre de l’économie et des finances.

Soutenus par Delphine Gény-Stephann, secrétaire d’État auprès du ministre de l’économie et des finances, il ajoute que « le Gouvernement a pris des mesures fortes pour initier cette transformation. La réforme du droit du travail rénove le dialogue social dans les petites et moyennes entreprises. La transformation de la formation professionnelle et de l’apprentissage donne les moyens pour créer de l’emploi. La nouvelle politique fiscale mise sur l’investissement pour nourrir la croissance de demain ».

Le PACTE s’adresse aux salariés comme aux entrepreneurs. L’ambition du PACTE est donc claire : faire grandir les entreprises et mieux partager leurs valeurs.

 

Réforme des retraites : les femmes laissées pour compte ?

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En début de semaine, le Haut Commissaire à la réforme des retraites a dévoilé comment allaient être calculées les prochaines pensions. Quant à elles, les pensions de réversions ne semblent pas avoir un avenir radieux. 

Les pensions de réversion

Alors que le Haut commissaire à la réforme des retraites envisage la suspension des pensions de réversion [versée au conjoint survivant d’une personne décédée qui aurait bénéficié d’une pension], les partenaires sociaux sont très inquiets sur les conséquences qu’elle pourrait avoir pour les femmes. Voici quelques conditions pour y avoir droit :

  • Ne pas dépenser, en 2018, 20 550 euros de revenus annuels bruts, soit 2080 fois le SMIC horaire.
  • En couple, cette somme ne doit pas s’élever au-delà de 32 880 euros.

En 2017, ces montants étaient de 20 300 euros pour une personne seule et de 32 481 euros pour un couple. Aujourd’hui, 3,8 millions de personnes en bénéficient. Ce sont des femmes à 89%. Cette pension représente 33 milliards d’euros.

Pourquoi le gouvernement veut-il les supprimer ?

Alors que la question des salaires perçus par les femmes est encore un débat de société, le gouvernement souhaite supprimer la pension de réversion. L’explication semble plutôt claire. En effet, les femmes, le salaire des femmes augmentant, les différences de retraite avec les hommes diminuent. De ce fait, le gouvernement a expliqué que la pension touchée par la gente féminine serait égale à la somme des rémunérations perçues tout au long de leur vie professionnelle.

A peine déclarée, cette réforme fait déjà monter au créneau. En effet, de nombreux syndicats considèrent qu’il est « hors de question de supprimer la pension de réversion », alors que 89 % des femmes en bénéficient.

Cette perspective indigne Philippe Pihet, négociateur de Force Ouvrière (FO) sur les retraites. « Au rythme actuel, on parviendra à l’égalité salariale en 2132, autrement dit les pensions ne seront égalitaires qu’à partir de 2175 ! », a-t-il déclaré lors d’un interview.

Le Haut Commissaire devrait présenter les premiers plans de la réforme d’ici à décembre prochain.

 

La rémunération, première motivation des Français au travail

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D’après plusieurs études, le salaire reste l‘argument numéro un pour motiver les salariés français, au-delà de l’équilibre entre famille et travail. 

Le salaire détrône l’équilibre vie-pro/vie perso

Pour 50% des Français, la rémunération est la première source de motivation au travail. Une tendance plus importante chez les hommes (56%) que chez les femmes (44%). L’incontournable équilibre vie-pro vie-perso est le deuxième argument de motivation. L’argent ne fait pas le bonheur, mais il y contribue fortement.

Un échantillon de 10 000 actifs

L’étude « Workforce View in Europe 2018 » démontre que l’argent est toujours mentionné avant toute chose. Sur 10 000 actifs interrogés, près de la moitié désigne l’argent comme étant L’argument pour les faire rester chez leurs employeurs.

The Workforce View in Europe 2018 se présente comme un baromètre indispensable pour mesurer l’état d’esprit des salariés puisque l’enquête a été menée auprès d’environ 10 000 personnes en Allemagne, en Espagne, en France, en Italie, aux Pays-Bas, en Pologne, au Royaume-Uni et en Suisse. En mettant l’accent sur les sujets les plus pertinents du moment, y compris l’automatisation, les compétences, le travail indépendant, la productivité et l’égalité, cette enquête se révèle essentielle à qui désire centrer ses efforts sur la construction d’une ressource plus humaine.

Les entreprises redoublent d’efforts pour garder leurs employés

Les entreprises redoublent d’efforts pour attirer de nouveaux employés mais surtout pour garder ceux déjà en place. Le bien-être au travail, la reconnaissance, des espaces de travail attractifs ou encore le management bienveillant sont de plus en plus en vogue dans les entreprises.

Mais si la rémunération ne suit pas, peu de chances de fidéliser les salariés, susciter leur adhésion et, in fine, les rendre plus performants! Une tendance stable depuis 2016 et qui montre le pouvoir continu du salaire comme facteur émotionnel du bien-être au travail. En Europe ce sont les salariés polonais qui sont les plus motivés par leur rémunération (58%), suivis par les Espagnols, les Français et les Allemands.

 

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