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L’actualité du pétrole

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Le rapport annuel sur les perspectives énergétiques mondiale de l’Agence internationale de l’énergie affirme que la consommation de pétrole dans le monde ne devrait pas amorcer de baisser prochainement. Pire, à l’horizon 2040, la demande mondiale devrait progresser de 12% atteignant 106,3 millions de barils par jour.

Dans ce rapport, les experts estiment qu’en 2025 la production de pétrole ne pourra plus satisfaire la consommation mondiale du fait de la baisse des investissements dans la prospection pétrolière. Pour Fatih Birol, «le risque est très sérieux » alors que l’on traverse un moment «où le marché pétrolier entre dans une période où le rôle de la géopolitique se complique et l’incertitude augmente, ce que les investisseurs détestent par-dessus tout». Il faudrait même craindre une « une nouvelle escalade des prix » selon l’AIE.

La demande en or noir va croitre jusqu’en 2040 « « tirée par les camions, les avions et bien plus encore par la pétrochimie », explique Fatih Birol. La consommation journalière pourrait donc passer de 94.8 millions de barils par jour en 2017 à 106.3 millions dans un peu plus de vingt ans.

Du côté des producteurs, l’offre devrait atteindre 103.4 millions de barils par jour en 2040 soit moins que la demande prévue. Les USA devraient assumer 75% de l’augmentation de la demande durant les 10 prochaines années. Sur la période 2025-2040, l’Opep devrait produire 45% du total mondial. Les USA représenterait à eux seuls 25% de l’offre mondial soit 50% de l’offre des pays non-membres de l’Opep.

Pour limiter les risques de chute brutal du cours du baril, Riyad a annoncé ce week-end baisser d’un million de baril par jour sa production à partir de décembre. C’est le ministre saoudien de l’énergie, Khaled al-Faleh, qui s’est chargé de l’annonce, déclarant : « L’analyse technique que nous avons passée en revue hier révèle que nous avons besoin d’une réduction approchant un million de baril par jour pour équilibrer le marché ».

Le gouvernement assume la fiscalité des carburants

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Hier le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a confirmé que le gouvernement allait bien augmenter la fiscalité des carburants en 2019, 2020, 2021 et 2022. Au 1er janvier prochain, le gazole va augmenter de 6 centimes par litre contre 3 pour l’essence.

La grogne des Français ne fera pas plier le gouvernement. Bruno Le Maire l’assure, les gilets jaunes n’empêcheront le gouvernement d’avancer dans son projet de « transition écologique ». Il a insisté sur le sens écologique qu’il accordait à cette énième montée des prix : « On ne suspend pas la transition écologique, la conversion du parc automobile français, qui est nécessaire ». Arguant que cette fiscalité en hausse permettra de réduire la pollution il a assuré que « La bonne solution, ce n’est pas de revenir en arrière sur cette transition, c’est de l’accompagner (…) « Nous ne devons pas renoncer à notre objectif d’avoir des transports moins polluants ».

A propos des modalités de cette transition, monsieur Le Maire a insisté sur le « le crédit impôt transition énergétique » qui permet de déduire de ses impôts des dépenses faites dans le cadre de travaux d’isolation de son logement. Il également mis en avant la « prime à la conversion automobile ». « Je souhaite qu’elle augmente, cette prime à la conversion. Je souhaite qu’elle puisse toucher le plus grand nombre de véhicules possible, y compris les véhicules qui ne coûtent pas trop cher, et c’est ce qu’on négocie avec les constructeurs » a-t-il déclaré avant d’ajouter que « Ça doit concerner aussi les véhicules d’occasion, et puis je souhaite que cela puisse concerner les véhicules de très petite cylindrée, y compris à moteur thermique, qui pollue moins que d’autres véhicules, car ça c’est ce qu’il y a de plus accessible pour les Français ».

La crise sociale, déjà anticipée par des sociétés comme la SFMA, qui milite pour ses salariés, pourrait perdurer encore longtemps…

Bolsonaro et l’économie du Brésil

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Jair Bolsonaro a remporté dimanche 28 octobre l’élection présidentielle brésilienne avec 55% des suffrages et près de onze millions de voix d’avance sur le candidat de la gauche, Fernando Haddad. Le président élu qui prendra ses fonctions le 1er janvier 2019 avoue lui-même ne rien connaitre à l’économie. Il est cependant entouré de « Chicago boys » et compte appliquer un programme libéral. Il a promis de « changer le modèle économique du pays » en confiant ce pan de sa politique à un ancien banquier.

Son conseiller pour les questions économiques est un ancien banquier de 69 ans, Paulo Guedes. Il devrait devenir un super-ministre en charge de l’économie, des finances, du commerce et des investissements publics. Il souhaite mener une politique à l’encontre des politiques de Dilma Roussef et de l’ancien président Lula.

 Un grand nombre d’entreprises publiques, 150 peut-être, devraient être vendues à des investisseurs privés pour la somme de 200 milliards de dollars afin de baisser la dette du pays. Ne devrait pas être concernés les deux géants de l’énergie, Petrobras (pétrole, gaz) et Eletrobras (électricité) ainsi que les banques publiques.

Jair Bolsonaro a l’intention de faire de sa présidence l’ère du soja et de l’agro-business. Ce dernier représente actuellement 22% du PIB du pays, 16% des emplois et 44% des exportations. Aujourd’hui un steak de soja sur cinq dans le monde est fabriqué au Brésil. Bolsonaro compte sortir des accords de Paris et utiliser l’Amazonie comme un vaste champ pour les producteurs de soja, de canne à sucre et les éleveurs de bovins. Au Brésil 1% des propriétaires terriens détiennent presque 50% des terres cultivables.

Depuis des années, les amérindiens de l’Amazonie brésilienne se battent pour conserver intact un maximum de leurs terres, avec à leurs côtés de nombreux écologistes. A contre-courant total des politiques misent en place sous les précédents gouvernements, Jair Bolsonaro affirmait le 2 février dernier : « Si je devais assumer [la présidence], l’Indien n’aura plus un centimètre de terre ».

Bruno Le Maire aux côtés de l’économie corse

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Hier, monsieur le ministre de l’économie et des finances participé à une réunion publique à Ajaccio au Palais des congrès portant sur le devenir de l’économie de l’île de Beauté. Il y a présenté le rapport de l’inspection générale des finances devant des élus locaux et des acteurs économiques. Ce document de 24 propositions, doit être vu comme « un point de départ et non comme un point d’arrivée », selon le ministre. 

Le ministre s’est attardé sur différents éléments de la politique économique qui devrait être menée en Corse. Dans une interview donnée à France3 Corse il est revenu sur trois secteurs clés : le tourisme, la fiscalité et le prix du carburant.

Le ministre souhaite donner « un coup de booster au tourisme » qui représente pas moins de 25% du PIB de l’île. Pour cela il compte faire « classer Ajaccio en zone touristique internationale » d’ici à six mois.

Au niveau fiscal, Le Maire est partisan d’une plus large autonomie de l’île et « croit à la mise en place d’un statut fiscal pour la Corse » afin de « donner le pouvoir de décider et de mettre en place de manière autonome différentes taxes » à la collectivité territoriale.

Sur la question du carburant, il a dénoncé une suspicion d’entente entre les différents fournisseurs de l’île qui tirerait les prix vers le haut. Il a également annoncé que des contrôles allaient être bientôt possible.

Jean-Guy Talamoni le président de l’assemblée de Corse a tweeté dimanche : « Ce rapport ne peut pas servir de base à la future politique fiscale de la Corse. Demain, nous demanderons au gouvernement de l’écarter »

En Gironde Ford veut fermer son usine de boite de vitesse

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Les salariés du site de Blanquefort croyaient à la reprise de l’usine depuis que vendredi 12 octobre le belge Punch Powerglide avait déposé une offre de reprise. Pour l’instant, le constructeur américain préférerait fermer l’usine que de la revendre quitte à perdre de l’argent.

Bruno Le Maire a expliqué avoir « eu le président (Europe) de Ford au téléphone, et il m’a annoncé qu’entre une reprise du site par Punch et la fermeture de l’usine, l’option privilégiée par Ford était la fermeture de l’usine ». Une décision incompréhensible pour le ministre qui a précisé avoir contacté secrétaire au Trésor américain, Steve Mnuchin, et au conseiller économique du président Donald Trump, afin « obtenir leur soutien ».

Pour Alain Juppé, maire de Bordeaux, « Ford ne prend pas d’engagement pour favoriser la seule proposition de reprise sérieuse aujourd’hui, celle de Punch » un fabriquant de boite de vitesse belge déjà installé en France, à Strasbourg depuis 2013.

Délégué CGT de Ford Blanquefort, Philippe Poutou n’est pas surpris par la manœuvre de l’entreprise : « Si Ford voulait vraiment une reprise, ils auraient cherché un acquéreur avant de lancer un plan social en juin ! Ce n’était pas une erreur stratégique, ils veulent fermer l’usine » avant d’ajouter que « Le scoop du moment, c’est que le gouvernement appelle à la mobilisation des salariés » et que « Cela montre l’impuissance de l’État, qui n’a pas de contrats commerciaux suffisamment importants avec Ford pour peser sur le groupe ».

L’ancien candidat à la présidentielle souligne que ce ne sont pas 800 emplois qui seraient supprimés sans reprise mais près de 3000 en y intégrant les conséquences pour les fournisseurs et les sous-traitants.

Guillaume Faury nommé à Airbus

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Le Conseil d’administration du constructeur aéronautique a choisi hier, lundi 8 octobre, Guillaume Faury à la succession de Tom Enders. Il est actuellement en charge de la division aviation commerciale de la compagnie et devrait entrer en fonction après l’assemblée générale du groupe début avril 2019.

 

Le principal interessé a rapidement réagit déclarant « Je me réjouis à la perspective de relever ce nouveau défi avec passion et enthousiasme, en m’appuyant sur les compétences et l’engagement exceptionnels de tous les employés d’Airbus à travers le monde ». Tom Enders s’est déclaré aussi satisfait de ce choix affriquant que « Guillaume représente la nouvelle génération de leadeurs dont Airbus aura besoin dans les dix prochaines années ».

Monsieur Faury est à la tête de la branche aviation commerciale de l’entreprise toulousaine depuis février à la suite d’un conflit entre Fabrice Brégier et sa direction à propos de sa succession à l’époque. Monsieur Faury était auparavant en charge de la branche hélicoptère qui s’est installé à Marignane dans les Bouches-du-Rhône.

La compagnie a brusqué son choix afin de calmer les craintes des actionnaires inquiets à la suite de départs à la chaine et dans de mauvaises conditions. L’un des derniers, celui d’Eric Schulz, en septembre a marqué les esprits et les cours de bourse. L’homme venait de chez Rolls Royce et avait démissionné au bout de seulement dix mois. Autre départ à noter, celui d’Harald Wilhem, un proche de Tom Enders qui partira au printemps. Peut-être plus révélateur du malaise qui règne dans la direction, Fabrice Brégier l’actuel numéro deux du groupe, vexé de ne pas devenir numéro un quittera le bateau en février.

 

La pétition des employés de Monoprix contre la fermeture avant 21 heures

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Des employés du groupe Monoprix ont publié mardi une pétition pour défendre leur « pouvoir d’achat » et dénoncer la fermeture des magasins parisiens avant 21 heures, ordonnée par la cour d’appel de Paris. Selon eux, « plusieurs centaines de jeunes vont être directement mis en danger » par cette décision.

La décision de la cour d’appel de Paris, qui a ordonné le 7 septembre la fermeture avant 21 heures de l’ensemble des enseignes Monoprix de la capitale, ne passe pas chez les employés du groupe qui se sont mobilisés au travers d’une pétition pour défendre leur emploi et leur pouvoir d’achat.

« Plusieurs centaines de jeunes vont être directement mis en danger et en difficulté financière par cette décision. Les jobs étudiants sont très difficiles à trouver à Paris et, pour beaucoup, avec des horaires incompatibles avec la capacité à assister aux cours. Pour tous les autres collaborateurs, avoir un travail est une chance et nous souhaitons absolument la garder », indiquent les signataires en préambule de la pétition.

Au-delà de la question des étudiants, qui voient se fermer l’une des rares opportunités de trouver un travail adapté à leur emploi du temps, c’est celle du pouvoir d’achat des employés du groupe que la pétition met en avant en affirmant que « les heures majorées après 21 h sont aussi un avantage indéniable pour notre pouvoir d’achat ».

Une situation financière d’autant plus tendue que le coût de la vie en région parisienne a explosé ces dernières années. « Pour beaucoup d’étudiants, le travail après 21 heures représente la seule et unique source de revenus pour poursuivre leurs études ou tout simplement pour réussir à survivre et avoir un logement à Paris ou à proximité », peut-on lire dans la pétition.

Les pétitionnaires souhaitent prendre à témoin Anne Hidalgo, Emmanuel Macron, Bruno Lemaire, Muriel Pénicaud, Edouard Philippe, et Régis Schultz, à qui le texte est adressé, et veulent peser sur les négociations de dernière minute qui se tiennent actuellement entre la direction de Monoprix et les syndicats afin de négocier un nouvel accord applicable avant le 16 octobre pour permettre de suspendre la fermeture anticipée des magasins.

Ils souhaitent également sensibiliser les Parisiens, pour qui, « les Monoprix ouverts après 21 h sont aussi une chance pour faire les dernières courses du quotidien et préparer confortablement leur soirée. ». Un appel à la raison pour une situation qui ne fait que des perdants.

Passe d’armes entre le gouvernement et Leclerc

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Pour le ministre de l’agriculture Stéphane Travert, Michel-Edouard Leclerc, patron des supermarchés du même nom « les consommateurs en otage » en s’opposant à la nouvelle loi agriculture et alimentation.

Le ministre a déclaré que LCP-Public Sénat que les déclarations du PDG des centres Leclerc que « il s’agit de ne pas prendre les consommateurs en otage comme il veut le faire » alors que ce dernier a plusieurs fois déclaré que la loi agriculture et alimentation aller entraîner une hausse des prix généralisée.

Cette loi dont le parcours parlementaire doit s’achever mardi 2 octobre à l’Assemblée doit agir sur « les marges des distributeurs » selon monsieur Travert qui a précisé : « Nous demandons aux distributeurs de relever leur seuil de marges à 10 % sur les produits alimentaires et de faire en  sorte que ces marges soient diminuées sur les produits agricoles. C’est la question sur laquelle nous avons travaillé pendant un an. Il ne s’agit pas d’augmenter les autres produits ».

Michel-Edouard Leclerc avait qualifié la loi d’« enfumage » arguant qu’elle serait à l’origine d’une « ponction d’un milliard d’euros sur le pouvoir d’achat des consommateurs » avant d’affirmer : « ce qu’ils veulent c’est obliger les distributeurs les moins chers à relever leurs prix. En gros, ils voudraient que Leclerc vende au prix de Carrefour ».

Les syndicats d’agriculteurs se sont majoritairement déclarés pessimiste sur le « ruissellement » promis par le gouvernement et demande une intervention plus importante de l’Etat. Le ministre a invité « chacun à prendre ses responsabilités » et se « saisir des outils » de la loi avant d’ajouter que « l’État ne fixe pas les prix, nous ne sommes pas dans une économie administrée et l’État, aujourd’hui il fait confiance aux partenaires ».

Amazon va recruter en prévision de Noël

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A l’approche des fêtes de fin d’année, période cruciale pour le géant de la livraison, l’annonce de l’embauche de 7500 personnes est une bonne nouvelle. Ce seront très majoritairement des intérimaires et des contrats précaires.

Ce plan de recrutement est identique à celui de 2017 qui avait ensuite abouti à la signature de plusieurs centaines de CDI. Amazone a deux temps forts dans la ligne de mire : le Black Friday (près de deux millions de commandes l’an passé) du 25 novembre et les fêtes. Le recrutement début déjà sur le site travailleravecamazon.fr. Lætitia de Montgolfier, directrice des ressources humaines d’Amazon logistique revient sur ces embauches : « on ne cherche pas des gens diplômés ou avec une forte expérience. On veut simplement des gens motivés pour travailler en équipe et rejoindre notre marque » avant d’ajouter que « Ces postes sont aussi ouverts aux personnes en situation de handicap ».

Cinq sites logistiques de l’entreprise américaine embauchent en France : Montélimar (Drôme), Orléans (Loiret), Douai (Nord), Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire) et Boves (Somme). Le salaire sera de 10,22 euros brut de l’heure (le smic est à 9.88 euros). La majorité des embauches sera composé de contrats à temps plein pour la plupart. Une prime trimestrielle de 100 ou 150 euros est annoncée ainsi qu’une aide au transport. Etape obligatoire : « les lauréats suivront d’abord une journée de formation à la sécurité pour apprendre les bons gestes et les bonnes postures et seront ensuite accompagnés ».

 Aujourd’hui le groupe emploie plus de 65.000 personnes en Europe. Il a annoncé vouloir créer 2000 cdi de plus en France afin de porter ses effectifs à 7.500.

Nativiz : des contenus « native », au service de l’e-réputation

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Les contenus disponibles en ligne sur une entreprise reflètent son image et son activité. Ils sont également primordiaux pour un référencement naturel optimal. L’agence Nativiz, spécialisée dans la conception, la production, la publication et la diffusion de contenus « natives », répond aux besoins de ses clients afin d’accroître leur visibilité en ligne et d’améliorer leur e-réputation.

Depuis plus de dix ans, les fondateurs de Nativiz travaillent dans le secteur de la communication digitale et du « native advertising », en plein boom ces dernières années. Leur expertise et savoir-faire leur ont permis de travailler avec de grands groupes internationaux, mais également avec des PME, en manque de visibilité Web, ou confrontés à des problèmes de réputation.

Les équipes de Nativiz, composées de journalistes, de professionnels du référencement (SEO) et de spécialistes de la communication digitale ont développé une méthodologie basée sur la qualité des contenus au service du référencement. Un travail SEO « artisanal » qui s’appuie sur les dernières évolutions des algorithmes Google qui mettent toujours plus en avant les contenus récents, pertinents et de qualité.

Grâce à Nativiz, les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs peuvent rapidement reprendre la main sur leur image en ligne, que leur problématique soit purement réputationnelle ou plus marketing. Les stratégies de communication native sur lesquelles se basent les équipes de l’agence, permettent de publier des contenus ciblés à haute valeur ajoutée et de le faire remonter rapidement dans le classement de Google.

Une entreprise n’a pas le succès escompté ? Cela peut être dû à plusieurs facteurs : des mots-clefs mal ciblés, une e-réputation polluée par des contenus négatifs… Mis bout à bouts, ils donneront l’avantage à ses concurrents. En effet, ce sont vers vos rivaux que se tourneront les prospects et clients en quête d’information.

Deux chiffres permettent de prendre conscience de ces enjeux d’image en ligne et l’importance de travailler son e-réputation :

  • 96 % des internautes sont influencés par l’e-réputation de la marque lors d’un achat sur internet.
  • 88 % des personnes consultent des avis avant d’acheter en ligne. Parmi ces consommateurs, 85 % sont dissuadés par un avis négatif sur une entreprise.

 

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