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L’essence flambe dans les stations-service

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Depuis plusieurs semaines les prix du carburant vendu en France flambent dans les stations-service. Le gazole coûtait en moyenne 1,40 € le litre la semaine passée. 

Selon des données publiées par le Ministère de la Transition écologique et solidaire, la gazole, carburant le plus vendu en France avec environ 80 % des volumes, valait en moyenne 1,3732 euros.

Le prix des carburants est de nouveau revu à la hausse : +1,06 centime pour le gazole, +0,30 centime pour le sans plomb 95, +0,25 centime pour le sans plomb 95-E10, et +0,13 centime pour le sans plomb 98.

Les prix des carburants varient en fonction de plusieurs choses, notamment le cours du pétrole. Ces derniers temps, le prix du baril a beaucoup augmenté. « C’est le jeu de l’offre et de la demande qui s’applique. La demande mondiale en pétrole reste très soutenue. Elle est tirée par la Chine, mais aussi par la reprise économique et du côté de l’offre, elle est inférieure aux besoins. Le marché est très exposé au contexte mondial », explique Fanny Guinochet, journaliste pour FranceInfo.

D’ici à 2021, le gouvernement veut « aligner la fiscalité du diesel, qui est plus avantageuse, sur celle de l’essence ». En agissant ainsi, l’idée principale est de changer les habitudes des automobilistes, et de les inciter à acheter des voitures à essence ou électriques. Afin d’encourager les Français à s’orienter vers ce type de véhicule, l’Etat va même jusqu’à leur proposer des compensassions financières, comme par exemple « la prime à la conversion ». Elle a pour objectif d’offrir une aide financière à ceux qui souhaitent changer de véhicule, en vue d’adopter une conduite plus verte et responsable.

Alors que le gouvernement met en place beaucoup d’initiatives de la sorte, il est certain que le prix de l’essence ne cessera d’augmenter.

 

 

Aliou Boubacar Diallo : « amorcer le vrai développement du Mali »

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Le riche homme d’affaires Aliou Boubacar Diallo a décidé de se lancer dans le bain politique et de se présenter à l’élection présidentielle malienne (dont le premier tour se tiendra le 29 juillet) pour « amorcer le vrai développement du Mali », a-t-il déclaré la semaine dernière lors d’un déplacement dans le Wassoulou (sud).

« Nous cherchons le pouvoir pour amorcer le vrai développement du Mali et non pour un enrichissement personnel », a affirmé le géant du secteur minier malien lors d’un discours dans la ville de Yanfolila.

Aliou Boubacar Diallo, dont la mine d’or est située dans le Wassoulou (sa société minière est d‘ailleurs nommée Wassoul’Or) a souhaité prendre exemple sur ses réalisations sociales en tant qu’entrepreneur pour montrer le chemin à suivre.

« En nous basant, par exemple, sur ce que nous avons réalisé au Wassoulou, nous pouvons combattre efficacement la pauvreté », a-t-il indiqué avant de préciser qu’un gouvernement malien bien géré et débarrassé de la corruption et du népotisme pourrait offrir de telles retombées aux populations.

Des propos relayés par un militant présent sur place. « Il a réalisé des digues pour la maîtrise d’eau, des centres de santé, des écoles, des mosquées, des travaux d’aménagement routier. Le coût de ses réalisations est estimé à plus d’un milliard de nos francs. Cet homme est un vrai travailleur qui a toujours pensé à la souffrance de ses prochains. Nous allons le soutenir parce que c’est lui qui peut changer le Mali comme il a pu changer le Wassoulou ».

Actif notamment dans les secteurs de l’or et de l’hydrogène naturel, Aliou Boubacar Diallo est l’un des hommes d’affaires les plus riches du Mali. Souvent comparé au président béninois Patrice Talon, également issu du monde des affaires avant de remporter le scrutin présidentiel et de changer en profondeur le système politique de son pays, Aliou Boubacar Diallo fait campagne autour des thèmes de l’alternance démocratique, de la bonne gouvernance économique et d’un rôle accru de l’Etat dans les questions sociales.

 

Pagaille à la Française des Jeux

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A la fin de semaine dernière, le site et l’application de la Française des Jeux (FDJ) et Parions Sport sont restés inaccessibles pendant plusieurs jours. Les choses sont revenues à la normal peu après le début de la semaine. 

Dans un communiqué publié sur le réseau social Twitter, la Française des Jeux s’est exprimé sur le bug qui l’a perturbée ce week-end. « FDJ a suspendu momentanément l’activité de ses sites et applications FDJ et Parions Sports suite à un incident technique interne. FDJ est pleinement mobilisée pour rétablir le service dans les plus brefs délais et adresse ses excuses à tous ses clients. Contrairement à certaines allégations erronées, FDJ indique qu’elle traite un incident technique interne qui ne découle en aucune façon d’une quelconque tentative de hacking », était-il expliqué dans ce dit communiqué.

Lourdement questionné sur les failles qui ont mené à ce bug national, le groupe de la FDJ a expliqué qu’il était du aux conséquentes connexions en vue des 13 millions d’euros mis en jeu spécialement pour le vendredi 13 avril. Afin de rassurer ses clients, la FDJ a assuré qu’aucune donnée de paiement n’avait été compromise. « Cela concerne les coordonnées bancaires ou les crédits sur les comptes des joueurs, qui n’ont pas été dépensés de manière frauduleuse », a-t-elle expliqué. Ces craintes surviennent très peu de temps après le scandale de Facebook et de Cambridge Analytica, accusés d’avoir utilisé les données de millions d’utilisateurs.

Au-delà des difficultés pour les clients, la FDJ a elle aussi été directement impactée par ce bug. « Nous sommes en train d’évaluer le manque à gagner suite à cette suspension », a précisé la FDJ. D’après plusieurs experts, il serait de quelques millions d’euros, notamment à cause des paris sportifs manqués lors de ce week-end de Ligue 1.

Emmanuel Macron sort du silence

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Jeudi 12 avril, Emmanuel Macron, président de la République depuis presque un an, est sorti du silence. Depuis le début du mouvement de grève des cheminots de la SNCF, il ne s’était pas exprimé. C’est maintenant chose faite. 

Cette entrevue avait été annoncée dès le début de semaine dernière. Emmanuel Macron, chef de l’Etat depuis mai 2016, s’est enfin exprimé sur TF1, première chaine d’informations en France. Il a choisi le journal de 13 heures, aux côtés du présentateur phare, Jean-Pierre Pernaut.

Selon les chiffres de Médiamétrie, société spécialisée dans la mesure d’audience et les études marketing des médias audiovisuels et interactifs en France, l’interview aurait rassemblé près de 6,4 millions de téléspectateurs.

Interrogé pendant plus d’une heure par Jean-Pierre Pernaut, Emmanuel Macron a fait le tour des questions problématiques dans la société actuelle. Grève SNCF, sélection à l’entrée en cycle supérieur, hôpitaux ou encore la situation en Syrie étaient au programme.

Le chef de l’Etat a souhaité faire comprendre aux Français qu’il entendait les critiques et surtout, qu’il avait conscience des tensions provoquées par la politique de son gouvernement.

Interrogé sur la grève des cheminots entamée le deux avril dernier, Emmanuel Macron s’est exprimé pour la première fois, en affirmant que lui et son gouvernement iront jusqu’au bout de la réforme. « La SNCF restera publique, les cheminots resteront cheminots ». La SNCF « sera une entreprise publique à capitaux publics », « ce sera dans la loi : 100 % de capitaux d’Etat », a-t-il affirmé devant les caméras de TF1.

Les cheminots, nombreux devant leurs télévisions, ont affirmé qu’ils iraient eux aussi, jusqu’au bout pour faire entendre leur colère.

Egalement questionné sur la question de l’Enseignement Supérieur, le président de la République n’a pas semblé vouloir faire machine arrière. Il a affirmé que très peu d’universités étaient bloquées par le mouvement de contestation des lycéens.  « Ils doivent comprendre que, s’ils veulent avoir les examens en fin d’année, c’est mieux de les réviser, parce qu’il n’y aura pas d’examen en chocolat dans la République ». Un message on ne peut plus clair pour des étudiants, face auxquels Emmanuel Macron ne semble pas présenter une onde d’indulgence.

D’autres questions de société ont été abordées, notamment la question de la suppression de la taxe d’habitation pour 2020, ou encore la situation en Syrie. Il affirme que son gouvernent « a la preuve formelle que, la semaine dernière, des armes chimiques ont été utilisées par régime de Bachar Al-Assad ».

Cet entretien, suivi par près de 6,7 millions de téléspectateurs, ne laisse que peu de doutes quant à la détermination du président Emmanuel Macron.

 

Grèves à la pelle : à quel prix ?

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2018 tient ses promesses de fiasco. De nombreux conflits sociaux ont éclaté peu après le début de l’année. A commencer par Air France, qui entame dès le 11 avril une grève sans précédent. Le groupe ferroviaire SNCF n’est pas en reste, puisque 36 jours de grève ont été annoncés jusqu’au mois de juin. Quelles en sont les raisons et les conséquences financières ? 

Pour les salariés de la SNCF, le ton a été donné après les propos d’Edouard Philippe, visant à supprimer le statut de cheminot. « Aux nouvelles générations, aux apprentis, à tous ceux qui veulent s’engager dans la SNCF, nous disons qu’ils bénéficieront des conditions de travail de tous les Français, celles du Code du travail. A l’avenir, à une date qui sera soumise à la concertation, il n’y aura plus de recrutement au statut », avait-il déclaré.

Les salariés, bénéficient aujourd’hui de huit trajets annuels gratuits sur l’ensemble du réseau ferroviaire. Leurs familles  bénéficient de 90% de réduction toute l’année. De plus, en fonction des liens de parenté, un quota de voyages gratuits est fixé pour ces familles. Ces avantages dont bénéficient les salariés et leurs proches restent très coûteux, et pour cause : selon la Cours des Comptes, ils représenteraient au minimum 50 millions d’euros chaque année.

« Chaque jour de grève coûte 20 millions d’euros, ce qui porte à 100 millions d’euros les pertes dues à la grève pour la SNCF », a indiqué Guillaume Pépy, le PDG de la SNCF, sur RMC-BFMTV ce lundi.

Le ton monte aussi du côté de la compagnie aérienne internationalement connue, Air France.

En effet, les salariés de la compagnie réclame une augmentation de 6 % afin de combler les mauvais résultats de l’année précédente. Cependant, le président du groupe Air France – KLM Jean-Marc Janaillac, a expliqué devant les médias que cette augmentation n’était pas envisageable. Selon lui, cela viendrait perturber la renommée internationale dont jouit la compagnie.

Les grèves respectives de la SNCF et d’Air France ne sont pas pour réjouir les millions de voyageurs utilisant ces réseaux quotidiennement. En effet, la grève de la SNCF devrait se poursuivre jusqu’au mois de juin. Celle d’Air France reste moins importante, mais quelques six jours de grève sont à prévoir tout au long du mois d’avril.

 

 

Spotify débarque à Wall Street

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Spotify, société suédoise de streaming musical proposant une écoute quasi instantanée de fichiers musicaux, a fait son entrée à la Bourse de New-York, Wall Street, en début de semaine. 

« Spotify ne lève pas de capitaux, et nos actionnaires et employés sont libres d’acheter et de vendre nos actions depuis des années. Alors que demain nous placera sur le devant de la scène, cela ne change pas notre identité, ce que nous sommes, ou comment nous opérons« , a écrit Daniel Ek, PDG et fondateur de Spotify, dans une lettre destinée aux employés du groupe et publiée sur Internet ce lundi, à la veille de l’introduction en Bourse.

Le fondateur et PDG de Spotify, ne souhaite pas en faire trop pour l’entrée en Bourse de sa société. Il ne viendra pas pour se faire interviewer dans les couloirs de Wall Street. Ce choix va à l’encontre de la tradition établie selon laquelle les nouveaux entrants se prêtent au jeu des médias, le jour de leur toute première cotation.

« Normalement, les entreprises passent leur journée à donner des interviews pour expliquer pourquoi leur titre est un bon investissement », a déclaré Daniel Ek, dans le communiqué publié sur Internet.

Outre ce choix stratégique inhabituel, le PDG se fait remarquer avec une autre particularité, celle-ci beaucoup plus stratégique. L’opération d’entrée à la bourse s’est faite via une procédure atypique appelée « cotation directe ». Ce procédé permet à la société d’économiser des coûts liés à une entrée en bourse traditionnelle, comme par exemple des commissions versées aux banques afin d’attirer des investisseurs.

« Normalement, les entreprises ne penchent pas pour une cotation directe Spotify n’a jamais été une entreprise normale », affirme Daniel Ek, conscient que cette manière d’entrée en bourse risque de le heurter à beaucoup de difficultés.

D’après plusieurs prévisions réalisées par des experts boursiers, la plateforme suédoise pourrait être valorisée entre 20 à 25 milliards de dollars.

 

 

Volailles : Tilly- Sabco replonge vers ses démons

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La société bretonne Tilly-Sabco International, qui a déjà connu deux plans sociaux depuis 2014, a été placée mardi en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Brest.

« Une procédure de redressement judiciaire a été ouverte. Tilly-Sabco International est donc en période d’observation », a précisé Maitre Valérie Léger, avocate de la société.

« C’est une décision que nous avons demandé, mais c’est une décision difficile parce que ce n’était pas du tout ce qui était projeté au départ. C’est un moment douloureux pour toute l’équipe de Tilly-Sabco tant pour les dirigeants que les salariés », a ajouté Valérie Léger.

Ce nouvel épisode de redressement judiciaire fait craindre le pire aux salariés. Que va-t-il se passer pour eux, et pour l’entreprise Tilly-Sabco ? L’avocate de la société souligne que la recherche de repreneur est envisagé.

A l’époque des premiers faits de redressement, la société avait trouvé repreneur en la personne de Wegdam Food Link, une société néerlandaise. En 2014, trois investisseurs avaient sauvé Tilly-Sabco : la CCI de Morlaix, le britannique Mark and Spencer Foods et un fonds d’investissement, le Breizh Algae Invest, lancé par le groupe Olmix spécialisé dans les biotechnologies.

Le groupe Doux, qui connait le même type de difficulté, se retrouve également devant le tribunal. Un nouveau coup dur pour deux des grands noms français de l’industrie de la volaille.

Le livret A, toujours dans le coeur des Français

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Le 21 mars, la Caisse des dépôts et des consignations a dévoilé les données de la collecte de deux livrets d’épargne, le LDDS (livret de développement durable et solidaire) et le livret A. Ils continuent à être privilégiés par les épargnants. 

Comparé à l’année précédente, c’est un changement radical qui s’est opéré depuis le début de cette année 2018. En février, les épargnants ont placé 1,07 milliard d’euros sur leurs Livrets A et 220 millions d’euros sur leurs LDDS.

Cela représente une collecte pour février, de 1,29 milliard d’euros, et 5,19 milliards depuis le début de l’année, d’après les chiffres publiés par la Caisse des dépôts. Ces chiffres représentent 40% de ce qui a été collecté en 2017.

Malgré ces résultats plutôt encourageants et en dépits des avantages que ces deux livrets présentent (les virements sont possibles sans avoir besoin de passer par son conseiller), le LDDS et le livret présentent un très gros désavantage. Leur taux de 0,75% ne changera pas jusqu’en 2020. Ajoutons à cela l’inflation de un point, démarrée en 2017 : les Français perdent en réalité leur argent en le plaçant sur ces deux livrets.

« Pour le moment, cette situation ne dissuade pas les ménages. La liquidité et la sécurité l’emportent sur le rendement« , explique Philippe Crevel, directeur du Cercle de l’épargne.

Avec l’entrée en vigueur du Prélèvement forfaitaire unique, les Français continuent à plébisciter le LDDS et le livret A. Avec le PFU, la plupart des revenus sont soumis à ce prélèvement : intérêts, revenus distribués et assimilés…

Cette mesure de loi de finances a donc incité les Français à se tourner vers des placements totalement exonérés d’impôt.

Ce n’est à priori pas aujourd’hui que les Français cesseront de se tourner vers ces livrets attractifs, bien qu’ils perdent de l’argent en leur confiant leurs économies.

 

 

 

22 mars : journée noire en prévision

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A la suite des déclarations du gouvernement concernant le remaniement de la SNCF, une mobilisation inédite est attendue à compter du 3 avril prochain. Indépendamment de cette action, une journée de grève est prévue ce jeudi. Nombreux vont être les secteurs impactés.  

Plus de 140 manifestations sont attendues en fin de semaine. Les fonctionnaires ont décidé de se mettre en grève jeudi et vendredi, pour faire entendre leurs réclamations. Les cheminots de la SNCF, qui eux ont prévu une grève de 36 jours à partir du 3 avril prochain, devraient également se mobiliser et prendre part aux différents cortèges.

A la suite des récentes polémiques à l’encontre des déclarations du premier ministre Edouard Philippe, les fonctionnaires ont décidé de se mettre en grève, tout d’abord pour défendre leur statut, que le gouvernement souhaite « assouplir ». Ils défendront également leur pouvoir d’achat, sujet en attente au gouvernement. Selon Franceinfo, ils dénonceront également la suppression massive de poste prévue au court du quinquennat. Le gel du point d’indice, qui permet de calculer tous les salaires de la fonction publique, et l’augmentation de la CSG (impôt destiné à participer au financement de la protection sociale) prendront part aux revendications.

Etant donné que la revendication est soutenue par de nombreux syndicats (7 sur 9), les perturbations risquent d’être conséquentes. Dans les transports, les cheminots de la SNCF et les agents de la RATP (réseau de transport en commun sur Paris et l’Ile-de-France). L’aviation civile sera aussi touchée, avec la participation des contrôleurs aériens.

Les enseignants prendront également part aux manifestations. Ces derniers dénoncent la création de plus de 3880 postes dès septembre prochain, mettant à mal les réformes souhaitées par le gouvernement.

Les acteurs du monde de la santé sont également appelés à suivre le mouvement. Dans les hôpitaux, les grèves devraient trouver écho auprès des agents, qui pourront tout de même être réquisitionnés pour s’occuper des patients.

Ces deux journées de mobilisation interviennent 10 jours à peine avant la grève des cheminots, qui s’articulera jusqu’au mois de juin.

 

Le patrimoine Hallyday disputé

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C’est bien loin de la ferveur populaire qui l’entouré le 9 décembre dernier, que le clan Hallyday s’est retrouvé au tribunal de grande instance de Nanterre à partir du jeudi 15 mars.

Depuis la disparition du chanteur, sa famille a bien du mal à rester unie. En effet, depuis le décès de Johnny Hallyday, ses enfants Laura et David, et sa femme Laetitia se déchirent au regard de son héritage.

Dans un testament rédigé aux Etats-Unis, le chanteur a déshérité ses propres enfants, considérant qu’ils avaient pu bénéficier de sa renommée auparavant. De ce fait, Laetitia Hallyday se retrouve exécutrice testamentaire. Non contents de ces révélations, après le décès de leur père, Laura Smet et David Hallyday ont annoncé, par le biais d’un communiqué à l’AFP, vouloir contester ce testament.

Au-delà du patrimoine musical immense de l’artiste, les droits d’interprète ayant été évalués entre 1 et 2 millions d’euros par an, vient s’ajouter un patrimoine tout autre, mais tout aussi important : propriétés luxueuses notamment à Saint-Barthélemy et à Los Angeles, voiture de collection… Autant d’éléments que le clan Hallyday se dispute depuis ce début d’année 2018.

Nombreux sont les proches du chanteur à prendre partie dans cette triste bataille juridique. Les soutiens se déchirent également entre eux alors que l’affaire n’est toujours pas réglée.

Pour Laetitia, l’épreuve est d’autant plus compliquée : étant seule exécutrice testamentaire, chacun n’hésite pas à la blâmer, et omet de prendre en considération les accusations auxquelles elle doit répondre.

La Justice écoutera chacune des parties. Ce premier volet judiciaire est consacré à l’album posthume de Johnny Hallyday, sur lequel ses proches se déchirent également.

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