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Encadrement des loyers : à qui profite la loi ?

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D’après une étude menée par CLCV, association de consommateur, les prix des loyers parisiens ont bondi avec la fin de l’encadrement des loyers, adoptée en 2017. Quelles en sont les conséquences ? 

Encadrement des loyers : en quoi cela consiste-t-il ?

« Pour lutter contre la hausse excessive des loyers, la loi n°2014-366 du 24 mars 2014 pour l’accès au logement et un urbanisme rénové (ALUR) a crée, dans les zones qui connaissent une forte tension du marché locatif un dispositif complémentaire au dispositif d’encadrement de l’évolution des loyers, le dispositif d’encadrement du niveau des loyers. Il s’appuie sur des références de loyers déterminées à partir des données observées par un observatoire local des loyers agréé », explique le ministère sur son site internet.

L’encadrement du niveau des loyers concerne les locations de logement vide ou les locations de logement meublé occupé à titre de résidence principale), soumis à la loi n°89-462 du 6 juillet 1989 portant amélioration des rapports locatifs, dans le parc privé. Il s’applique lors de la mise en location d’un logement ou lors du renouvellement du bail.

Quels sont les problèmes ?

Plus d’un loyer sur deux dépasse désormais l’ancienne limite fixée, selon l’association qui a passé en revue plus d’un millier d’annonces immobilières dans la capitale. « L’an dernier, quatre loyers sur 10 dépassaient le montant autorisé par la loi Alur de mars 2014. Depuis la fin de l’encadrement, le nombre de loyers conformes a chuté de 13 % en six mois, après trois ans de stabilité », explique le journal le Figaro Immobilier.  Autrement dit, le tôt de conformité est de 48 % : 61 % des loyers ne respectent pas la loi.

« Le gouvernement fait de l’affichage. Cet encadrement sera optionnel, avec 5 ans d’expérimentation. Qu’est ce qui justifie une expérimentation ? Nous allons constater sans bouger, sans rien faire, une hausse massive des loyers pendant 5 ans et le départ des populations, alors que l’encadrement permet de limiter les choses. J’appelle le gouvernement à généraliser, le plus rapidement possible, l’encadrement des loyers dans les zones tendues », décrypte Jean-Yves Mano, président de l’association CLCV,

Les villes les plus chères de France

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Il y a quelques semaines, la Fédération Nationale de l’Immobilier (FNAIM) a publié le classement des villes les plus chères de France. Devant Bordeaux, se classent bien sûr Paris, mais aussi Nice ou encore Aix-en-Provence.

Une disparité importante entre ville et province 

Se loger en France est particulièrement difficile, notamment pour la complexité des dossiers à fournir mais surtout pour le prix de certains loyers. Le contraste est net entre la province et la ville. Par exemple, les jeunes gens venant s’installer dans des villes comme Angers (Pays de la Loire) peuvent trouver des appartements pour un loyer de moins de 400 euros pour une superficie plus que convenable. A Paris, cela n’est pas du tout la même chose. Pour un studio, il faut en moyenne compter 779 euros. Pour un deux-pièces, le locataire devra débourser près de 1200 euros.

La capitale est donc de loin la ville où le loyer moyen est le plus élevé. Le loyer médian est de 18,40 euros le mètre carré. Nice (15,80 euros) et Marseille-Aix (12,70 euros) complètent le podium. Hors classement, Bordeaux suit tout de même de près (12,60 euros), talonnée par Toulon et Lille, respectivement 12,10 et 12 euros.

Un phénomène intéressant

Située à la quatrième place, Bordeaux est une ville plein de surprise. La FNAIM a en effet révélé que le prix au mètre carré dans un studio est plus cher que celui d’un deux pièces. Pourquoi ? « Cette hiérarchie s’explique par la mobilité des locataires, d’autant plus forte que les logements sont plus petits. En outre, le risque de vacances, lui aussi fonction de la mobilité des locataires, se répercute sur le niveau du loyer. C’est notamment le cas des logements loués à des étudiants, souvent inoccupés pendant les vacances », a expliqué la fédération.

Par ailleurs, les locataires qui restent longtemps dans un logement peuvent bénéficier d’une prime à la stabilité.

 

 

Immobiler : des taux à la baisse

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Les taux d’intérêt des crédits immobiliers diminuent depuis le début de l’année et sont revenus à leur niveau de février 2017. La concurrence entre banques, qui favorise notamment l’amélioration des conditions d’octroi, explique en partie ce mouvement.

« Les taux d’intérêt des crédits immobiliers accordés aux particuliers par les banques ont encore baissé en juin, retrouvant leur niveau de février 2017, selon l’étude de l’Observatoire du Crédit Logement/CSA. Les taux des prêts du secteur concurrentiel (toutes durées confondues) s’établissent en moyenne à 1,44% contre 1,46% au mois de mai, rapporte la société de financement qui comprend les principales banques françaises parmi ses actionnaires. Pour l’accession à la propriété, les taux se sont établis le mois dernier à 1,50% dans le neuf – en baisse par rapport à mai – et 1,46% dans l’ancien », expliquent plusieurs médias.

Les taux sont particulièrement attractifs sur les durées longues. Ils représenteraient une bonne partie de la production : les prêts à 25 ans et plus représentaient 38% de la production en juin, et ceux à 20 ans et plus, totalisaient plus des deux tiers. Le taux moyen sur 25 ans continue de diminuer à 1,67% avec même des offres à 1,41% pour les meilleurs profils.

« Depuis la fin de l’été 2017, les taux diminuent doucement, de l’ordre de 1 point de base chaque mois », commente l’observatoire. « En juin 2018, ils ont retrouvé leur niveau de la fin de l’hiver 2017, en dépit de l’allongement de la durée des crédits accordés » poursuit-il. Sur le deuxième trimestre, les taux se sont établis en moyenne à 1,45%, contre 1,48% au premier.

Uber s’agrandit pour l’été… et son chiffre d’affaires l’en remercie

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Depuis plusieurs années, le service Uber, disponible sous Android et sous IOS,  permet à des millions de personnes de se déplacer quotidiennement. Contrairement aux taxis, les conducteurs Uber estime le prix du trajet à l’avance et le débite immédiatement via l’application. Pour l’été, Uber s’installe dans 14 villes. De quoi faire grimper les chiffres. 

Uber, des chiffres qui s’améliorent

En 2017, la société de conducteur indépendant a perdu énormément d’argent : 4,5 milliards de dollars (soit 3,6 millions d’euros) ont été perdus, « sur un chiffre d’affaire net de 7,5 milliards d’euros (6 milliards d’euros), en nette hausse par rapport aux 2,8 milliards de dollars (2,4 milliards d’euros) de pertes de 2016. La société Uber a tout de même réussi à redresser légèrement ces chiffres au cours du quatrième trimestre », explique le groupe Europe 1.

Entre octobre et décembre, la société a vu son chiffre d’affaires progresser de 61% par rapport à la même période l’année précédente, à 2,22 milliards de dollars. « Sa part de marché aux États-Unis s’est également stabilisée autour de 70%, après avoir perdu plus de 10% au cours de l’année », développe Uber.

Pour arriver à de tels résultats, Uber a du mettre en place un plan de réduction de ses dépenses. En effet, les budgets marketing et publicité ont été réduit de 7,5 %, alors que le budget consacré au service clients et à l’acquisition de nouveaux clients a lui diminué de 1 %.

Uber France se déploit pour l’été

Alors que la plupart des grandes villes bénéficient du service Uber, beaucoup d’autres sont laissées pour compte, notamment dans les stations balnéaires ou villes de festival. Pour changer la donne, Uber a donc décidé de se déployer dans 14 nouvelles villes de France, afin de faciliter les déplacements des touristes. Ainsi, tout le monde est gagnant. Dans un premier temps, Uber : ses recettes s’amélioreront considérablement. Dans un second temps, les villes gagneront quant à elles, en popularité. Les touristes n’en seront que ravis.

 

 

Une amende record pour Google

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La Commission européenne condamne le géant Google pour « abus de sa position dominante dans la recherche avec son système d’exploitation pour mobile Android ». Résultat : Google est condamné à verser plus de 4 milliards d’euros à l’Union Européenne. 

Une amende colossale

L’entreprise américaine est accusée de profiter de la position dominante sur Androidpour asseoir la suprématie de ses propres applications. La Commission vise avant tout Google search, le moteur de recherche en ligne de Google. La Commission européenne accuse de géant américain de plusieurs choses :

  • d’obliger les fabricants de smartphones à préinstaller «Google Search» et de le paramétrer comme service de recherche par défaut, ou exclusif, sur la grande majorité des appareils sous Android vendus en Europe.
  • d’empêcher les fabricants de vendre des smartphones fonctionnant sous des systèmes d’exploitation concurrents
  • avoir accordé des incitations financières aux fabricants et aux opérateurs de réseaux mobiles « à la condition qu’ils préinstallent en exclusivité Google Search sur leurs appareils. Après plus de deux ans de discussions, la firme de Mountain View n’a pas réussi à convaincre l’exécutif européen ».

Google ne va pas se laisser faire

Google a annoncé sa décision de faire appel de cette condamnation. “Android, c’est plus de choix pour tous. Pas moins. Les caractéristiques d’une concurrence efficace sont un écosystème dynamique, la rapidité d’innovation et la baisse des prix, ce qui est le cas aujourd’hui» a réagi un porte-parole de Google.

Selon Gartner, cabinet spécialisé dans le domaine des techniques avancées, « le système Android domine le monde des smartphones, avec une part de marché de l’ordre de 85,9% en 2017 contre environ 14% pour iOS, le système d’exploitation d’Apple. Plus de 1,3 milliard de smartphones ont été vendus en 2017 sous Android, contre environ 215 millions pour iOS, et 1,5 million pour les autres systèmes d’exploitation ».

 

88 magasins menacés de fermeture

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Plusieurs enseignes de la galaxie Mulliez, appartenant à Auchan, sont concernées par « un plan de transformation ». En effet, il a été annoncé que 88 magasins devraient fermer. Par conséquent, plus de 466 postes sont menacés. Pour les syndicats, la direction n’a pas su « innover ». 

88 magasins menacés de fermeture d’ici à 2021

48 magasins Brice, 30 magasins Jules et 10 magasins Bizzbee pourraient fermer d’ici 2021. Le groupe Happychic, qui possède ces marques, a présenté hier ses « pistes de réflexion pour son projet de transformation » aux syndicats, lors d’un comité d’entreprise extraordinaire.

D’après la liste dévoilée par Ouest-France ce mercredi, sont concernés : les magasins Jules de Cannes, Aix-en-Provence (centre commercial Géant), Marseille République, les magasins Bizzbee de Marseille Les Terrasses du Port, Marseille Saint Férréol, et les magasins Brice de Strasbourg Grandes Arcades, Chasse-sur-Rhône, Aurillac, Dijon (centre commercial La Toison d’Or), Nancy Laxou La Spinière, Annecy Epagny, Dijon rue de la liberté, Annemasse, Lyon rue Victor Hugo, Lyon Saint-Genis, et Epernay.

Il faut rendre avec la compétitivité (…)

Au total, dix magasins Bizzbee et 78 magasins Jules et Brice partout en France, soit environ 330 salariés, sont concernés par les fermetures. Les premiers départs pourraient intervenir dès janvier ou février 2019, selon la présentation faite aux syndicats. L’entrepôt Brice du Mans devrait fermer d’ici avril 2019.

Selon un communiqué de la direction, il s’agit de « premières pistes de réflexion concernant son projet de transformation de l’entreprise pour renouer avec la compétitivité sur le marché très concurrentiel du prêt-à-porter masculin ».

Happychic invoque l’émergence du e-commerce. L’évolution des comportements des consommateurs ainsi que la baisse de leur budget seraient les éléments principaux de ces fermetures. Mais pour Nadia Ferrante, déléguée FO, la raison est tout autre. « Le déclin vient des choix stratégiques de l’entreprise . Le groupe n’a pas su se distinguer et innover face à l’arrivée d’acteurs comme Primark », a-t-elle refuté.

Netflix : décevant sur les chiffres !

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Le site de films et séries à la demande Netflix a connu une croissance fulgurante depuis quatre ans. Ces contenus originaux lui permettent d’acquérir de millions d’abonnés et autant d’argent. Mais le second semestre 2018 a été plus que décevant pour la plate-forme Netflix. 

Netflix and…

Netflix est une entreprise américaine, proposant des films et séries télévisées en flux continu sur Internet, implantée à travers le monde. Elle a été fondée en 1997 et son siège est situé à Los Gatos en Californie. Depuis plusieurs années, Netflix est devenu le leader incontournable du streaming vidéo avec 117,6 millions d’abonnés payants.

Les chiffres fous

Avec ses séries phares telles que 13 reason why, Riverdale ou encore La casa de papel, Netflix continue sans cesse son ascension fulgurante auprès d’un public passionnés par les films, mais surtout par les séries. En 2017, le nombre d’abonnés payants a augmenté de 23,5 millions de personnes. Soit une hausse de 25 % sur un an. En 2016, cette augmentation avait été toute aussi importante. Pour la première fois depuis sa création en 1997, l’entreprise américaine a franchi la barre des 10 milliards de dollars de chiffre d’affaires. Cette croissance du chiffre d’affaires est intimement liée à celle du nombre d’abonnés payants.

Afin de garder la main mise dans le monde de la série, Netflix redouble de créativité afin de maintenir la distance instaurée face à ses concurrents. En 2017, 6 milliards ont été investis dans les contenus originaux.

Une désillusion ?

Face à une concurrence féroce, la plateforme de vidéo en streaming Netflix  a fortement déçu les marchés financiers, en engrangeant beaucoup moins de nouveaux abonnés que prévu. « Netflix a ainsi engrangé seulement 5,15 millions de nouveaux abonnés sur le deuxième trimestre, loin des 6,2 millions auxquels il s’attendait. Le rythme de progression des abonnements est l’élément le plus observé par les marchés.  Le nombre total d’abonnés est désormais de 130 millions à travers le monde, alors qu’il tablait sur 131 millions. Dans le détail, il a vu seulement arriver 670.000 nouveaux abonnés aux Etats-Unis, contre 1,2 million attendus, et 4,47 millions à l’international contre 5 attendus », expliquent plusieurs médias.

 

APL : une nouvelle méthode de calcul pour 2019

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À compter du premier semestre 2019, le montant des aides au logement (APL) sera calculé à partir des revenus actuels des bénéficiaires et non plus sur la base des revenus enregistrés deux ans plus tôt.

Qui peut prétendre aux APL ?

L’aide personnalisée au logement (APL) est une aide financière destinée à réduire le montant d’un loyer ou de mensualités d’emprunt en cas d’accession à la propriété d’un logement ancien situé en dehors d’une zone tendue. Elle est versée en raison de la situation de logement et ce, quelle que soit la situation familiale : célibataire, marié, avec ou sans personne à charge. Les locataires peuvent faire une demande d’APL si le logement qu’ils occupent est conventionné. Le propriétaire est tenu d’indiquer si le logement a fait objet d’un conventionnement. Les personnes étrangères doivent justifier d’un titre de séjour en cours de validité. Aucune condition d’âge minimum n’est exigée. Par conséquent, un enfant mineur peut percevoir l’APL, mais le bail doit être signé ou cosigné par ses parents. La quittance de loyer peut être établie au nom du mineur. S’il s’agit d’un mineur émancipé, le bail doit être à son nom.

Quels changements ?

Le mode des calculs des aides au logement (APL) sera révisé au cours de la première moitié de 2019, afin de les faire correspondre de manière plus actualisée aux revenus des personnes concernées, a annoncé lundi le gouvernement. La « contemporanéité » des APL, c’est-à-dire le fait de calculer leur montant à partir des revenus actuels du bénéficiaire, sera instaurée lors du « premier semestre 2019 », a déclaré le ministère de la Cohésion des Territoires.

Le gouvernement veut se laisser le temps de mettre en place toutes les modalités techniques de ce changement. «6,5 millions de foyers touchent les APL, je ne veux pas qu’il y ait de bug», a déclaré Julien Denormandie. Il s’agit notamment d’assurer la transmission automatique des informations fiscales et sociales de l’allocataire à la Caisse nationale d’allocation familiale

 

Amazon Prime Day : toujours plus de soldes

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Ce lundi 16 juillet à une saveur toute particulière. En effet, les joueurs de l’équipe de France ont remporté leur seconde coupe du monde, 20 ans après. Mais pour l’heure, les adeptes d’achats en ligne vont vivre un jour et demi de promotions exclusivement réservées aux abonnées Amazon Prime : l’Amazon Prime Day

Des promotions à durée limitée

Le fameux Amazon Prime Day aura lieu cette année entre le lundi 16 juillet 2018 à midi, et le mardi 17 juillet 2018 à 23h59. Cette année, l’opération menée par le géant du e-commerce se déroulera donc sur 36 heures avec plus d’un million de produits en réduction. Il est particulièrement intéressant pour ses milliers de bonnes affaires, dans des catégories aussi variées que le bricolage, la mode, l’informatique, le son et la vidéo, les livres et ebooks (dont Amazon s’est fait une spécialité) et autres produits culturels (DVD, Blu-Ray).

Comment accéder au Amazon Prime Day ?

Amazon Prime Day, c’est avant tout le jour où le marchand remercie ses clients pour leur fidélité. Autrement dit, il faudra être client « Amazon Prime » pour bénéficier du million de produits en réduction. Cet abonnement, qui est facturé 49 euros par an, peut être testé gratuitement sur une période de 30 jours sans engagement.

A noter que cet abonnement donne un accès à la livraison gratuite en 1 jour sur des millions de produits, ou encore l’accès à des ventes flash avant l’ouverture pour le grand public. Les clients bénéficient également d’un accès au « Netflix » de chez Amazon – Amazon Prime Video. Ils peuvent aussi obtenir l’équivalent de « Dropbox » gratuitement en ayant du stockage illimité sur Amazon Drive.

Quelles attentes pour l’édition 2018 ?

Pour la seule période de 2017, près de 800 000 articles étaient en réduction. Cette année, le Prime Day Amazon devrait voir plus d’un million de produits voir leur prix baisser. Les produits les plus populaires seront évidemment de la partie : Echo Dot (assistant vocal), Kindle (liseuse électronique), PS4, Xbox, série Game of Thrones, aspirateur Dyson, ampoules Philips Hue…

 

A vous la lune… Mais à quel prix ?

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Tintin l’a fait, Apollo 11 en 1969… « Un petit pas pour l’Homme mais un grand pas pour l’humanité », fut-il déclaré lorsque Neil Armstrong et son équipage posèrent leurs pieds sur la Lune. Aujourd’hui, beaucoup rêvent de s’y rendre à leur tour, mais à quel prix ? 

Deux groupes se tirent la bourre

Pour ce projet de tourisme spatial, deux grands groupes se disputent la réussite : Virgin Galactic et Blue Origin, respectivement fondaient par le milliardaire britannique Richard Branson et Jeff Bezos, patron d’Amazon. Plusieurs fois annoncés dans le passé, ces vols à destination des touristes n’ont jamais vu le jour. Mais cette fois, les deux innovateurs ont accordé leur violon : cela devrait se faire dans quelques mois. Mais à quel prix ?

Une mallette pleine de billets pour se poser sur la Lune ?

Le projet Blue Origin, se porte plutôt bien et l’homme espère bientôt envoyer de fortunés touristes dans les étoiles. Le projet est assez bien parti, et si l’on savait déjà que le ticket d’entrée serait particulièrement élevé, il a peut-être été “légèrement” sous-estimé.

« Alors que l’on évoquait à l’origine la somme de 200 000 dollars pour s’offrir le rêve d’une vie, ce prix serait en fait calculé au minimum et pourrait grimper facilement à 300 000 billets verts. Ce qui semble acquis, c’est que le tarif final se situera entre ces deux paliers. La cible n’est donc pas M. Tout-le-monde, mais c’est sans doute le prix à payer pour, à terme, démocratiser le vol spatial grand public », expliquent plusieurs médias.

Les premiers heureux à quitter la Terre devraient embarquer dès l’année prochaine et s’élèveront à 100 km du sol avant de revenir avec des souvenirs plein la tête. Et beaucoup moins d’argent sur le compte en banque.

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