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Mark Zuckerberg : sur le podium des plus riches

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Mark Zuckerberg, père fondateur de Facebook, s’était fait discret depuis l’affaire Cambridge Analytica. Pour rappel, cette société et le réseau social étaient accusés d’avoir exploité des millions de données d’utilisateurs sans leur consentement. Récemment, le jeune homme s’est hissé au rang des plus riches : il est désormais la troisième personne la plus riche du monde. 

Des scandales sans réel impact ?

Mark Zuckerberg est désormais la troisième personne la plus riche du monde avec une fortune estimée à 69,4 milliards d’euros. Cette somme représente environ 300 millions de dollars de plus que l’homme d’affaires et investisseur américain, Warren Buffett. La multiplication des polémiques n’entrave pas la marche en avant de Facebook. « De l’affaire des « fake news » ultra-virale disséminées par des bots russes pendant la présidentielle américaine en 2016 au scandale Cambridge Analytica en 2018, le réseau social, dont l’avenir dépend de la confiance des utilisateurs, semble malgré tout intouchable », précise la chaîne d’informations LCI.

C’est d’ailleurs la première fois que les trois premières personnes de ce classement on fait fortune grâce aux nouvelles technologies. À la première place du classement, on retrouve Jeff Bezos et une fortune estimée à plus de 140 milliards de dollars grâce à Amazon, suivi de Bill Gates et ses 94,2 milliards de dollars.

Facebook en quelques chiffres

Afin de mieux comprendre comment le fondateur de Facebook est arrivé dans ce classement, voici quelques chiffres incontournables du géant américain.

  • Chiffre d’affaires trimestriel (2018) : 11,97 milliards de dollars
  • Bénéfice annuel (2018) : 5,5 milliards de dollars
  • Chiffre d’affaires annuel (2017) : 40,6 milliards de dollars
  • Bénéfice annuel (2017) : 15,9 milliards de dollars

Chaque mois, le réseau social compte plus de 2,2 milliards de membres actifs, dont 377 millions en Europe et 33 millions de France.

 

Vin, rosé et dépenses

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Ce lundi, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), révèle que des millions de litres de rosé espagnol ont été vendus pour du vin français. Quel coût pour cette escroquerie ? 

La francisation du vin espagnol

Ce phénomène a été signalé il y a presque trois ans, en 2015. La DGCCRF a donc ouvert une enquête, qui aura duré près de deux ans. Résultat, elle a fini par découvrir que des litres de vin français étaient en réalité du rosé espagnol… Dans un établissement sur cinq lors de contrôles, le rosé présenté comme français n’en était pas. Outre les problèmes d’escroquerie envers la clientèle et la répression des fraudes, il y a également un problème financier.

Une escroquerie à 3 400 000 d’euros

En effet, le vin espagnol est beaucoup moins cher ! En 2016, le rosé en vrac [espagnol] se vendait à 0,34 euro le litre pour 0,75 à 0,90 euro le litre pour le rosé français. Alexandre Chevallier, directeur de cabinet adjoint de la DGCCRF explique que « ces cas de francisation concernent plus de 70 000 hectolitres de vin« . Soit l’équivalent de 10 millions de bouteilles de rosé. Lorsque le calcul est fait, son résultat donne le tournis : près de 3 400 000 d’euros ont ainsi été détournés.

Pourtant, la DGCCRF est claire en ce qui concerne les prix pratiqués par un commerçant. « Le professionnel doit informer le consommateur de tous les frais supplémentaires au prix principal et connus à l’avance : frais de dossier, frais de transport, d’affranchissement… et tous les autres frais contractuels ». En d’autres termes, il existe une loi très stricte concernant le prix d’un produit, sans que ce dernier ne soit usurpé comme l’a été fait le vin espagnol sur le français.

 

Que va changer la loi Pacte ?

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C’est un grand changement qui attend le monde de l’entreprise. Depuis le changement de gouvernement, de nombreuses réformes sont passées, notamment par le Premier Ministre Edouard Philippe qui souhaite améliorer la compétitivité de la France tout en diminuant le taux de chômage. Qu’est donc cette nouvelle réforme, la loi PACTE

Qu’est ce que la loi PACTE ?

« Le plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises (PACTE) ambitionne de donner aux entreprises les moyens d’innover, de se transformer, de grandir et de créer des emplois. Élaboré selon la méthode de la co-construction avec tous les acteurs, le projet de loi a été présenté en Conseil des ministres le 18 juin 2018″, explique Le portail de l’Économie, des Finances, de l’Action et des Comptes publics sur son site internet.

« Derrière le retour actuel de la croissance, l’état de notre économie doit continuer à nous mobiliser : chômage, déficit commercial, épargne faiblement investie dans les entreprises. Ces faiblesses ont une explication : des entreprises trop petites et trop peu compétitives.
Nos entreprises peinent à croître à la même cadence que chez nos voisins européens. La France compte 5 800 entreprises de taille intermédiaire (ETI). Elles sont 12500 en Allemagne. Or ce sont ces entreprises qui créent le plus d’emploi, qui ont le plus de moyens pour innover, qui vont à la conquête de nouveaux marchés. Gagner la bataille de l’emploi, c’est gagner la bataille pour les ETI », a indiqué Bruno Lemaire, ministre de l’économie et des finances.

Soutenus par Delphine Gény-Stephann, secrétaire d’État auprès du ministre de l’économie et des finances, il ajoute que « le Gouvernement a pris des mesures fortes pour initier cette transformation. La réforme du droit du travail rénove le dialogue social dans les petites et moyennes entreprises. La transformation de la formation professionnelle et de l’apprentissage donne les moyens pour créer de l’emploi. La nouvelle politique fiscale mise sur l’investissement pour nourrir la croissance de demain ».

Le PACTE s’adresse aux salariés comme aux entrepreneurs. L’ambition du PACTE est donc claire : faire grandir les entreprises et mieux partager leurs valeurs.

 

Réforme des retraites : les femmes laissées pour compte ?

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En début de semaine, le Haut Commissaire à la réforme des retraites a dévoilé comment allaient être calculées les prochaines pensions. Quant à elles, les pensions de réversions ne semblent pas avoir un avenir radieux. 

Les pensions de réversion

Alors que le Haut commissaire à la réforme des retraites envisage la suspension des pensions de réversion [versée au conjoint survivant d’une personne décédée qui aurait bénéficié d’une pension], les partenaires sociaux sont très inquiets sur les conséquences qu’elle pourrait avoir pour les femmes. Voici quelques conditions pour y avoir droit :

  • Ne pas dépenser, en 2018, 20 550 euros de revenus annuels bruts, soit 2080 fois le SMIC horaire.
  • En couple, cette somme ne doit pas s’élever au-delà de 32 880 euros.

En 2017, ces montants étaient de 20 300 euros pour une personne seule et de 32 481 euros pour un couple. Aujourd’hui, 3,8 millions de personnes en bénéficient. Ce sont des femmes à 89%. Cette pension représente 33 milliards d’euros.

Pourquoi le gouvernement veut-il les supprimer ?

Alors que la question des salaires perçus par les femmes est encore un débat de société, le gouvernement souhaite supprimer la pension de réversion. L’explication semble plutôt claire. En effet, les femmes, le salaire des femmes augmentant, les différences de retraite avec les hommes diminuent. De ce fait, le gouvernement a expliqué que la pension touchée par la gente féminine serait égale à la somme des rémunérations perçues tout au long de leur vie professionnelle.

A peine déclarée, cette réforme fait déjà monter au créneau. En effet, de nombreux syndicats considèrent qu’il est « hors de question de supprimer la pension de réversion », alors que 89 % des femmes en bénéficient.

Cette perspective indigne Philippe Pihet, négociateur de Force Ouvrière (FO) sur les retraites. « Au rythme actuel, on parviendra à l’égalité salariale en 2132, autrement dit les pensions ne seront égalitaires qu’à partir de 2175 ! », a-t-il déclaré lors d’un interview.

Le Haut Commissaire devrait présenter les premiers plans de la réforme d’ici à décembre prochain.

 

La rémunération, première motivation des Français au travail

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D’après plusieurs études, le salaire reste l‘argument numéro un pour motiver les salariés français, au-delà de l’équilibre entre famille et travail. 

Le salaire détrône l’équilibre vie-pro/vie perso

Pour 50% des Français, la rémunération est la première source de motivation au travail. Une tendance plus importante chez les hommes (56%) que chez les femmes (44%). L’incontournable équilibre vie-pro vie-perso est le deuxième argument de motivation. L’argent ne fait pas le bonheur, mais il y contribue fortement.

Un échantillon de 10 000 actifs

L’étude « Workforce View in Europe 2018 » démontre que l’argent est toujours mentionné avant toute chose. Sur 10 000 actifs interrogés, près de la moitié désigne l’argent comme étant L’argument pour les faire rester chez leurs employeurs.

The Workforce View in Europe 2018 se présente comme un baromètre indispensable pour mesurer l’état d’esprit des salariés puisque l’enquête a été menée auprès d’environ 10 000 personnes en Allemagne, en Espagne, en France, en Italie, aux Pays-Bas, en Pologne, au Royaume-Uni et en Suisse. En mettant l’accent sur les sujets les plus pertinents du moment, y compris l’automatisation, les compétences, le travail indépendant, la productivité et l’égalité, cette enquête se révèle essentielle à qui désire centrer ses efforts sur la construction d’une ressource plus humaine.

Les entreprises redoublent d’efforts pour garder leurs employés

Les entreprises redoublent d’efforts pour attirer de nouveaux employés mais surtout pour garder ceux déjà en place. Le bien-être au travail, la reconnaissance, des espaces de travail attractifs ou encore le management bienveillant sont de plus en plus en vogue dans les entreprises.

Mais si la rémunération ne suit pas, peu de chances de fidéliser les salariés, susciter leur adhésion et, in fine, les rendre plus performants! Une tendance stable depuis 2016 et qui montre le pouvoir continu du salaire comme facteur émotionnel du bien-être au travail. En Europe ce sont les salariés polonais qui sont les plus motivés par leur rémunération (58%), suivis par les Espagnols, les Français et les Allemands.

 

Netflix brasse les chiffres

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Netflix, entreprise américaine proposant des films et séries télévisées en flux continu sur Internet continue sa conquête et affirme sa position de leader dans le marché de l’audio-visuel. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : en 2017, Netflix a atteint un chiffre d’affaires de 11 milliards de dollars. 

Netflix casse les codes et conquiert un large public

Depuis plusieurs années, Netflix connaît en succès fulgurant auprès d’un public international. En effet, le site internet propose à 190 pays de pouvoir regarder films et séries instantanément, moyennant rémunération. Les utilisateurs doivent bénéficier d’un compte, qu’ils payent entre huit et dix euros, selon qu’ils ont un ou plusieurs écrans.

Le leader mondial du streaming vidéo a fait état d’un nombre « insolent » d’abonnés.
Netflix a séduit 7,4 millions de nouveaux clients sur la période janvier-mars 2018, contre 6,5 millions anticipés par les analystes, selon le cabinet FactSet. Le nombre total de ses abonnés dans le monde s’élève désormais à 125 millions, dont 119 millions payants.

D’excellents résultats qui coûtent chers à Netflix

« Avec une augmentation plus importante que prévue de notre nombre d’abonnés (entraînant plus de revenus), nous prévoyons désormais de dépenser entre 7,5 et 8 milliards de dollars pour les contenus en 2018 », explique-t-on chez Netflix.

Ce montant record d’investissements englobe l’acquisition ainsi que la production de contenus originaux que Netflix veut de plus en plus diversifiée pour sa cible internationale.

Un engouement populaire et des résultats plus que satisfaisants : il n’en fallait pas plus pour que la capitalisation boursière de Netflix dépasse, brièvement mais pour la première fois de son histoire, les 100 milliards de dollars, précise l’AFP.

Depuis environ un an, le prix des actions n’a pas cessé de grimper : aujourd’hui une action de Netflix vaut autour de 230 dollars alors qu’elle n’en valait que 130 dollars en janvier 2017.

Fraude fiscale : Jérôme Cahuzac condamné par la Justice

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Cette semaine était peut-être le dernier volet de l’affaire Cahuzac. L’ancien ministre a été condamné à quatre ans de prison dont deux fermes pour fraude fiscale. Malgré tout, Jérôme Cahuzac espère éviter la prison grâce à un aménagement de peine.

L’affaire Cahuzac

En 2012, l’affaire Cahuzac est révélée au grand public par Médiapart. Le pure-player dévoile que Jérôme Cahuzac, alors ministre du Budget, posséderait des fonds non déclarés, disséminés sur un compte en Suisse et à Singapour. Pendant de longs mois, le ministre clame son innocence, et ce même devant l’Assemblé nationale.

Fort de plusieurs soutiens comme celui de l’ancien président François Hollande, Jérôme Cahuzac ne sera débouté qu’en mars 2013, après avoir reconnu les faits.

L’ancien président de la République condamne l’ancien ministre

De son côté, François Hollande n’a pas caché sa satisfaction à l’égard de la peine prononcée. « La sanction prononcée par la justice est exemplaire », a-t-il déclaré. Le comportement de l’ancien ministre a été « grave parce qu’il y a eu mensonges, mensonge à mon égard, mensonge à l’égard de la représentation nationale, grave parce qu’il s’agissait d’un homme public qui devait être exemplaire ».

Alors que les deux hommes se sont côtoyés pendant plusieurs années, François Hollande a du mal à cacher sa peine. « C’est extrêmement douloureux de voir un homme qui avait des compétences, sans doute beaucoup de talent et qui mentait effrontément ». Jérôme Cahuzac « devait donc subir les foudres de la justice et être écarté », a-t-il ajouté.

Alors que la Justice a prononcé quatre ans de prison dont deux fermes à l’encontre de Jérôme Cahuzac, ce dernier pourrait bien ne jamais mettre les pieds en maison d’arrêt. En effet, sa peine pourrait être allégée et aménagée.

HD Média Groupe, en route pour le printemps

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Difficile de croire au retour des beaux jours ? Et pourtant, le printemps est bel et bien arrivé, et file à toute vitesse. Afin de mettre un peu de couleurs et de gaieté dans les maisons, HD Média Groupe propose le nouveau numéro de Maison Actuelle, placé sous le signe de la modernité et du talent.

La grisaille de dehors n’entrera pas dans les maisons. Alors que les températures et le faible ensoleillement laissent planer le doute sur un retour effectif de la saison printanière, Maison Actuelle remonte le moral de tous ses lecteurs !

Comme à son habitude, la maison d’édition HD Média Groupe ne lésine pas sur la recherche. Dans son tout dernier magazine Maison Actuelle, le groupe met la modernité et le talent à l’honneur.

Chaque pièce de la maison mérite une attention toute particulière, dans ses moindres détails. Maison Actuelle, expert dans son domaine, propose ainsi à ses lecteurs de nombreux conseils et astuces afin de bien vivre chez soi, et d’honorer le fameux ménage de printemps.

Dans un cadre toujours haut de gamme et professionnel, HD Média Groupe continue de proposer le meilleur à son lectorat.

Nucléaire iranien : coup de tonnerre international

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Ce mardi, le président américain Donald Trump a annoncé au monde entier sa décision concernant le nucléaire iranien. Les Etats-Unis se retirent de l’Accord de Vienne, signé le 14 juillet 2015. 

L’accord de Vienne

Cet accord, signé par les cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies, a pour but de contrôler le programme nucléaire iranien et de faire lever les sanctions économiques qui touchaient le pays. Ce programme nucléaire a été créée dans les années 1950, et a pour but de développer la capacité en énergie nucléaire afin de produire l’électricité. C’est en tout cas que ce défend l’Iran, depuis plus de 50 ans.

La méthode Donald Trump

Alors que la véracité de cet accord est depuis trois ans démentie, le président américain a donné un véritable coup de pied dans la fourmilière, en annonçant que les Etats-Unis se retiraient de cet accord.

Cette décision a été vivement saluée, notamment par Benyamin Nétanyahou, Premier ministre israélien. Après le discours de Donald Trump, ce dernier l’a immédiatement soutenu. « Les autorités israéliennes sont ravies car Donald Trump a décidé de s’aligner totalement sur le discours israélien, un discours tenu depuis maintenant trois ans et qui affirme que l’Iran mentait sur le contenu de l’accord. Cela donne à Israël une légitimité dans ce conflit. C’est un discours qui a fait l’unanimité au sein de la classe politique israélienne », explique Franck Genauzeau, journaliste chez FranceInfo.

La rencontre franco-américaine « inutile »

Il y a deux semaines, notre président Emmanuel Macron se rendait aux Etats-Unis, pour s’entretenir avec Donald Trump sur plusieurs sujets, notamment celui du nucléaire iranien.

« Plutôt que de s’essayer à une ‘diplomatie de la séduction’ dont rien à ce jour n’a prouvé l’efficacité sur l’accord iranien -ni sur le commerce international ou sur le respect de l’accord de Paris sur le climat- il est urgent de rechercher avec nos partenaires européens à garantir l’application de cet accord avant que l’escalade et la surenchère ne l’emportent sur la raison », a critiqué le parti socialiste.

Cette décision de s’affranchir du nucléaire iranien a commencé et va continuer à créer de vives tensions internationales.

Métro parisien : une modernisation coûteuse

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La nouvelle est tombée en ce début de semaines. D’ici à 2019, les Parisiens vont découvrir un nouveau métro, tout de bleu repeint. Depuis sa création, le métro parisien est reconnaissable à sa couleur verte, qui rappelle la RATP. 

D’ici à 2019, les premiers changements devraient s’opérer. En effet, la ministre des transports, Valérie Pécresse, souhaite petit à petit faire oublier les logos et couleurs de la RATP et de la SNCF au profit de ceux de l’Ile-de-France Mobilités, que la ministre préside également.

En allouant des subventions à la RATP pour qu’elle adapte ses infrastructures et son matériel, le conseil d’administration d’IDFM demande plusieurs changement, dont la couleur des rames.

Le premier métro à parfaire sa robe sera la ligne 14, très empruntés par les parisiens. En  2021 et 2022, la ligne 4 sera à son tour transformée. Progressivement, l’ensemble des lignes franciliennes vont ainsi être décorées aux couleurs et logo d’IDFM, au fur et à mesure de leur remplacement.

Au total, un maximum de 217 trains de type MP14 sur 15 ans vont être livrés. La facture totale est plus que salée : deux milliards d’euros vont être déboursés afin de moderniser le métro parisien.

Les usagers du métro peuvent alors se demander comment seront financés ces travaux. En début d’année, Anne Hidalgo, Maire de Paris, avait fait par de son envie de rendre les transports parisiens gratuits. Peut-être devrait se mettre au diapason avec la ministre des transports… Comment la RATP va-t-elle pouvoir financer de tels changements ? La réponse ne devrait pas tarder.

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