L’appel à la gréve, par la CGT, du personnel de l’opérateur SFR, mardi 6 septembre, a été peu suivi, selon les journalistes de l’AFP.
Cet appel à la gréve est survenu à la suite de la décision par SFR d’une restructuration qui va conduire à la surpression de 5000 postes d’ici la mi 2019, ce qui représente un tiers des effectifs de l’entreprise.
Moins de 200 personnes ont participé au rassemblement organisé devant le siège de SFR, dont de nombreux militants d’autres entreprises, militants du Front de gauche et délégués syndicaux.
Selon la direction, seulement 200 employés étaient en gréve, à la mi journée.