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Amazon franchit les 1000 milliards de capitalisation boursière

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Pour Amazon, la rentrée est plutôt bonne. En effet, les chiffres dévoilés le prouvent. Amazon a enfin franchit les 1000 milliards de capitalisation boursière et se hisse donc aux côtés d’Apple, géant de la téléphonie mobile. 

Leader américain du commerce

Mondialement connue, la plateforme de vente Amazon à de quoi couler des jours heureux. En effet, mardi 4 septembre, elle a été estimée à plus de 1000 milliards de capitalisation boursière, un mois après le géant Apple. « La capitalisation boursière cumulée de ces deux groupes équivaut quasiment à la richesse produite par la France en 2017, soit un produit intérieur brut de 2 291,7 milliards d’euros », précise le journal le Monde.

Un avenir incertain pendant longtemps

Pendant longtemps, la plateforme de Jeff Bezos n’a pas gagné d’argent dans son activité de distribution. Durant cette période, cela a permis de donner de l’espoir à ses concurrents… Mais plus motivé que jamais, le fondateur et directeur d’Amazon a « su étendre ses activités et se diversifier dans le cloud computing, source de profits », explique le Figaro.

Plus que rentable avec 1,8 milliards de dollars pour 178 milliards de chiffre d’affaires l’année dernière, Amazon a largement les moyens d’investir afin de continuer sa révolution dans le commerce, ainsi que de « racheter des acteurs traditionnels ».

Les investisseurs sont désormais convaincus qu’Amazon, fondée en 1994, est capable de dégager des profits solides.

Coca-cola : une augmentation qui passe mal

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Les fermants clients de la célèbre marque de soda Coca-Cola ont eu une mauvaise surprise tout au long de l’été. En effet, les consommateurs ont pu constater l’augmentation du prix des bouteilles… et la diminution de celles-ci. 

Augmentation des prix et diminutions des contenants

Pendant l’été, les bouteilles de 2 et 1,5 litres de Coca-Cola ont été remplacées par des bouteilles plus petites. En parallèle, le prix du litre a augmenté. Et cette nouveauté de la rentrée n’a pas échappé aux consommateurs. « Mais ca fait longtemps que le coca a augmenté ! avant j’achetais du coca cherry en 1,5L puis il est passé a 1,25L pour le même prix ( même un poil plus cher)«  », peut-on lire sur le compte Twitter d’une internaute.

« La raison de cette augmentation dissimulée ? La nouvelle mouture de la taxe soda mise en place au mois de juillet. Créée en 2012, et mise en place au mois de juillet pour lutter contre les boissons trop sucrées, elle taxe les boissons qui contiennent du sucre et plus il y en a, plus l’industriel est taxé », explique la chaine d’informations BFMTV.

Le marketing derrière cette augmentation

« La bouteille de 2 l vendue en moyenne 1, 71 € est remplacée par une bouteille de 1,75 l au prix de 1,76 €. Celle de 1,5 à 1,42 € est passée à un contenant de 1,25 l et coûte désormais 1,48 €. Même si la différence se joue à quelques centimes d’euros, elle n’est pas du goût des clients qui se sentent, à juste titre, trompés. Pour faire face à cette nouvelle législation, le géant américain a eu recourt à une pratique marketing appelée downsizing qui consiste à diminuer la quantité de produit dans le packaging habituel, pour rendre moins visible une augmentation de prix. Tout en assurant qu’il le fait pour le bien du consommateur, car des contenants réduits aboutissent forcément à moins de sucre aval », ajoute-t-elle.

 

 

Free : de grosses difficultés financières

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Une rentrée difficile pour l’opérateur téléphonique Free. Après avoir perdu plus de 200 000 abonnés au deuxième trimestre 2018, Free ne semble pas réussir à remonter la pente. 

La crise s’amplifie

Ce mardi, les résultats publiés montrent très clairement que Free est en grande difficulté et s’essouffle peu à peu. Depuis sa lancement en 2012 et pour la première fois, l’opérateur perd énormément de clients. Ils sont quelque 200 000 à avoir quitté l’opérateur, au profit d’autres. « En parallèle, dans le fixe, son activité cœur, le désamour des clients continue. Après avoir cédé du terrain pour la première fois au début de l’année (19.000 abonnés de moins en trois mois), le groupe n’a pas réussi à inverser la tendance. Au deuxième trimestre, ce sont 28.000 détenteurs de Freebox qui ont été séduits par les sirènes de la concurrence », explique le site spécialisé « Les Echos ».

Pour mieux se rendre compte de la chute de Free, le simple constat des chiffres suffit. En mars 2018, tous les forfaits de Free Mobile se comptaient au nombre de 13 825 000. En juin 2018, ce chiffre tombait à 13 625 000, soit une perte directe de 200 000 abonnés.  L’opérateur de téléphonie mobile explique ce recul « en raison de la concurrence accrue sur les offres d’entrée de gamme ». La totalité des abonnés perdus bénéficiaient d’un abonnement à deux euros.  « Il devient donc inévitable pour Free d’enrichir son offre low cost. Xavier Niel a d’ailleurs annoncé en mai dernier l’arrivée d’une nouvelle offre mobile à moyen terme tout en faisant savoir qu’au contraire du forfait 100 Go à 19,99€/mois, celui à deux euros n’a pas connu de véritables évolutions. Par conséquent, tout porte à croire que ce forfait sera donc boosté, la réalité des chiffres le prouve aujourd’hui« , précise « Les Echos ».

 

Prélèvement à la source : le sursis plus que d’actualité

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Depuis plusieurs jours, la rumeur selon laquelle le lancement du prélèvement à la source ne prendrait pas effet en janvier prochain fait rage. Alors que plusieurs ministres martelaient qu’il n’en serait rien, un report semble au goût du jour. 

Initialement, le report a été démenti

« Des doutes semblent persister alors que pourtant depuis plusieurs jours les contribuables voient arriver dans leur boîte aux lettres leur avis d’imposition 2018 et qu’une vaste campagne de communication a été lancée dimanche dans les médias », précise le journal du Figaro. D’après Le Canard enchaîné, Emmanuel Macron aurait «en privé» fait part de ses réserves sur cette réforme lancée sous François Hollande et déjà reportée d’un an. «On se donne jusqu’au 15 septembre pour voir si on le fait ou pas», aurait-il confié à sa garde rapprochée durant le week-end. Mais récemment, des soucis techniques et politiques font hésiter le gouvernement. Cette réforme sera-t-elle lancée en janvier 2019 ? Une réunion décisive aura lieu mardi au cœur du gouvernement, à l’Elysée.

La mesure toujours en sursis

« Selon un document ultra-confidentiel de la direction générale des finances publiques (DGFIP), les tests menés ont fait apparaître de très nombreuses erreurs, jusqu’à 352 000 en février. Et il n’y a « a priori pas de possibilité de s’en prémunir », indique ce document. Les sources de dysfonctionnements seraient multiples : lors des tests, le système amenait certains contribuables à payer l’impôt d’un homonyme en plus du leur ou de payer plusieurs fois leur propre impôt », explique le journal le Monde. Le document évoque un « effet marée noire », selon Le Parisien. Il précise également que les employeurs (entreprises ou organismes publics), auquel échoira dorénavant la tâche de collecter l’impôt sur le revenu, ne sont pas tous prêts. Dimanche, sur BFM-TV, le ministre de l’économie, Bruno Le Maire, ne s’est pas opposé à la mesure mais a réclamé que « toutes les garanties techniques (puissent) être apportées à 100 % par le ministre des comptes publics et son administration ».

 La réponse devrait être rapidement connue.

 

 

Les frais bancaires revus à la baisse ?

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Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, a annoncé vouloir revoir les conditions de frais facturés par les banques. Cette mesure concernerait la partie de la population la plus fragile et moins à l’aise financièrement. Le ministre espère la totale coopération des banques. 

Les banques coopèrent avec le gouvernement

Ce lundi, le gouvernement a présenté aux banques françaises les engagements qu’il attend d’elles pour une meilleure maîtrise des frais d’incident bancaire appliqués aux publics fragiles, dans l’optique de les soulager. Le ministre de l’Economie a donc décider de présenter trois mesures aux banques lors d’une rencontre commune. « François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, Laurent Mignon, président de la Fédération bancaire française (FBF) et les membres du comité exécutif de la FBF. Ces mesures prendront la forme d’engagements volontaires », précise la chaine d’informations BFMTV.

« Je souhaite que nous parvenions à un plafonnement des frais bancaires à 200 euros par an maximum pour les personnes les plus fragiles, celles qui bénéficient de ce qu’on appelle l’offre spécifique. Aujourd’hui, ceux qui sont les plus modestes sont ceux qui sont le plus exposés à ces frais bancaires. Certains, qui ont peu de revenus, pas de salaire, peuvent payer jusqu’à 400, 500, 600 euros par an de frais bancaires. C’est inacceptable », a déclaré Bruno Le Maire.

3 euros pour les plus démunis

L’offre prévue par le ministre de l’Economie prévoit un ensemble de service, comme la tenue de compte bancaire, carte de retrait et paiement ou encore possibilité d’effectuer des virements et des prélèvements. Cette offre serait proposée au tarif de 3 euros maximum par mois.

« Je souhaite 30% d’augmentation de cette offre spécifique pour les personnes les plus fragiles », a ajouté le ministre, expliquant que « l’offre spécifique aujourd’hui, c’est 375.000 personnes, ce n’est pas assez ». « En troisième lieu, je souhaite aussi qu’on élargisse notre réflexion à tous les Français, tous ceux qui payent aujourd’hui des frais bancaires qui sont trop importants, et qu’on ait notamment un système d’alerte et de prévention qui soit beaucoup plus efficace que celui dont nous disposons aujourd’hui », a ajouté le ministre.

 

Tarif : ce qui va changer à la rentrée

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A chaque mois de septembre, beaucoup de choses changent, notamment au niveau des réglementations et tarifs. Et cette année ne déroge pas à la règle. Quels sont les changements prévus pour septembre ? 

Les plus gros changements attendus

Malgré la démission de l’ex-ministre de la transition écologique et solidaire Nicolas Hulot, le monde agricole et environnemental a connu un grand changement de printemps. En effet, l’Union européenne a décidé d’élargir l’interdiction de trois néonicotinoïdes. Ces pesticides sont jugés dangereux pour les abeilles. Cette décision a été prise au nom de la défense de la biodiversité et de l’environnement. « Les néonicotinoïdes sont une classe de produits toxiques employées comme insecticides agissant sur le système nerveux central des insectes. Utilisés jusqu’à là pour nuire aux abeilles, es représentants des États membres de l’Union européenne ont voté vendredi l’interdiction de l’usage des pesticides « tueurs d’abeilles ». Considérés comme responsables de la forte diminution des populations d’abeilles et de bourdons ces dernières années. La Commission européenne avait déjà demandé leur interdiction« , explique le site spécialisé Ecolobizz.

En ce qui concerne l’électricité, les ampoules halogènes ont été interdites à la vente, considérées comme trop gourmande en énergie. « Trop gourmandes en énergie, les ampoules halogènes ne seront plus vendues à compter du 1er septembre 2018. Les stocks restant en magasin pourront néanmoins être écoulés« , peut-on lire sur le compte Twitter du Service Public.

Les étudiants sont aussi gâtés pour la rentrée. « Une année de transition pour les étudiants poursuivant leurs études à la rentrée 2018, avant un basculement automatique au régime général au 1er septembre 2019« , annonce la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM).

« Tout étudiant débutant ses études supérieures à la rentrée 2018 continuera d’être affilié à son régime de protection sociale actuel, le plus souvent celui de ses parents », note l’Assurance maladie. Les étudiants poursuivant leurs études resteront, eux, provisoirement (et automatiquement) dans leur mutuelle étudiante pour l’année 2018-2019. « Au 1er septembre 2019, ils basculeront automatiquement au régime général, excepté pour les étudiants de la LMDE dont la gestion du régime obligatoire a été confiée au régime général le 1er octobre 2015, et seront rattachés à la CPAM de leur lieu de résidence« .

 

Les prix à la consommation ont augmenté

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Cet été et tout particulièrement au mois d’août, les prix à la consommation ont augmenté de 2,3 % sur un an, selon une estimation de l’INSEE, publiée ce vendredi. 

Une hausse notable sur un an

« Après avoir atteint son plus haut niveau depuis 2012 en juillet, l’inflation s’est stabilisée en août 2018, selon les premiers résultats publiés ce vendredi par l’Insee. Calculée en rythme annuel, elle atteint en effet 2,3 %. Mais si cette stabilisation est une bonne nouvelle pour l’économie en général, elle risque de passer inaperçue pour la majorité des Français« , explique le site des Echos, spécialiste de l’économie. « L’inflation serait ainsi stable, le ralentissement des prix de l’énergie étant à peu près compensé par une légère accélération des prix de l’alimentation« , d’après l’INSEE.

Les détails de cette hausse

Les prix de l’énergie ont incroyablement progressé. En effet, on passe d’une progression de 13 % sur un an, contre 14,3 en juillet. Les produits alimentaires ont progressé de 2,1 % contre 1,9 % en juillet, toujours sur un an. La hausse de 0,5 % par rapport à juillet s’expliquerait quant à elle « principalement par le rebond saisonnier des prix des produits manufacturés, après les soldes d’été » ainsi que par « l’augmentation également saisonnière des prix de certains services liés au tourisme ».

Au total, sur un an, les produits manufacturés baissent. Les prix des services, quant à eux, augmentent de 1,3 %. « Enfin, l’indice des prix harmonisé (IPCH), utilisé pour les comparaisons au sein de l’Union européenne, s’établit en août à 2,6 %« , précise l’INSEE.

 

Qatar : les créations d’entreprises internationales en hausse de 69% au 1er semestre

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Les créations d’entreprises internationales au Qatar ont augmenté de 69% au premier semestre 2018 selon le Qatar Financial Centre (QFC) l’organisme qatari en charge des implantations d’entreprises étrangères dans l’émirat.

Le QFC précise que les nouvelles entreprises créées viennent pour la majorité d’Europe, d’Inde et du Pakistan, mais également des Etats-Unis et de la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord), et qu’elles sont issues de secteurs aussi variés que les technologies de l’information, le marketing, la publicité, les services juridiques, et les services d’accompagnement aux investisseurs.

« Le QFC a battu un nouveau record en termes d’entreprises rejoignant notre plateforme », s’est félicité Yousuf Mohammed Al-Jaida, le PDG de la QFC Authority, qui a souligné que ces résultats sont une reconnaissance de « l’attractivité de QFC et des nombreuses opportunités (pour les investisseurs) sur le marché qatari ».

Selon M. Al-Jaida, les résultats du premier semestre s’expliquent notamment par la forte croissance que connait l’émirat (+1,4% au premier trimestre 2018) et la récente politique d’ouverture des entreprises qataries aux investisseurs étrangers (qui peuvent désormais investir à hauteur de 49% dans les entreprises de l’émirat, contre 25% il y a encore quelques mois).

« Le Qatar continue de prospérer et ce n’est pas surprenant que les entreprises internationales soient désireuses d’explorer les opportunités disponibles », a-t-il poursuivi en soulignant que le QFC était « la porte d’entrée pour les investissements directs étrangers (IDE) et l’innovation dans les services financiers ».

A la différence des entreprises locales, les entreprises inscrites au QFC peuvent être détenues à 100% par des capitaux étrangers et dépendent de la Common Law anglaise, afin d’offrir un cadre sécurisant et familier aux investisseurs étrangers. Le QFC représente le bras armé de l’émirat pour attirer des investissements directs étrangers.

Faute d’accords, Foodora cesse son activité en France

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A bicycle and a delivery bag with the logo of Foodora, a Berlin-based online food delivery company, part of the emerging 'gig economy' is seen in Paris, France, April 6, 2017. Picture taken April 6, 2017. REUTERS/Gonzalo Fuentes

Alors que la livraison à domicile connaît un succès fou depuis plusieurs années, pour Foodora, l’aventure semble s’arrêter très bientôt. En effet, le 28 septembre au plus tard, la société allemande de livraison cessera de livrer en France. 

Le groupe, qui comme ses concurrents Uber Eats ou Deliveroo, permet aux particuliers de commander via leur smartphone des repas préparés par des restaurants locaux, avait annoncé le 3 août son retrait de France, d’Australie, d’Italie et des Pays-Bas. « Foodora compte une quarantaine de salariés permanents en France et quelque 1500 coursiers au statut d’auto-entrepreneurs tout en ayant une part de rémunération fixe« , a précisé la société à l’AFP.

Aucun accord trouvé avec les repreneurs

« C’est le cœur lourd que nous vous annonçons que notre service de livraison s’arrêtera définitivement au plus tard le 28 septembre 2018. Suite à notre mise en vente par notre maison mère Delivery Hero, aucun accord nous permettant de maintenir les fondements de notre identité (rémunération fixe et variable des coursiers prestataires, proximité avec nos partenaires restaurateurs, sélection à la fois complète et pointue de restaurants) n’a pu être trouvé avec de potentiels repreneurs. La décision de mettre fin aux opérations de Foodora France au plus tard le 28 septembre 2018 a donc été prise« , a déclaré le groupe sur sa page Facebook.

« Vous livrer va vraiment nous manquer. Nous vous souhaitons de continuer à vous régaler tous les jours, car il n’y a rien (ou presque) de plus important qu’un bon petit plat !« , a-t-il conclu, dans le même post.

La Poste : un grand pôle financier public annoncé par le gouvernement

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Par le biais de la loi Pacte, le gouvernement va « transférer le contrôle de la Poste à la Caisse des dépôts ». Cela permettra au groupe postal, lourdement menacé par la disparition du courrier, « d’absorber CNP Assurances ». 

Garantir la survie du groupe la Poste ?

Peu à peu, le groupe postal est menacé par le web et le digital. En effet, la numérisation et l’envoie quotidien de milliers de mails mettent en danger l’avenir de la Poste, jusqu’à la menacer de disparition. Pour remédier à cela, le gouvernement a lancé ce 30 août « le chantier d’un grand pôle public de banque et d’assurance, en rapprochant CNP Assurances et La Banque Postale« , explique le journal du Monde.

L’opération de ralliement se fera en plusieurs actes. « Le gouvernement déposera d’abord un amendement au projet de loi plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises (Pacte), prochainement examiné par le Parlement, afin de permettre à la CDC de devenir majoritaire au capital de La Poste. La Caisse détenait jusqu’à présent 26 % du groupe postal, au côté de l’Etat. Celui-ci va donc se désengager largement de La Poste, mais conservera, selon une source proche du dossier, une minorité de blocage (c’est-à-dire, au moins 34 %) », détaillait le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire.

La Poste restera assurément un établissement public

Malgré tout, le ministre s’est voulu rassurant. « La poste restera un établissement public. « Il n’y aura aucune privatisation, aucune intention de privatisation, aucune arrière-pensée, sauf une seule, que La Poste reste un grand service public, rentable, dynamique, au service des territoires« , a-t-il déclaré.

 

 

 

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